| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1758 - 510 pages
...dans ces alyles, ou pluftôt dans ces tombeaux vivans, où l'on ne refpire que la mort, le vi(àge mortifié, les yeux éteints, ils ne jettent autour d'eux que des regards languifïàns, leur vie iemble ne fe foûtemr que par efforts ; ils prennent leur nourriture fàns... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1758 - 498 pages
...dans ces aiyles , ou pluftôt dans ces tombeaux vivans, où l'on ne reipire que la mort, le viiàge mortifié, les yeux éteints, ils ne jettent autour d'eux que des regards languiflàns, leur vie femble ne fe foûtenir que par efforts ; ils prennent leur nourriture iàns... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1799 - 444 pages
...confines dans ces asyles, ou plutôt dans ces tombeaux vivans , où l'on ne respire que la mort, le visage mortifié, les yeux éteints, ils ne jettent autour d'eux que des regards languissaus; leur vie semble ne se soutenir que par efforts; ils prennent leur nourriture sans que... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1799 - 410 pages
...confinés dans ces asyles, ou plutôt dans ces tombeaux vivans, où l'on ne respire que la mort, le visage mortifié, les yeux éteints, ils ne jettent autour d'eux que des regards languissans ; leur vie semble ne se soutenir que par efforts ; ils prennent leur nourriture sans que... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1798 - 880 pages
...traîneroit à peine une vie foible et languissante. vivans, où l'on ne respire que la mort, le visage mortifié , les yeux éteints , ils ne jettent autour d'eux que des regards languissans ; leur vie semble ne se soutenir que par efforts ; ils prennent leur nourriture sans que... | |
| Louis François Du Bois - 1824 - 408 pages
...confinés dans ces asiles, ou plutôt dans ces tombeaux. Tirana où l'on ne respire que la mort ; le visage mortifié, les yeux éteints, ils ne jettent autour d'eux que des regards languissans. Leur vie semble ne se soutenir que par des efforts ; ils prennent leur nourriture sans... | |
| 1838 - 366 pages
...dans ces asiles, ou plutôt dans ces tombeaux vivants, où l'on ne respire que la mort, I« visage mortifié, les yeux éteints, ils ne jettent autour d'eux que des regards languissants ; leur vie semble ne se soutenir que par efforts ; ils prennent leur nourriture sans que... | |
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