Oeuvres de MolièreImp. Fermin Didot, 1813 |
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Page 17
... viens chercher ? Et qui puis - je solliciter contre l'au- torité de la puissance qui m'accable , que la source de la puissance et de l'autorité , que le juste dispensa- teur des ordres absolus , que le souverain juge et le maître de ...
... viens chercher ? Et qui puis - je solliciter contre l'au- torité de la puissance qui m'accable , que la source de la puissance et de l'autorité , que le juste dispensa- teur des ordres absolus , que le souverain juge et le maître de ...
Page 70
... viens d'entendre , ô ciel ! est - il croyable ? TARTUFFE . Oui , mon frere , je suis un méchant , un coupable , Un malheureux pécheur , tout plein d'iniquité , Le plus grand scélérat qui jamais ait été . Chaque instant de ma vie est ...
... viens d'entendre , ô ciel ! est - il croyable ? TARTUFFE . Oui , mon frere , je suis un méchant , un coupable , Un malheureux pécheur , tout plein d'iniquité , Le plus grand scélérat qui jamais ait été . Chaque instant de ma vie est ...
Page 98
... viens pour un fait dont il sera bien aise . DORINE . Votre nom ? M. LOYAL . Dites - lui seulement que je vien De la part de monsieur Tartuffe , pour son bien . DORINE , à Orgon . C'est un homme qui vient , avec douce maniere , De la ...
... viens pour un fait dont il sera bien aise . DORINE . Votre nom ? M. LOYAL . Dites - lui seulement que je vien De la part de monsieur Tartuffe , pour son bien . DORINE , à Orgon . C'est un homme qui vient , avec douce maniere , De la ...
Page 99
... viens , monsieur , avec votre licence , Signifier l'exploit de certaine ordonnance ... ORGON . * Quoi ! vous êtes ici ... M. LOYAL . Monsieur , sans passion . Ce n'est rien seulement qu'une sommation , Un ordre de vuider d'ici , vous et ...
... viens , monsieur , avec votre licence , Signifier l'exploit de certaine ordonnance ... ORGON . * Quoi ! vous êtes ici ... M. LOYAL . Monsieur , sans passion . Ce n'est rien seulement qu'une sommation , Un ordre de vuider d'ici , vous et ...
Page 103
... viens vous affliger ; Mais je m'y vois contraint par le pressant danger . Un ami , qui m'est joint d'une amitié fort tendre , Et qui sait l'intérêt qu'en vous j'ai lieu de prendre , A violé pour moi par un pas délicat Le secret que l'on ...
... viens vous affliger ; Mais je m'y vois contraint par le pressant danger . Un ami , qui m'est joint d'une amitié fort tendre , Et qui sait l'intérêt qu'en vous j'ai lieu de prendre , A violé pour moi par un pas délicat Le secret que l'on ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu ALCMENE Allez Allons amant amour AMPHITRYON ANGÉLIQUE assez avez beau BERGERS bontés cagot céans CHLORIS chose ciel CLAUDINE CLEANTE CLEANTHIS CLIMENE CLITAN DRE CLITANDRE cœur COLIN comédie connoître contes coquin coups courroux croire DAMIS déja dessein dévot dieu dieux dire discours donner DORINE doucement douceur doute doux ELMIRE ENTRÉE DE BALLET époux Est-ce êtes femme fille flamme frere gendre gens GEORGE DANDIN grace Hélas homme honnête hymen j'ai j'avois j'en j'étois jamais JUPITER l'ame l'amour laisse LOYAL LUBIN m'en MADAME DE SOTENVILLE MADAME PERNELLE maître maniere mari MARIANE MERCURE monde MONSIEUR DE SOTENVILLE n'en NAUCRATES nuit offense ORGON par-tout pardon parler paroître pendard pense pere POLIDAS prendre qu'à Qu'est-ce raison rien s'est s'il vous plaît sais sauroit SCENE VII seroit seul soin songe sorte SOSIE souffrir Thebes TIRCIS ET PHILENE traître treve vais VALERE valet veut veux voilà vois voulez-vous vrai yeux zele
Fréquemment cités
Page 87 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame, et je sais l'art de lever les scrupules. Le Ciel défend, de vrai, certains contentements ; Mais on trouve avec lui des accommodements1.
Page 36 - L'apparence du mal a chez eux peu d'appui, Et leur âme est portée à juger bien d'autrui. Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre.
Page 119 - Notre sort est beaucoup plus rude Chez les grands que chez les petits. Ils veulent que, pour eux, tout soit dans la nature Obligé de s'immoler. Jour et nuit, grêle, vent, péril, chaleur, froidure, Dès qu'ils parlent il faut voler. Vingt ans d'assidu service N'en obtiennent rien pour nous : Le moindre petit caprice Nous attire leur courroux.
Page 32 - Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il...
Page 34 - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré. Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science, Du faux avec le vrai faire la différence.
Page 67 - Mais les gens comme nous brûlent d'un feu discret, Avec qui, pour toujours, on est sûr du secret. Le soin que nous prenons de notre renommée Répond de toute chose à la personne aimée ; Et c'est en nous qu'on trouve, acceptant notre cœur, De l'amour sans scandale et du plaisir sans peur.
Page 9 - Celui-ci est, dans l'état, d'une conséquence bien plus dangereuse que tou* les autres, et nous avons vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction. Les plus beaux traits d'une sérieuse morale sont moins puissants, le plus souvent, que ceux de la satire ; et rien ne reprend mieux la plupart des hommes que la peinture de leurs défauts.
Page 35 - Font de dévotion métier et marchandise, Et veulent acheter crédit et dignités A prix de faux clins d'yeux et d'élans affectés; Ces gens, dis-je, qu'on voit d'une ardeur non commune...
Page 34 - Hé, quoi ! vous ne ferez nulle distinction Entre l'hypocrisie et la dévotion ? Vous les voulez traiter d'un semblable langage...
Page 35 - Ils ne censurent point toutes nos actions, Ils trouvent trop d'orgueil dans ces corrections, Et laissant la fierté des paroles aux autres, C'est par leurs actions, qu'ils reprennent les nôtres.