Notices et mémoires historiques, Volume 1Paulin, 1845 - 508 pages |
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Page ii
... Raynouard , et en y rece- vant ensuite M. Flourens , qui succédait à M. Mi- chaud , et M. le baron Pasquier , qui succédait à M. Frayssinous . En retraçant la vie et en appré- ciant les travaux de ces hommes considérables dans la ...
... Raynouard , et en y rece- vant ensuite M. Flourens , qui succédait à M. Mi- chaud , et M. le baron Pasquier , qui succédait à M. Frayssinous . En retraçant la vie et en appré- ciant les travaux de ces hommes considérables dans la ...
Page 333
... RAYNOUARD . Messieurs , Depuis le jour où la pensée d'un grand homme a fait de la modeste réunion de quelques gens de lettres une éclatante institution publique , l'Académie française a heureusement secondé et fidèlement représenté l ...
... RAYNOUARD . Messieurs , Depuis le jour où la pensée d'un grand homme a fait de la modeste réunion de quelques gens de lettres une éclatante institution publique , l'Académie française a heureusement secondé et fidèlement représenté l ...
Page 335
... Raynouard , par le nombre et la variété de ses ouvrages , l'élévation de son esprit , l'éclat de son talent et la richesse de ses con- naissances , était un des membres les plus considérables de votre assemblée . Appelé à le remplacer ...
... Raynouard , par le nombre et la variété de ses ouvrages , l'élévation de son esprit , l'éclat de son talent et la richesse de ses con- naissances , était un des membres les plus considérables de votre assemblée . Appelé à le remplacer ...
Page 336
... Raynouard concourut et fut couronné . La beauté des vers , faits selon le goût un peu sentencieux du temps , et la hardiesse de pensées fort libres encore , mais qui , en 1803 , commençaient à déplaire partout ailleurs qu'à l'Académie ...
... Raynouard concourut et fut couronné . La beauté des vers , faits selon le goût un peu sentencieux du temps , et la hardiesse de pensées fort libres encore , mais qui , en 1803 , commençaient à déplaire partout ailleurs qu'à l'Académie ...
Page 337
... Raynouard votre confrère , vous avez voulu qu'il s'assît , à la mort de M. Suard , dans le fauteuil de d'Alembert . Mais ce succès acquis devant vous , messieurs , en présageait un plus grand encore devant le public . M. Raynouard ne ...
... Raynouard votre confrère , vous avez voulu qu'il s'assît , à la mort de M. Suard , dans le fauteuil de d'Alembert . Mais ce succès acquis devant vous , messieurs , en présageait un plus grand encore devant le public . M. Raynouard ne ...
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Notices et mémoires historiques, Volume 1 François-Auguste-Alexis-Marie Mignet Affichage du livre entier - 1843 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 121 - L'auteur de cet écrit n'est plus ; je vous apporte son dernier ouvrage ; et telle était la réunion de son sentiment et de sa pensée également voués à la chose publique , qu'en l'écoutant vous assistez presque à son dernier soupir. Discours de M. Mirabeau l'aîné sur l'égalité des successions en ligne directe. • Ce...
Page 198 - Après la révolution de 1830, une justice tardive avait été rendue à son mérite comme à sa renommée. Le gouvernement nouveau avait créé pour lui une chaire de pathologie et de thérapeutique générales à la Faculté de Médecine de Paris [1], et l'Académie des Sciences morales et politiques, dès son rétablissement, l'avait appelé dans sa section de philosophie.
Page 217 - Il proposa ensuite la dissolution de cette puissante commune qui avait dominé les gouvernements et les assemblées, etqui fut décomposée en douze commissions séparées et indépendantes les unes des autres. Mais ce qui était plus difficile, c'était de fermer la société des Jacobins, dans laquelle se conservaient les maximes et les regrets du régime détruit, et dont les séances provoquaient dans Paris une guerre journalière. Les trois comités de salut public, de sûreté générale et...
Page 13 - ... mon profond regret que l'homme qui a posé les bases de la constitution et qui a le plus contribué .à votre grand ouvrage, que l'homme qui a révélé au monde les véritables principes du gouvernement représentatif...
Page 6 - Le plan de cet écrit est assez simple. Nous avons trois questions à nous faire : 1* Qu'est-ce que le tiers état ? — Tout. 2° Qu'at-il été jusqu'à présent dans l'ordre politique?
Page 22 - ... qu'il regrette votre absence et qu'il désire ardemment votre retour... Il vous attend, vous et les braves qui sont avec vous. Il ne veut pas que vous vous reposiez sur la négociation de M. de Bouligny. Il vous autorise à prendre, pour hâter et assurer votre retour, toutes les mesures militaires et politiques que votre génie et les événements vous suggéreront 1.
Page 299 - Les formes judiciaires n'étant pas suivies, ce n'est point par un jugement criminel que la Convention a voulu prononcer : je ne lirai donc pas les pages sanglantes de notre code, puisque vous avez écarté toutes celles où l'humanité avait tracé les formes protectrices de l'innocence; je ne prononce donc pas comme juge. Or il n'est .pas de la nature d'une mesure d'administration de s'étendre à la peine capitale. Cette peine serait -elle utile?
Page 392 - Qu'on doit être fort obligé à un homme tel que lui quand il veut bien, pour l'utilité publique, faire quelque chose qui ne soit pas de génie.
Page 11 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides ; et que, ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature cette résolution inébranlable.
Page 14 - supplié au nom de l'amitié dont il m'honore, au nom de l'amour de la patrie, ce sentiment bien autrement énergique et sacré, de nous doter de ses idées, de ne pas laisser cette lacune dans la constitution : il m'a refusé ; je vous le dénonce. Je vous conjure, à mon tour, d'obtenir son avis, qui ne doit pas être un secret ; d'arracher enfin au découragement un homme, dont je regarde le silence et l'inaction comme une calamité publique...