23. Stanzas. Je n'ai jamais, hélas, des baisers d'une mère, Et sous le poids mortel de ma douleur amère, De mes premiers printemps j'entrevoyais l'aurore, En me la ravissant, me laissa jeune encore, Bien souvent je la vois, ô douce rêverie, Sa bouche me sourit, et moi l'âme ravie, Mais tout s'évanouit, car bientôt de ce songe, Il ne me reste plus, qu'un triste et froid mensonge, Mais quoi, dans mon chagrin, et dans ma plainte amère, Puis-je des tendres soins et des baisers d'un père, Toi, dont le noble cœur a guidé ma jeunesse, Pour ton enfant chéri je connais ta tendresse, Chaque jour vers le ciel s'envole ma prière, Pour obtenir de Dieu qu'il te donne, ô mon père, MDLLE. VIRGINIE BAUME. END OF THE FIRST PART. GLASGOW: W. G. BLACKIE AND CO., PRINTERS, VIILAFIELD. |