Tous les CHOCO st composés, sa Teint Excuse, Monsieur, tre estimable journ t le pansement e er chez M. Lero ettra gratuiteme xcusez, Monsieur, cette longue lettre qui intéresse 1 degré différent vos lecteurs, le public et les ars; ma reconnaissance sera d'autant plus grande si s voulez bien lui donner place dans les colonnes de e estimable journal. ¿cevez d'avance tous mes remerciments et l'expresde mes sentiments distingués. BAGIER. es personnes qui reçoivent à domicile des blessés t le pansement exige des éponges, peuvent se pré- CEINTURE CONTRE MAL DE MER EAUX-FORtes de Bodmer ter chez M. Leroux, 25, rue de Palestro, qui leur Tous les CHOCOLATS DE LA COMPAGNIE COLONIALE LE PRIX: 18 fr. Chez M. CHARBONNIER, Rue Saint-Honoré, 376, près de l'église de l'Assomption. Fabricant d'articles en Caoutchouc, tels que Paletots, Chaussures, Sacs, ubes pour hydrothérapie, Coussins à air et à eau. Emploi général du caoutchouc et de la gutta-percha. 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Ebhardt, propriétaire de la Saison, le journal de modes le mieux fait parmi les meilleurs et les plus répandus. Nos abonnés auront cette satisfaction de recevoir une publication devenue indispensable, moyennant le prix minime de 4 fr. pour Paris et 5 fr. pour les départements. La Nature chez elle! un titre nouveau, original, et qui dit exactement le contenu | place dans tous les salons de famille. C'est le cadeau le plus attrayant que puise ce beau livre, dont l'apparition fera époque dans les fastes littéraires et artistiques: sent recevoir, à un âge quelconque de la vie, les intelligences d'élite qui se sentent Aucune autre collaboration, en effet, n'eût pu offrir une harmonie plus complète étonnées, émues ou recueillies devant les merveilles de la Nature. efforts, et ne se fût prêtée avec une solidarité plus intime à l'exécution d'un tel uvrage.-M. Th. Gautier pouvait seul, interprétant les dessins de K. Bodmer, parler e langage brillant, ensoleillé, poétique, qu'inspirent les beautés naturelles ; — seul, 1. K. Bodmer pouvait copier la nature avec une vérité aussi saisissante, et illustrer ar sa pointe l'admirable prose de M. Théophile Gautier. Le choix du sujet, l'incontestable supériorité du talent de l'écrivain et de l'artiste ssurent à la Nature chez elle un rang distingué dans toutes les bibliothèques, une Ces douze chapitres sont autant de tableaux, décrits par M. Théophile Gautier dans la langue si poétique qu'on lui connaît, et que M. K. Bodmer, l'éminent artiste, admirables Eaux-fortes imprimées hors du texte et dans vingt-quatre Têtes et Fins a tenus au bout de sa pointe magistrale, qu'il a vus et qu'il a reproduits dans treize de chapitres qui sont des chefs-d'œuvre d'art et d'exécution. Broché. . . . PRIX DE L'OUVRAGE{Reliure anglaise, fers et tranches dorés. 50 fr. 60 >> la les commun de changemer M. AUG.! Tout ce numéro, dessins et rédaction, fera comprendre à nos lecteurs le travail de Titan qui s'accomplit à Paris depuis quinze jours. Paris, sans doute, avait bien sa cuirasse de fortifications et de forts détachés; mais ce gros œuvre, loin d'être en état de défense, ressemblait à ces vieilles armures qui décorent les panoplies, et dont on ne peut se servir qu'après les avoir remises en quelque sorte à neuf. Ce travail de salut public s'est exécuté et s'achève sous la direction du gouverneur de Paris, le général Trochu, et du comité de défense au Les blancs font mat en quatre coups. Paris. Imp. de l'Illustration, A. MARC, r. de Verneuil, 22 Encres typographiques de Ch. Lorilleux. EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS: Ne vis ni en chancelant, ni en roulant, ni de côté. Les deman Cu SOMMAIRE. Texte Revue politique de la semaine : Circulaire de M. Jules Gravures: La journée du 4 septembre: le peuple au Corps légis- de la guerre: Vue générale de la ville de Metz. La guerre: Uhlans faisant une réquisition dans une ferme des Ardennes. - Rébus. REVUE POLITIQUE DE LA SEMAINE La République est proclamée. Elle est revenue, sans secousse, sans barricades, sans combats, apportée, en quelque sorte, par le flot des événements qui se précipitent; et devant le spectacle de cette révolution pacifique, on serait tenté de dire, qu'après une éclipse de vingt ans, la République de 1870 n'est que la continuation de la République de 1848. Le second empire a donc vécu. L'histoire dira qu'il a passé sur la France comme une expérience oppressive et funeste. Il a commencé par un coup d'État. Il a continué par une politique qui n'avait pour objectif que le maintien de la dynastie, et il finit par une invasion qui, en un mois, vient d'accumuler les désastres et les périls, et d'ouvrir devant la France un abîme! L'abîme est là, béant, devant nous, et en le montrant sans détour comme sans faiblesse, nos lecteurs savent que nous n'aurons pas attendu le jour de la déchéance pour faire le procès de la politique fatale qui a pesé vingt ans sur le pays. A la République de guérir les plaies saignantes de la patrie, et de rendre à la France le rang qu'elle occupe en Europe! RésumoLs les événements qui ont rempli cette semaine, si douloureuse du côté de la guerre, si consolante et si pleine de promesses du côté de la politique. DERNIERS ACTES DU MINISTÈRE PALIKAO. Après les batailles des trois journées du 30 au 31 août et du 1er septembre, l'opinion à Paris