Oeuvres de MolièreImp. Fermin Didot, 1813 |
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Page 38
... regarde dans un cabinet . Que cherchez - vous ? ORGON . Je voi Si quelqu'un n'est point là qui pourroit nous entendre , Car ce petit endroit est propre pour surprendre . Or sus , nous voilà bien . J'ai , Mariane , en vous Reconnu de ...
... regarde dans un cabinet . Que cherchez - vous ? ORGON . Je voi Si quelqu'un n'est point là qui pourroit nous entendre , Car ce petit endroit est propre pour surprendre . Or sus , nous voilà bien . J'ai , Mariane , en vous Reconnu de ...
Page 45
... regarde en face . ) Si j'étois en sa place , un homme assurément Ne m'épouseroit pas de force impunément ; Et je lui ... regarder Dorine , qui se tient droite sans parler . ) Ma fille , vous devez approuver mon dessein ... Croire que le ...
... regarde en face . ) Si j'étois en sa place , un homme assurément Ne m'épouseroit pas de force impunément ; Et je lui ... regarder Dorine , qui se tient droite sans parler . ) Ma fille , vous devez approuver mon dessein ... Croire que le ...
Page 74
... regarde céans quels grands troubles j'apporte , Et crois qu'il est besoin , mon frere , que j'en sorte . ORGON . Comment ! vous moquez - vous ? TARTUFFE . On m'y hait , et je voi Qu'on cherche à vous donner des soupçons de ma foi ...
... regarde céans quels grands troubles j'apporte , Et crois qu'il est besoin , mon frere , que j'en sorte . ORGON . Comment ! vous moquez - vous ? TARTUFFE . On m'y hait , et je voi Qu'on cherche à vous donner des soupçons de ma foi ...
Page 111
... regarde incessamment avec une pro- fonde vénération les grandes qualités que vous joi- gnez au sang auguste dont vous tenez le jour , et que je suis , MONSEIGNEUR avec tout le respect possible et tout le zele imaginable , DE VOTRE ...
... regarde incessamment avec une pro- fonde vénération les grandes qualités que vous joi- gnez au sang auguste dont vous tenez le jour , et que je suis , MONSEIGNEUR avec tout le respect possible et tout le zele imaginable , DE VOTRE ...
Page 138
... Regarde , traître , Amphitryon ; Vois combien pour Alcmene il étale de flamme ; Et rougis , là - dessus , du peu de passion Que tu témoignes pour ta femme . MERCURE . Hé ! mon dieu ! Cléanthis , ils sont encore amants . Il est certain ...
... Regarde , traître , Amphitryon ; Vois combien pour Alcmene il étale de flamme ; Et rougis , là - dessus , du peu de passion Que tu témoignes pour ta femme . MERCURE . Hé ! mon dieu ! Cléanthis , ils sont encore amants . Il est certain ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu ALCMENE Allez Allons amant amour AMPHITRYON ANGÉLIQUE assez avez beau BERGERS bontés cagot céans CHLORIS chose ciel CLAUDINE CLEANTE CLEANTHIS CLIMENE CLITAN DRE CLITANDRE cœur COLIN comédie connoître contes coquin coups courroux croire DAMIS déja dessein dévot dieu dieux dire discours donner DORINE doucement douceur doute doux ELMIRE ENTRÉE DE BALLET époux Est-ce êtes femme fille flamme frere gendre gens GEORGE DANDIN grace Hélas homme honnête hymen j'ai j'avois j'en j'étois jamais JUPITER l'ame l'amour laisse LOYAL LUBIN m'en MADAME DE SOTENVILLE MADAME PERNELLE maître maniere mari MARIANE MERCURE monde MONSIEUR DE SOTENVILLE n'en NAUCRATES nuit offense ORGON par-tout pardon parler paroître pendard pense pere POLIDAS prendre qu'à Qu'est-ce raison rien s'est s'il vous plaît sais sauroit SCENE VII seroit seul soin songe sorte SOSIE souffrir Thebes TIRCIS ET PHILENE traître treve vais VALERE valet veut veux voilà vois voulez-vous vrai yeux zele
Fréquemment cités
Page 87 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame, et je sais l'art de lever les scrupules. Le Ciel défend, de vrai, certains contentements ; Mais on trouve avec lui des accommodements1.
Page 36 - L'apparence du mal a chez eux peu d'appui, Et leur âme est portée à juger bien d'autrui. Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre.
Page 119 - Notre sort est beaucoup plus rude Chez les grands que chez les petits. Ils veulent que, pour eux, tout soit dans la nature Obligé de s'immoler. Jour et nuit, grêle, vent, péril, chaleur, froidure, Dès qu'ils parlent il faut voler. Vingt ans d'assidu service N'en obtiennent rien pour nous : Le moindre petit caprice Nous attire leur courroux.
Page 32 - Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il...
Page 34 - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré. Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science, Du faux avec le vrai faire la différence.
Page 67 - Mais les gens comme nous brûlent d'un feu discret, Avec qui, pour toujours, on est sûr du secret. Le soin que nous prenons de notre renommée Répond de toute chose à la personne aimée ; Et c'est en nous qu'on trouve, acceptant notre cœur, De l'amour sans scandale et du plaisir sans peur.
Page 9 - Celui-ci est, dans l'état, d'une conséquence bien plus dangereuse que tou* les autres, et nous avons vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction. Les plus beaux traits d'une sérieuse morale sont moins puissants, le plus souvent, que ceux de la satire ; et rien ne reprend mieux la plupart des hommes que la peinture de leurs défauts.
Page 35 - Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités A prix de faux clins d'yeux et d'élans affectés; Ces gens, dis-je, qu'on voit d'une ardeur non commune...
Page 34 - Hé, quoi ! vous ne ferez nulle distinction Entre l'hypocrisie et la dévotion ? Vous les voulez traiter d'un semblable langage...
Page 35 - Ils ne censurent point toutes nos actions, Ils trouvent trop d'orgueil dans ces corrections, Et laissant la fierté des paroles aux autres, C'est par leurs actions, qu'ils reprennent les nôtres.