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SQUELETTE D'UN MARAUDEUR TUÉ DANS UN CHAMP DE CHOUX, PRÈS DU BOURGET. - Croquis de M. Jules Claretie. (Voir pages 418 et 419.)

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Réquisition de toutes les bêtes à cornes. Cette réquisition donne des résultats favorables. Réquisition dans les maisons de toutes les matières salpêtrées.

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mercredi, bœuf et mouton conservės; jeudi et
vendredi, bœuf frais; dimanche, morue.

Rétablissement du service des lignes de che-
mins de fer de Saint-Maur et de Saint-Denis.
29. — Publication de trois proclamations: l'une
du Gouvernement, la seconde du général Trochu,
la troisième du général Ducrot.

– Décret accordant un supplément de 75 centi-
mes de solde pour les femmes des gardes natio-

naux.

30. Sortie générale de l'armée de Paris. Occupation de la Gare-aux-Bœufs, près Choisy, du village de l'Hay, de Montmesly, du plateau d'Avron. Reconnaissance faite dans la plaine de Gennevilliers, sur les positions de Buzenval et sur les hauteurs de Boispréau. Le pont de bateaux qui devait servir au passage de l'armée du général Ducrot est emporté par une crue de la Marne. Emotion et mécontentement marqué de la population de Paris.

Bourse du 30 novembre. Trois pour cent,

Organisation d'un service de réponses de 53 fr. 85 c. la province, par oui et par non, au moyen des ballons et des pigeons messagers.

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DÉCEMBRE.

1er.
Passage de la Marne par l'armée du gé-
néral Ducrot. Combat du plateau entre Brie-sur-
Marne et Champigny.

-A Saint-Denis, grande reconnaissance poussée
jusqu'à Drancy, Groslay et au village d'Épinay.
2. Grande bataille livrée du côté de Brie-sur-
Marne, Champigny et Villiers. Les Prussiens sont
- Arrivée à Paris des premières dépèches pri- repoussés sur toute la ligne avec des pertes énor-
mes. Nos troupes campent sur les positions con-
quises. Cent prisonniers.

vées.

14. Proclamation du général Trochu aux citoyens, à la garde nationale, à l'armée et à la garde mobile, pour déclarer que Paris se défendra à outrance.

15. Grande activité déployée pour la construction des nouveaux canons, pour la fabrication des obus et des cartouches.

16. Reconnaissances et sorties dirigées du côté de la forêt de Bondy et du côté de Champigny.

- Nos pertes, dans ces trois journées, ont été de 172 officiers tués, 312 blessés, 936 soldats tués et 4,680 blessés. D'après les dires des blessés et des prisonniers ennemis, d'après l'appréciation de tous les commandants des corps, les pertes des Prussiens ont été au moins doubles des nôtres.

lerie.

Service excellent des nouvelles pièces d'artil

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Adresse des membres du Gouvernement, pour féliciter le général Trochu.

Hommage rendu à l'héroïsme du général Ducrot, par le général Trochu.

Le soir du 2, les Prussiens tirent sur Monseigneur Baüer, conduisant les ambulances de la Presse.

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De l'avis de tous, la bataille de Villiers est une grande victoire pour nos armes.

3. Décret ouvrant à la mairie de Paris un crédit de 500,000 fr. pour l'établissement de nouveaux fourneaux économiques.

-

- Appel fait aux habitants pour obtenir des lits en faveur des blessés.

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16. Nouvelles de Tours. L'armée de la Loire est divisée en deux parties: l'armée de la rive gauche, commandée par Bourbaki, et qui doit être renforcée par les armées d'Auvergne et du Midi; l'armée de la rive droite, commandée par le général Chanzy, et qui, après avoir résisté plusieurs jours aux armées de Von der Thann et du grand-duc de Mecklembourg, a échappé, par une habile retraite, au mouvement tournant de l'armée du prince Frédéric-Charles. Blois a été occupé le 13. Le général Manteuffel a fait une excursion en Normandie. Rouen a été occupé le 9, et a subi une contribution énorme. Les trois ports du Havre, de Honfleur et de Dieppe sont mis en état de blocus.