était encore indécise sur le résultat final de ces combats de géants. Des bruits sinistres commençaient pourtant à circuler. Hélas! la vérité devait dépasser les prévisions les plus cruelles. Samedi, à la fin de la séance du Corps législatif, le général Palikao, prenant la parole, faisait à la Chambre la communication suivante : « Messieurs les députés, « J'ai eu l'honneur de vous promettre de vous révéler en toute circonstance la vérité, quelle qu'elle fût. « Je remplis ce devoir. ་་ « De graves événements viennent de se passer. Je n'ai pas de dépêches officielles; mais les communications de sources diverses que je reçois doivent être vraies. Bazaine, après avoir fait une sortie très-vigou- | de Châlons, ramener son armée sous les murs des de la dynastie e reuse, a eu avec l'armée prussienne un engage- Paris. Mais les représentations du souverainature de M. Cousi «< Mais la jonction, dont on attendait de si grands nal devait être ce qu'il a été, l'écrasement de l'he résultats, n'a pu s'accomplir. D'un autre côté, une grande bataille a eu lieu <«< D'abord le maréchal Mac-Mahon a culbuté « D'ici à quelque temps, on ne peut espérer L'armée de Mac-Mahon, encore maîtresse de ses mouvements le 31, a été obligée, le 1er septembre, de se replier, en partie sur Mézières, en partie sur Sedan. Le maréchal Mac-Mahon, grièvement blessé, a été obligé de céder le commandement au général Wimpffen. Le général Wimpffen, n'ayant pas de canons sur les remparts et manquant de vivres, a été obligé de capituler. Par suite de la capitulation, les Prussiens ont fait prisonniers 40,000 soldats français. L'empereur a été fait prisonnier et a rendu son épée au roi de Prusse, qui l'a interné dans la ville de Mayence. Jamais, il faut le dire, pareil désastre n'avait atteint les armes françaises. Une capitulation avec une armée de 40,000 hommes! Voilà à quelle humiliation nous a condamnés le dernier jour de la dynastie impériale. On sait aujourd'hui que le « Il résulte de ces documents que le maréchal maréchal Mac-Mahon voulait, en quittant le camp roïsme par le nombre ! En présence d'une telle catastrophe, M. Jules le sera convoqu le permettron Sr la demande pour ces troi Favre monte à la tribune et fait une proposition retire dans ses bi qui contient les trois actes suivants; ssica chargée d'e 1o La déchéance de Louis-Napoléon Bonaparte er un rappo et de sa dynastie; 2o La nomination d'une commission exécutive investie de tous les pouvoirs nécessaires pour re pousser l'invasion et chasser l'étranger; Pendant ce temp Les garde pals de la v semplissaier 3o Le maintien du général Trochu comme gou-pubique! verneur de Paris, chargé exclusivement de la dès le fai fense de la capitale. Benit la foule Fra et rentr Ces résolutions sont écoutées au milieu d'un profond silence, et la Chambre, en raison de la gravité des circonstances, remet la discussion de cette proposition à midi, dimanche; par consé quent, dans la même journée, puisque la séance les trib est levée à une heure et demie du matin. Dans la matinée du dimanche, la population lit sur les murs de Paris une proclamation signée de tous les ministres et adressée au peuple français. Cette proclamation, après avoir constaté les revers que nous avons mentionnés plus haut, annonce que le Gouvernement lève une nouvelle armée qui sera dans quelques jours sous les murs de Paris, et qu'une autre armée se lève sur les rives de la Loire. C'est le dernier acte du dernier ministère du dernier souverain de la dynastie napoléonienne! La population lit ce document au milieu d'une agitation extrême. Il est clair que la longanimité du peuple est à bout, et la physionomie de Paris annonce de graves et décisives résolutions. Cette dernière séance du Corps législatif a présenté ce caractère particulier d'une assemblée qui cherche une transition pour arriver à un autre gouvernement, tandis qu'un peuple immense assemblé autour du palais, proclame par cent mille voix le Gouvernement que la Chambre doit reconnaître. A une heure un quart, le Corps législatif est entré en séance. M. de Palikao avait fait défendre tous les abords du Corps législatif par des détachements de la gendarmerie départementale à cheval et par de nombreuses escouades de sergents de ville. Un bataillon de la garde nationale stationnait sur le pont de la Concorde. Des gardes nationaux en armes, conduits par leurs officiers, d'autres sans armes, des citoyens appartenant à toutes les classes se massaient peu à peu sur la place de la Concorde, et les cris: Vive la République! se mêlaient aux cris: Vive la France! La déchéance!... Telle était la situation à l'extérieur, au moment où M. Schneider ouvrait la séance du Corps législatif. M. de Kératry prend immédiatement la parole pour accuser M. le ministre de la guerre d'avoir manqué à son devoir en faisant garder le Corps législatif, contrairement aux ordres de M. le général Trochu, par des troupes de ligne et des sergents de ville et non par la garde nationale. Le ministre répond que lui seul dispose des forces à l'intérieur de Paris, et il se sert de cette expression singulière en la circonstance : « De quoi vous plaignez-vous, messieurs, que je vous ai fait la « mariée trop belle? » as la salle. I Ts ardents de: dehors arriv es dans l grees mem! ese retiren aux, de bas des dép envahis tent pour emple. Tdernier at Certes, combie |