| Molière - 1810 - 430 pages
...roi , montrent de la foiblessa. LE noi. Ah ! ma fille , a ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil est raisonnable , encor qu'il soit extrême ; Et , lorsque pour toujours on perd ce que je perds , La sagesse , crois-moi , peut pleurer elle-même. En vain l'orgueil du diadème iVeut qu'on... | |
| Molière - 1813 - 308 pages
...d'un roi , montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah! ma fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts; Mon deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême; Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse , crois-moi, peut pleurer elle-même. En vain l'orgueil du diadème Vent qu'on... | |
| Pierre Corneille - 1817 - 500 pages
...d'un roi, montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah! ma fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts; Mon deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême; Et lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse, crois-moi > peut pleurer elle-même. En vain l'orgueil dû diadème Veut qu'on... | |
| 1818 - 418 pages
...roi , montrent de la foiblcsse. LE noi. Ah ! ma filin , à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil est raisonnable , encor qu'il soit extrême ; Et , lorsque pour toujours on perd ce que je perds , La sagesse , crois-moi , peut pleurer elle-même. En vain l'orgueil du diadème Veut qu'on... | |
| Molière - 1818 - 482 pages
...d'un roi, montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah ! ma fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême; Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce... | |
| Molière - 1821 - 610 pages
...d'un roi, montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah, ma fille! à ces pleurs laisse mes yeux ouverts, Mon deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême, Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce... | |
| Molière - 1823 - 474 pages
...roi, montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah ! ma fille , à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mou deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême; Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds. La sagesse , crois-moi , peut pleurer elle-même. Pour vouloir d'un œil sec voir mourir... | |
| 1823 - 422 pages
...d'un roi, montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah ! ma fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême ; Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. En vain l'orgueil du diadème Veut qu'on... | |
| 1824 - 618 pages
...roi , montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah , ma fille ! à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil est raisonnable , encor qu'il soit extrême ; Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse , crois-moi , peut pleurer elle-même. Eu vain l'orgueil du diadème Veut qu'on... | |
| Pierre Corneille - 1824 - 400 pages
...roi, montrent de la foiblesse. LE ROI. Ah ! ma fille , à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil est raisonnable , encor qu'il soit extrême ; Et lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse , crois-moi , peut pleurer elle-même. En vain de la raison les secours sont offerts... | |
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