Dictionnaire des objections populaires contre le dogme, la morale ... de l'Église catholique, Volume 71860 |
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... parler notre langage . Voyez - le pendant le cours de sa vie mortelle . Comme il accueille tous les hommes avec bonté ! Comme il répond pa- liemment à toutes les objections qu'on lui adresse ! Vous diriez un bon père , une tendre mère ...
... parler notre langage . Voyez - le pendant le cours de sa vie mortelle . Comme il accueille tous les hommes avec bonté ! Comme il répond pa- liemment à toutes les objections qu'on lui adresse ! Vous diriez un bon père , une tendre mère ...
Page 57
... parle , il suffit . Cette divine Mère , également pleine de bonté et de sagesse , ne peut rien nous prescrire que pour la gloire de Dieu et dans les intérêts de ses chers enfants . Mais il n'y a point lieu ici de parler de la sorte . Au ...
... parle , il suffit . Cette divine Mère , également pleine de bonté et de sagesse , ne peut rien nous prescrire que pour la gloire de Dieu et dans les intérêts de ses chers enfants . Mais il n'y a point lieu ici de parler de la sorte . Au ...
Page 59
... parler le langage de l'Apôtre ? L'abstinence et sur- tout cette sage abstinence établie par l'au- torité de l'Eglise . L'abstinence est donc sou- verainement utile , nécessaire même , au point de vue moral . Et ce n'est pas là seulement ...
... parler le langage de l'Apôtre ? L'abstinence et sur- tout cette sage abstinence établie par l'au- torité de l'Eglise . L'abstinence est donc sou- verainement utile , nécessaire même , au point de vue moral . Et ce n'est pas là seulement ...
Page 99
... parler d'après l'écrivain qui a réfuté le Sys- tème de la nature avec une logique si victo- rieuse , je dirai : Il est vrai qu'il y a une dé- pendance mutuelle entre le corps et l'esprit , mais c'est déraisonner que de conclure de la ...
... parler d'après l'écrivain qui a réfuté le Sys- tème de la nature avec une logique si victo- rieuse , je dirai : Il est vrai qu'il y a une dé- pendance mutuelle entre le corps et l'esprit , mais c'est déraisonner que de conclure de la ...
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... parler , nous le leur ferons aimer , vénérer et prier , parce que nous ne voyons , dans la religion , aucune idée qui aille mieux à leur faible in- telligence . La mère pieuse qui veut élever son fils chrétiennement lui parle de Dieu ...
... parler , nous le leur ferons aimer , vénérer et prier , parce que nous ne voyons , dans la religion , aucune idée qui aille mieux à leur faible in- telligence . La mère pieuse qui veut élever son fils chrétiennement lui parle de Dieu ...
Expressions et termes fréquents
allez âme anges apôtres appelle avez avez-vous avons besoin bonheur Bossuet catholicisme cation cesse charité choléra chose chré chrétienne christianisme ciel clergé cœur confession contraire core corps croix culte demande dévouement Dieu direz peut-être direz-vous dites-vous divine doctrine doit donner doute ecclésias écou également Eglise Eglise catholique enfants ennemis esprit Est-ce éternelle êtes évêques famille fidèles Frayssinous frères glise gloire hommes humaine idées infini Inquisition intel jamais Jésuite Jésus Jésus-Christ jour l'âme l'Eglise l'enfer l'esprit l'Evangile l'homme lement lui-même Matth ment monde morale mort n'en nature nécessaire nisme non-seulement Objections parler parole partout passions pauvres péché pensée père personne peuple prêtre prière protestantisme qu'un quelquefois raison religieux reste rien s'il sacré saint saint Augustin saint Paul Saint-Barthélemy sais saurait Seigneur sent serait seulement siècles sion société sorte spirituelle suppose surtout tence terre tion trouve vérité vertu Voilà voix Voulez-vous vous-même Voyez vrai yeux
Fréquemment cités
Page 787 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 659 - L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est.
Page 165 - Tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel (1).
Page 659 - Entre nous et le ciel, l'enfer ou le néant, il n'ya donc que la vie, qui est la chose du monde la plus fragile ; et le ciel n'étant pas certainement pour ceux qui doutent si leur âme est immortelle, ils n'ont à attendre que l'enfer, ou le néant. Il n'ya rien de plus réel que cela, ni de plus terrible. Faisons tant que nous voudrons les braves , voilà la fin qui attend la plus belle vie du monde. C'est en vain qu'ils détournent leur pensée de cette éternité qui les attend , comme s'ils...
Page 443 - De l'olivier sacré baignèrent les racines Du soir jusqu'au matin. De la croix, où ton œil sonda ce grand mystère, Tu vis ta mère en pleurs et la nature en deuil ; Tu laissas comme nous tes amis sur la terre, Et ton corps au cercueil ! Au nom de cette mort, que ma faiblesse obtienne De rendre sur ton sein ce douloureux soupir : Quand mon heure viendra, souviens-toi de la tienne...
Page 659 - Je ne sais qui m'a mis au monde , ni ce que c'est que le monde, ni moi-même. Je suis dans une ignorance terrible de toutes choses.
Page 659 - ... eux-mêmes pour les confondre par la vue de leur folie : car voici comment raisonnent les hommes, quand ils choisissent de vivre dans cette ignorance de ce qu'ils sont, et sans en rechercher d'éclaircissement.
Page 691 - En vérité, en vérité, je vous le dis : Si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vousmêmes. 54 Celui qui mange ma chair, et qui boit mon sang, a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
Page 599 - Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions...
Page 351 - D'ordinaire la rumeur qui s'échappe de Paris le jour, c'est la ville qui parle; la nuit, c'est la ville qui respire; ici, c'est la ville qui chante. Prêtez donc l'oreille à ce tutti des clochers ; répandez sur l'ensemble le murmure d'un demi-million d'hommes, la plainte éternelle du fleuve, les souffles infinis du vent, le quatuor grave et lointain des quatre forêts disposées sur les collines de l'horizon comme d'immenses buffets d'orgue...