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LES PRÉDICTIONS DE MARIE-THÉRÈSE

A propos de la lettre adressés par le roi de Bavière aux autres princes d'Allemagne, pour les inviter à offrir au roi de Prusse la couronne impériale, la Patrie fait observer avec raison que ce rôle de complaisance hâtive convenait moins à la Bavière qu'à toute autre puissance. Elle rappelle au roi Louis II que ses ancêtres ont porté cette même couronne avec un certain éclat; qu'ils l'ont disputée vaillamment aux puissantes maisons de Luxembourg et d'Autriche; que lorsque cette dernière fut parvenue à s'en assurer la possession pour trois siècles, elle eut plusieurs fois à la défendre contre les prétentions de son ancienne rivale, et que dans ces luttes d'influence et d'autorité, les électeurs de Bavière ont toujours vu combattre avec eux et pour eux la France, dont la diplomatie a contribué particulièrement à la grandeur de leur pays; qu'enfin, c'est avec l'aide de la France que Charles VII parvint à ceindre pendant quelque temps cette couronne impériale, devenue vacante, lorsque le dernier descendant mâle des Hapsbourg n'eut plus laissé d'autre héritier de l'Empire que sa fille Marie-Thérèse.

Il y avait donc là, dans ces relations d'amitié constante entre la France et la Bavière, une série de liens qui n'auraient pas dû pouvoir se briser ainsi en un jour.

Tôt ou tard, l'Allemagne et l'Europe seront appelées à considérer de plus près l'œuvre que la Prusse accomplit depuis quatre années, et elles viendront à en peser les conséquences. Chacun alors, selon le mot du bâtard d'Orléans, « songera à se pourvoir. » La Russie en a déjà donné l'exemple, et l'Italie avant elle. En attendant, les sinistres prédictions de Marie-Thérèse semblent se réaliser.

« Chacun en Europe, disait l'illustre reine, sait quel cas on peut faire du roi de Prusse et de sa parole. La France l'a appris dans bien des circonstances; aucun prince de l'Europe n'a échappé à ses perfidies, et c'est un tel roi qui s'est érigé en dictateur, en protecteur de l'Allemagne. Mais le plus étonnant, c'est que toutes les puissances ne songent point à se donner la main pour éloigner un pareil malheur, qui doit tôt ou tard retomber sur elles. Depuis trente-sept ans, cet homme, avec sa monarchie et son despotisme militaire, avec ses méfaits et sa violence, est le véritable fléau de l'Europe. Il s'est départi de tous les principes du droit et de la vérité; il se rit des traités et des

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alliances. C'est nous qui sommes le plus exposés à ses coups, et l'on nous abandonne! Nous nous en tirerons pourtant, encore cette fois, tant bien que mal. »

« Je ne parle point, continue-t-elle, pour l'Autriche en particulier. Ce que je dis s'adresse à toutes les puissances de l'Europe. L'avenir ne me semble pas riant. Ma vie ne se prolongera pas jusque là; seuls, mes enfants et mes arrière-neveux, notre sainte religion et mon cher peuple, auront à subir de tristes épreuves. Nous sentons nousmêmes déjà les premières atteintes de ce despotisme insolent, mais plein de force, qui ne connaît d'autre règle, d'autre mobile que son intérêt. Si on laisse cette politique prussienne gagner encore du terrain, quelle perspective s'offrira à ceux qui viendront après nous! Car il ne faut pas se faire illusion, ce système grandit chaque jour.

« Qu'on ne se laisse point tromper par les flatteries de la politique prussienne. Le roi vous cajole pour atteindre son but; mais, dès qu'il y aura réussi, il s'empressera de faire le contraire de ce qu'il aura promis. C'est ainsi qu'il agit avec tout le monde, excepté avec la seule puissance qu'il redoute, c'est-à-dire la Russie. Celle-ci suit les mêmes principes politiques que la Prusse, et l'intérêt réciproque a toujours uni ces deux puissances, alors même qu'elles n'ont pas conclu d'alliance verbale et formelle. Elles se tiennent par la main, parce qu'elles ont la même tendance à s'agrandir, bien que cette tendance n'ait point le même objet chez chacune d'elles. Voilà pourquoi je considère la Prusse et la Russie comme formant une seule et unique puissance.

