Dictionnaire des objections populaires contre le dogme, la morale ... de l'Église catholique, Volume 71860 |
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... plus violentes et des plus coupables passions ! Et vous ne feriez pas tous vos efforts pour vous élever , quoi qu'il ... ni pourquoi ce peu de temps qu m'est donné à vivre m'est assigné à ce point plutôt qu'à un autre de toute l'éternité ...
... plus violentes et des plus coupables passions ! Et vous ne feriez pas tous vos efforts pour vous élever , quoi qu'il ... ni pourquoi ce peu de temps qu m'est donné à vivre m'est assigné à ce point plutôt qu'à un autre de toute l'éternité ...
Expressions et termes fréquents
abus âme appelle aujourd'hui aurait avez avons besoin bonheur catholique cause cesse charité chose chrétienne ciel clergé cœur communément contraire corps d'autres d'être demande dernier devant Dieu dire divine doit donner doute effet également élevé enfants esprit Est-ce famille fidèles fond font force forme frères général haut hommes humaine idées infini Jésus-Christ jour juge jusqu'à l'âme l'Eglise l'esprit l'homme l'un lieu livres lui-même main manière ment mère mieux milieu monde mort moyen n'en nature nécessaire nombre Objections parler parole particulier partout passe pauvres peine pendant pensée père personne peuple peut-être place plutôt porte possible pourrait pouvez pratique premier présente prêtre prière propre puisse qu'un quelquefois raison rapport réellement religieux religion reste rien s'en s'il sacré saint sais saurait Seigneur sens sent serait servir seulement siècle société sorte souvent suppose surtout terre tion trouve venir vérité vertu veut vient voilà voix Voyez vrai yeux
Fréquemment cités
Page 783 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 655 - L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est.
Page 165 - Tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel (1).
Page 655 - Entre nous et le ciel, l'enfer ou le néant, il n'ya donc que la vie, qui est la chose du monde la plus fragile ; et le ciel n'étant pas certainement pour ceux qui doutent si leur âme est immortelle, ils n'ont à attendre que l'enfer, ou le néant. Il n'ya rien de plus réel que cela, ni de plus terrible. Faisons tant que nous voudrons les braves , voilà la fin qui attend la plus belle vie du monde. C'est en vain qu'ils détournent leur pensée de cette éternité qui les attend , comme s'ils...
Page 443 - De l'olivier sacré baignèrent les racines Du soir jusqu'au matin. De la croix, où ton œil sonda ce grand mystère, Tu vis ta mère en pleurs et la nature en deuil ; Tu laissas comme nous tes amis sur la terre, Et ton corps au cercueil ! Au nom de cette mort, que ma faiblesse obtienne De rendre sur ton sein ce douloureux soupir : Quand mon heure viendra, souviens-toi de la tienne...
Page 655 - Je ne sais qui m'a mis au monde , ni ce que c'est que le monde, ni moi-même. Je suis dans une ignorance terrible de toutes choses.
Page 655 - ... eux-mêmes pour les confondre par la vue de leur folie : car voici comment raisonnent les hommes, quand ils choisissent de vivre dans cette ignorance de ce qu'ils sont, et sans en rechercher d'éclaircissement.
Page 687 - En vérité, en vérité, je vous le dis : Si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vousmêmes. 54 Celui qui mange ma chair, et qui boit mon sang, a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
Page 595 - Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions...
Page 351 - D'ordinaire la rumeur qui s'échappe de Paris le jour, c'est la ville qui parle; la nuit, c'est la ville qui respire; ici, c'est la ville qui chante. Prêtez donc l'oreille à ce tutti des clochers ; répandez sur l'ensemble le murmure d'un demi-million d'hommes, la plainte éternelle du fleuve, les souffles infinis du vent, le quatuor grave et lointain des quatre forêts disposées sur les collines de l'horizon comme d'immenses buffets d'orgue...