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30 novembre 1868. Ordonnance du ministère I. R. de l'Intérieur concernant le remboursement des frais de traitement de sujets italiens dans les hôpitaux austro-hongrois.

(Archives du ministère I. et R. des affaires étrangères.)

Abschrift eines Erlasses des Ministers des Innern, an sämmtliche
Statthalter und Landespräsidenten ddo. 13. November 1868,
Z. 5837, M. I. — Verpflegskosten mit Italien.

Im Nachhange zu meinem Erlasse vom 10. April d. J., Z. 1396, M. I., habe ich die Ehre, Hochdenselben zu eröffnen, dass zwar die Verhandlungen wegen Anbahnung eines neuen Uebereinkommens zwischen Oesterreich und Italien bezüglich der Krankenkostenersätze bis jetzt noch nicht zum Abschlusse gelangt sind, dass jedoch die königlich italienische Regierung, aus Anlass der von einer Landesbehörde auf Grund des eingangserwähnten Erlasses verweigerten Vergütung von Krankenverpflegskosten, gegen die aus dem dritten und vierten Absatze dieses Erlasses sich ergebende Anschauung bezüglich der stillschweigenden Ausdehnung der Vereinbarung vom 1. Jänner 1861 auf die neuerworbenen Gebietstheile des Königreiches Italien, dann bezüglich des Verhältnisses zu Venetien seit dem Friedensschlusse ddo. 3. October 1866 motivirte Einsprache erhoben hat.

In Würdigung der diesfalls seitens der königlich italienischen Regierung geltend gemachten Gründe finde ich mich einvernehmlich mit dem Ministerium des Aeussern bestimmt, die in dem mehrerwähnten Erlasse enthaltenen massgebenden Grundsätze bezüglich des Vorganges bei Krankenkostenersätzen gegenüber Italien derart zu modificiren, dass der dritte und vierte Absatz dieses Erlasses nunmehr folgendermassen zu lauten hat:

,,Bis zum eventuellen Zustandekommen einer neuen Vereinbarung wird also fortan das seit dem 1. Jänner 1861 zwischen Oesterreich und Italien geltende Princip wegen unentgeltlicher Behandlung mittelloser Unterthanen des einen Staates in den Spitälern des anderen Staates aufrecht, und uns diesfalls nur der Regress an etwa vorhandene alimentationspflichtige und zahlungsfähige Verwandte des Verpflegten offen bleiben."

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Was aber unser Verhältniss zu Venetien betrifft, so wird bis zum Eintritte der obenerwähnten Eventualität, die früher normirt gewesene Verpflegskostenvergütung durch die Länderfonds zu gelten haben."

Indem ich mich beehre, Hochdieselben hiervon zur gefälligen Darnachachtung in die Kenntniss zu setzen, und mir vorbehalte,

Hochdenselben seinerzeit das Ergebniss der Verhandlungen mit der 1868 königlich italienischen Regierung bezüglich eines neuen Uebereinkommens mitzutheilen, füge ich noch bei, dass selbstverständlich von Seite der kaiserlichen Regierung Italien gegenüber der Anspruch auf volle Reciprocität geltend gemacht, und sich hiernach vorbehalten wird, den Ersatz sämmtlicher, zu was immer für einer Zeit in österreichischen Spitälern wegen ärztlicher Behandlung venetianischer Angehöriger aufgelaufenen und etwa noch nicht berichtigten Kosten zu beanspruchen.

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Déclaration des plénipotentiaires de l'Autriche, de la Bavière, de la Belgique, du Danemark, de la France, de la Russie, de la Grande-Bretagne etc. etc., concernant la prohibition de l'emploi de balles explosibles comme armes de guerre. St. Pétersbourg 1868.

29 novembre

11 décembre
(R. G. B. 1869, Nr. 23.)

Declaration vom 11. December 1868 über die Ausschliessung
gewisser Sprenggeschosse vom Kriegsgebrauche. Unterzeichnet
von den Vertretern der Regierungen von Oesterreich-Ungarn,
Bayern, Belgien, Dänemark, Frankreich, Grossbritannien und
Irland, Griechenland, Italien, der Niederlande, von Persien,
Portugal, Preussen und dem Norddeutschen Bunde, Russland,
Schweden und Norwegen, der Schweiz, der Türkei und von
Württemberg unter dem nachträglichen Beitritte Badens zu
29. November
St. Petersburg am
1868.

11. December

Sur la proposition du Cabinet Impérial de Russie, une commission militaire internationale ayant été réunie à St. Pétersbourg afin d'examiner la convenance d'interdire l'usage de certains projectiles en temps de guerre entre les nations civilisées, et cette commission ayant fixé d'un commun accord les limites techniques ou les nécessités de la guerre doivent s'arrêter devant les exigences de l'humanité, les Soussignés sont autorisés par les ordres de leurs. Gouvernements à déclarer ce qui suit:

Considérant que les progrès de la civilisation doivent avoir pour effet d'atténuer autant que possible les calamités de la guerre;

VI. Recueil.

11

1868

que le seul but légitime que les États doivent se proposer durant la guerre est l'affaiblissement des forces militaires de l'ennemi; qu'à cet effet il suffit de mettre hors de combat le plus grand nombre d'hommes possible;

que ce but serait dépassé par l'emploi d'armes qui aggraveraient inutilement les souffrances des hommes mis hors de combat ou rendraient leur mort inévitable;

que l'emploi de pareilles armes serait dès-lors contraire au lois de l'humanité;

les parties contractantes s'engagent à renoncer mutuellement, en cas de guerre entr'elles à l'emploi par leurs troupes de terre ou de mer, de tout projectile d'un poids inférieur à 400 grammes, qui serait ou explosible ou chargé de matières fulminantes ou inflammables.