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Et l'impératrice terminait ces plaintes prophétiques par cet appel désespéré : « Il s'agit maintenant de nos biens les plus précieux, de nos intérêts les plus chers. Nous serons renversés, écrasés l'un après l'autre, si nous ne nous unissons pour | la défense. »

Ne dirait-on pas que ces paroles, adressées en 1777 à la cour de Versailles, ont été écrites pour la situation présente? Rien ne manque à la comparaison, ni le mépris attesté du droit et des traités, ni les cajoleries prodiguées jadis au gouvernement impérial, ni la complicité de la Russie. Il semble que Marie-Thérèse ait tracé d'avance le tableau de notre époque et touché du doigt nos dangers et nos malheurs. Cette politique violente et conquérante qu'elle flétrissait alors, la Révolution francaise en avait un instant interrompu le cours. Elle a repris maintenant sa marche avec plus de force. La Prusse atteint l'apogée de sa grandeur, le flot qui porte ses destinées va toujours s'élevant : c'est une mer envahissante qui ne connaît plus de rivages. Mais heureusement « les destins et les flots sont changeants.

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Pour accompagner le dessin ci-contre, nous détachons d'un article publié par M. Théophile Gautier dans le Journal officiel ce charmant croquis, que nous appellerons :

LA STATUE DE NEIGE

Un peintre de nos amis est venu hier nous chercher pour nous mener au bastion 85, où nous verrions, disait-il, quelque chose d'intéressant; mais il fallait se hâter, la nuit tombe vite en ces tristes jours de décembre, et, d'ailleurs, un changement de température pouvait anéantir l'objet de notre pèlerinage. Nous voilà donc parti en toute hâte, maudissant la lenteur de notre pauvre cheval de fiacre qui patinait sur la neige durcie, d'autant plus glissante que nous avancions dans les rues désertes des quartiers s'étendant au delà du Luxembourg et de l'Observatoire. Les passants étaient rares, mais sur chaque place, au milieu des carrefours, sur tout terrain vague favorable au développement des manœuvres, on voyait des gardes nationaux faisant l'exercice, malgré un froid assez piquant qu'ils ne paraissaient pas sentir.

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Nous cheminons le long de grands murs gris placardés d'anciennes affiches, de vieilles maisons bizarres consacrées à des industries que la ville élégante rejette à ses extrémités, de baraquements en bois de sapin, ambulances ou abris pour les troupes, de clôtures démantelées dont le ton rappelait les dessins sur papier teinté, rehaussés de blanc, les couches de neige accrochées çà et là figurant les points de gouache. Si la brume qui se levait n'eût pas borné la vue aux premiers plans, nous eussions vu par-dessus les murs bas, dans le cadre des portes ouvertes, à travers les interruptions de masures, d'admirables échappées de paysage d'hiver sur ces cultures et ces marais qu'inonde la Bièvre et que domine la Butte-auxCailles; mais ce n'était pas le but de notre excursion, et nous regrettâmes moins ce petit contretemps.

Arrivé au chemin de ronde du rempart, nous abandonnâmes notre véhicule, dont le cheval s'était abattu, et notre ami nous conduisit à l'endroit où se trouvait la curiosité qu'il vous avait promise, et qui valait en effet le voyage au bastion.

La 7o compagnie du 19e bataillon de la garde nationale contient beaucoup d'artistes peintres et statuaires blasés bien vite sur les péripéties de l'éternel jeu de bouchon, et qui ne demanderaient pas mieux que d'occuper d'une autre manière leurs loisirs d'une faction à l'autre. La pipe, le cigare, la cigarette aident à brûler le temps, les discussions d'art et de politique le tuent quelquefois, mais on ne peut toujours fumer, parler ou dormir. Or, depuis trois ou quatre jours, il est tombée assez grande quantité de neige, à moitié due déjà dans l'intérieur de Paris, mais qui s'est maintenue sur le rempart, plus exposé au vent froid qui vient de la campagne. Et comme il y a toujours chez l'artiste, quel que soit son âge, un fond d'enfance et de gaminerie, à la vue de cette belle nappe blanche, l'idée d'une bataille à coups de boules de neige se présenta comme une distraction de circonstance. Deux camps se formèrent, et des mains actives convertirent en projectiles les flocons glacés et brillants recueillis sur les talus. L'action allait s'engager quand une voix cria: Ne vaudrait-il pas mieux faire une statue avec ces pains de neige? L'avis parut bon, car MM. Falguière, Moulin et Chapu se trouvaient de garde ce jour-là. On dressa un semblant d'armature en moellons ramassés de côté et d'autre, et les artistes, à qui M. Chapu servait complaisamment de praticien, se mirent à l'œuvre, recevant de toutes mains les masses de neige pétrie que leur passaient leurs camarades.

