Oeuvres, Volume 3

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Fréquemment cités

Page 75 - Tel que l'yvoire le plus blanc qu'une femme de Méonie ou de Carie a peint avec la plus éclatante pourpre , pour en faire les...
Page 133 - J'ai donc imaginé un bouclier qui n'eût point ces défauts. Je n'y place que trois actions liées même l'une à l'autre. Les...
Page 58 - Se peut-il qu'au fort d'une bataille , des guerriers à qui il importe de vaincre au plutôt , perdent le tems à dire de longues injures à leurs ennemis , ou à leur conter des généalogies & des hiftoires...
Page 339 - Trop heureux cependant de ne la trouver pas. On meurt deux fois en ce bas monde : La première en perdant les faveurs de Vénus ; Je redoute peu la seconde, C'est un bien quand on n'aime plus *. » Cette petite pièce n'est-elle pas d'un esprit bien fin, d'un tour délicat, et presque irréprochable de forme?
Page 23 - Il fallait que les Grecs fussent encore dans l'imbécillité de l'enfance, pour s'être contentés des dieux d'Homère : car, quoi qu'on en dise, il n'en a introduit que de méprisables, de quelque côté qu'on les considère".
Page 111 - D'un coup de fon trident ne fafle entrer le jour ; Et par le centre ouvert de la terre ébranlée , Ne fafle voir du Styx la rive défolée ; Ne découvre aux vivans cet empire odieux , Abhorré des mortels & craint même des dieux, (a) Parlons fans figure.
Page 131 - Dieux leurs paffions •, mais j'ai tâché de leur donner Toujours de la dignité. Je n'ai pas dépouillé les héros de cet orgueil injufte , où nous trouvons fouvent de la grandeur •, mais , je leur ai retranché l'avarice & l'avidité du butin qui les avilit à nos yeux...
Page 242 - Ce tiflu , le fymbole , & la caufe à la fois , Du pouvoir de l'amour , du charme de fes loix. Elle enflamme les yeux , de cette ardeur qui touche...
Page 280 - Tel eft blefle qui blefle , & meurt content s'il tue. Achille a beau frapper ; les Héros qu'il abbat Redoublent contre lui la chaleur du combat ; Et de fes coups mortels affrontant la tempête , On veut le repoufler , & du moins...
Page 86 - Personne ne possède assez les langues mortes pour en sentir, comme il faudrait, les délicatesses, les grâces ou les négligences, ni ce qu'il peut y avoir d'heureux ou de forcé dans les licences que les auteurs ont prises.

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