Elles inviteront tout les États qui n'ont pas participé par l'envoi de Délégués aux délibérations de la commission militaire internationale réunie à St. Pétersbourg à accéder au présent engagement.

Cet engagement n'est obligatoire que pour les parties contractantes ou accédantes en cas de guerre entre deux ou plusieurs d'entre elles; il n'est pas applicable vis-à-vis de parties non-contractantes ou qui n'auraient pas accédé.

Il cesserait également d'être obligatoire du moment où, dans une guerre entre parties contractantes ou accédantes, une partie non-contractante ou qui n'aurait pas accédé se joindrait à l'un des belligérants.

Les parties contractantes ou accédantes se réservent de s'entendre ultérieurement, toutes les fois qu'une proposition précise serait formulée en vue des perfectionnements à venir que la science pourrait apporter dans l'armement des troupes, afin de maintenir les principes qu'elles ont posés et de concilier les nécessités de la guerre avec les lois de l'humanité.

Fait à St. Petersbourg, le ringt neuf novembre mi huit cent soixante-huit.

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onze décembre

Mirza Assedullah Khan m. p.
Kilvas m. p.

H. VII. v. Reuss, pour la Prusse

et la Confédération de l'Allemagne du Nord m. p. Gortchacow m. p. O. M. Bjornstjerna m. p. Ad. Glinz m. p. Caratheodory m. p. C. v. Abélé m. p.

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Ordonnance du ministère I. R. de l'Intérieur concernant le remboursement des frais de traitement de sujets anglais dans les hôpitaux austro-hongrois.

(Archives du ministère I. et R. des affaires étrangères.)

Aus Anlass eines speciellen Falles, betreffend die Hereinbringung von Verpflegskosten für in Spitälern der österreichisch-ungarischen Monarchie behandelte britische Staatsangehörige, hat die k. k. Botschaft in London dem Ministerium des Aeussern die Anzeige erstattet, dass es bei den in England bestehenden Verhältnissen überhaupt nicht möglich sei, die k. grossbritannische Regierung um Unterstützung bei Hereinbringung der Spitalkosten für im Auslande verpflegte englische Unterthanen anzugehen, und dass diese auch anderseits auf die Verwaltung der meist aus Privatmitteln gegründeten Spitäler keinen directen Einfluss ausübt.

Unter solchen Umständen sind daher Einschreiten um Hereinbringung von Verpflegskosten für britische Staatsangehörige nicht mehr zu stellen, und ist Grossbritannien den unter Z. 1 meines Erlasses vom 10. April 1. J., Z. 1396/mp. benannten Staaten einzureihen, welche principiell keine Verpflegskosten-Vergütungsansprüche an uns stellen, gegen welche somit solche Ansprüche in Hinkunft auch unserseits gänzlich fallen zu lassen sind.

Hiervon beehre ich mich, Hochdieselben im Nachhange zu dem vorerwähnten Erlasse, einvernehmlich mit dem Ministerium des Aeussern, zur gefälligen Wissenschaft und Darnachachtung, sowie zur geeigneten Anweisung der unterstehenden Behörden, in die Kenntniss

zu setzen.

Genehmigen etc.

Wien, am 30. November 1868.

Für den k. k. Minister des Innern:
Schlosser m. p.

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523.

14/2 décembre 1868. Convention postale entre le Gouvernement de Sa Majesté Impériale et Royale Apostolique et celui du Prince de Servie, conclue à Pesth. Ratifiée par le ministre I. et R. des affaires étrangères à Vienne, le 30 juillet 1869; par le ministre des affaires étrangères de Servie 29 juillet à Belgrade, le 1869.

10 août

(R. G. B. 1869, Nr. 154.)

Postübereinkunft*) vom 14./2. December 1868.

Le Gouvernement de Sa Majesté l'Empereur d'Autriche, Roi de Bohème etc. etc., Roi Apostolique de Hongrie, et

le Gouvernement de Son Altesse Sérénissime le Prince de Servie,

désirant régler le service de la correspondance entre les États respectifs au moyen d'une Convention postale, ont nommé à cet effet pour Leurs Plénipotentiaires les soussignés, qui sont convenus des articles suivants:

Article 1.

Il y aura entre les administrations contractantes un échange périodique et régulier de lettres, d'échantillons de marchandises et d'imprimés de toute nature, ainsi que d'articles de messagerie (Fahrpostsendungen) originaires des pays respectifs, ou provenant des pays, auxquels les administrations contractantes servent ou pourraient servir d'intermédiaire.

Article 2.

Cet échange s'effectuera au moyen des services établis ou à établir, savoir:

10 Entre Semlin et Belgrade.

20 Entre Klenak et Schabatz.

30 Entre Kubin et Smederevo (Semendria).

40 Entre Baziasch et Gradisté.

50 Entre Orsova et Tekija.

Article 3.

Si les administrations des postes contractantes jugeraient à propos d'établir un service de poste pour l'échange mutuel des cor

*) Ces dispositions ont été, par suite d'une entente spéciale, mises en vigueur à partir du 1er octobre 1869.

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