M. Falguière fit une statue de Résistance et M. Moulin un buste colossal de la République. Deux ou trois heures suffirent à réaliser leur inspiration, qui fut rarement plus heureuse. Ce n'est pas la première fois du reste que de grands artistes daignent sculpter ce marbre de Carrare qui descend du ciel sur la terre en poudre scintillante. Michel-Ange modela pour satisfaire une fantaisie de Pierre de Médicis une statue colossale de neige chose rare à Florence dans la cour même du palais, et ce badinage où éclatait le génie de l'artiste, car lorsqu'on a la pensée la matière importe peu, lui valut la faveur du nouveau grand-duc, qui le protégea comme avait fait Laurent le Magnifique.

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La statue de M. Falguière (que représente notre dessin) est placée au bas d'un épaulement, non loin du corps de garde sur le bord du chemin de ronde, et regarde vers la campagne. L'artiste délicat à qui l'on doit le Vainqueur au Combat de coqs, le Petit Martyr, et l'Ophélie, n'a pas donné à la Résistance ces formes robustes presque viriles, ces grands muscles à la Michel-Ange que le sujet semble d'abord demander. Il a compris qu'il s'agissait ici d'une Résistance morale plutôt que d'une Résistance physique, et au lieu de la personnifier sous les traits d'une sorte d'Hercule femelle prête à la lutte, il lui a donné la grâce un peu frêle d'une Parisienne de nos jours. La Résistance, assise, ou plutôt accotée contre un rocher, croise ses bras sur son torse nu avec un air d'indomptable résolution. Ses pieds mignons.

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ECHECS

PROBLÈME N 331, PAR M. R. ORMOND.

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s'appuyant, les doigts crispés, à une pierre, sem-
blent vouloir s'agrafer au sol. D'un fier mouve-
ment de tête, elle a secoué ses cheveux en arrière
comme pour faire bien voir à l'ennemi sa char-
mante figure, plus terrible que la face de Mé-
duse. Sur les lèvres se joue le léger sourire du
dédain héroïque, et dans le pli des sourcils se ra-
masse l'opiniâtreté de la défense, qui ne reculera
jamais. Non, les gros poings d'un barbare n'atta-
cheront pas ces bras fins et nerveux derrière ce
dos d'une ligne si élégante. Cette taille souple
rompra plutôt que de ployer. La force immaté-
rielle vaincra la force brutale, et, comme l'ange
de Raphaël, mettra le pied sur la croupe mons-
trueuse de la bête.

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Au bas de cette statue improvisée, M. Falguière a eu la modestie d'écrire en lettres noires sur une planchette la Résistance. L'inscription était inutile. En voyant cette figure d'une énergie si obstinée, tout le monde la nommera, quand même elle n'aurait pas à côté d'elle son canon de neige. Il est douloureux de penser que le premier souffle tiède fera fondre et disparaître ce chefd'œuvre, mais l'artiste a promis d'en faire, à sa descente de garde, une esquisse de terre ou de cire pour en conserver l'expression et le mouve

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Nos souscripteurs dont l'abonnement expire avec le dernier numéro de décembre, sont instamment priés de le renouveler sans retard, s'ils veulent n'éprouver aucune lacune dans la réception du journal. Toutes les demandes et

Solution trouvée par M. A. Thionville; les autres communications doivent être adressées à M. Aug.

J.-A. DE R.

MARC, directeur-gérant, 60, rue de Richelieu.

Lundi
Jeudi

Mardi
Samedi
Dimanche

EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS:

Jeune qui veille et vieux qui dort sont tous deux bien près de la mort.

Tout lecteur du rébus ci-dessus qui en enverra une explication exacte avant samedi prochain, pourra récla mer, au tiers de sa valeur, un des huit derniers volumes parus de l'Illustration; soit moyennant 6 fr. au lieu de 18.

AUG. MARC, directeur-gérant.

Imprimes ie de l'ILLUSTRATION, A. MARC, 22, rue de Verneuil, à Paris,
Encres typographiques de Ch. Lorilleux.

Ar

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