Notices et mémoires historiques, Volume 1Paulin, 1845 - 508 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page iv
... avaient été jus- que - là les forces respectives de la barbarie et de la civilisation sur notre continent ; comment les vastes espaces occupés par la première , étant beaucoup plus considérables que la zone étroite où s'était développée ...
... avaient été jus- que - là les forces respectives de la barbarie et de la civilisation sur notre continent ; comment les vastes espaces occupés par la première , étant beaucoup plus considérables que la zone étroite où s'était développée ...
Page 5
... avaient été refusées par les corps privilégiés de l'État ; la royauté , animée des meilleures intentions , n'avait pu les réaliser administrativement . Le désordre des finances , pour le rétablissement desquelles on avait vainement ...
... avaient été refusées par les corps privilégiés de l'État ; la royauté , animée des meilleures intentions , n'avait pu les réaliser administrativement . Le désordre des finances , pour le rétablissement desquelles on avait vainement ...
Page 9
... à la plupart des lecteurs ; mais , dans presque tous les or- ( 1 ) Qu'est - ce que le tiers - état ? chap . I , S III , et chap . vi . ( 2 ) Ibid . , chap . VI . dres de préjugés , si des écrivains n'avaient consenti à SIEYÈS .
... à la plupart des lecteurs ; mais , dans presque tous les or- ( 1 ) Qu'est - ce que le tiers - état ? chap . I , S III , et chap . vi . ( 2 ) Ibid . , chap . VI . dres de préjugés , si des écrivains n'avaient consenti à SIEYÈS .
Page 10
... avaient consenti à passer pour fous , le monde en serait aujourd'hui moins sage . La vérité ne s'insinue que lentement dans une masse aussi grande que l'est une nation . Ne faut - il pas laisser aux hommes qu'elle gêne le temps de s'y ...
... avaient consenti à passer pour fous , le monde en serait aujourd'hui moins sage . La vérité ne s'insinue que lentement dans une masse aussi grande que l'est une nation . Ne faut - il pas laisser aux hommes qu'elle gêne le temps de s'y ...
Page 17
... avaient conduit aux traités de paix avec la Prusse , la Hollande et l'Espagne , avaient été suivies de vic- toires encore plus éclatantes et plus décisives , qui avaient obligé l'Autriche à accepter la paix de Campo - Formio . Toutes ...
... avaient conduit aux traités de paix avec la Prusse , la Hollande et l'Espagne , avaient été suivies de vic- toires encore plus éclatantes et plus décisives , qui avaient obligé l'Autriche à accepter la paix de Campo - Formio . Toutes ...
Autres éditions - Tout afficher
Notices et mémoires historiques, Volume 1 François-Auguste-Alexis-Marie Mignet Affichage du livre entier - 1843 |
Notices et mémoires historiques, Volume 1 François-Auguste-Alexis-Marie Mignet Affichage du livre entier - 1843 |
Expressions et termes fréquents
admirable assemblée avaient avez besoin bientôt Bonaparte Broussais célèbre cerveau choses civile clergé code comité Condillac Conseil d'État Convention Convention nationale corps Daunou devait devint Directoire doctrine école Égypte époque esprit établir États-Unis fonder force forme François Ier général généreux Georges Cuvier gloire gouvernement habile hardi hommes humain idées jour justice L'ACADÉMIE DES SCIENCES l'Angleterre l'Assemblée constituante l'Autriche l'avait l'Empereur l'Empire l'esprit l'État l'Europe l'histoire l'homme l'intelligence l'un législation liberté Livingston lois Louis Louis XIV Louis XVI Louisiane maladies membres ment Merlin Michaud modération monarchie monde Monsieur morales et politiques n'avait Napoléon nation nationale noble nommé organes parole passé passions pays pendant pensée peuple philosophie pouvait premier Consul principes prit Prusse publique puissance Raynouard réforme reste Révolution Roederer s'était savant SCIENCES MORALES sentiments seul siècle Sieyès social société sorte spirituel succès système talent Talleyrand tard théorie tiers-état tion toyens Tracy traités de Bâle travaux vaste volonté
Fréquemment cités
Page 121 - L'auteur de cet écrit n'est plus ; je vous apporte son dernier ouvrage ; et telle était la réunion de son sentiment et de sa pensée également voués à la chose publique , qu'en l'écoutant vous assistez presque à son dernier soupir. Discours de M. Mirabeau l'aîné sur l'égalité des successions en ligne directe. • Ce...
Page 198 - Après la révolution de 1830, une justice tardive avait été rendue à son mérite comme à sa renommée. Le gouvernement nouveau avait créé pour lui une chaire de pathologie et de thérapeutique générales à la Faculté de Médecine de Paris [1], et l'Académie des Sciences morales et politiques, dès son rétablissement, l'avait appelé dans sa section de philosophie.
Page 217 - Il proposa ensuite la dissolution de cette puissante commune qui avait dominé les gouvernements et les assemblées, etqui fut décomposée en douze commissions séparées et indépendantes les unes des autres. Mais ce qui était plus difficile, c'était de fermer la société des Jacobins, dans laquelle se conservaient les maximes et les regrets du régime détruit, et dont les séances provoquaient dans Paris une guerre journalière. Les trois comités de salut public, de sûreté générale et...
Page 13 - ... mon profond regret que l'homme qui a posé les bases de la constitution et qui a le plus contribué .à votre grand ouvrage, que l'homme qui a révélé au monde les véritables principes du gouvernement représentatif...
Page 6 - Le plan de cet écrit est assez simple. Nous avons trois questions à nous faire : 1* Qu'est-ce que le tiers état ? — Tout. 2° Qu'at-il été jusqu'à présent dans l'ordre politique?
Page 22 - ... qu'il regrette votre absence et qu'il désire ardemment votre retour... Il vous attend, vous et les braves qui sont avec vous. Il ne veut pas que vous vous reposiez sur la négociation de M. de Bouligny. Il vous autorise à prendre, pour hâter et assurer votre retour, toutes les mesures militaires et politiques que votre génie et les événements vous suggéreront 1.
Page 299 - Les formes judiciaires n'étant pas suivies, ce n'est point par un jugement criminel que la Convention a voulu prononcer : je ne lirai donc pas les pages sanglantes de notre code, puisque vous avez écarté toutes celles où l'humanité avait tracé les formes protectrices de l'innocence; je ne prononce donc pas comme juge. Or il n'est .pas de la nature d'une mesure d'administration de s'étendre à la peine capitale. Cette peine serait -elle utile?
Page 392 - Qu'on doit être fort obligé à un homme tel que lui quand il veut bien, pour l'utilité publique, faire quelque chose qui ne soit pas de génie.
Page 11 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides ; et que, ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature cette résolution inébranlable.
Page 14 - supplié au nom de l'amitié dont il m'honore, au nom de l'amour de la patrie, ce sentiment bien autrement énergique et sacré, de nous doter de ses idées, de ne pas laisser cette lacune dans la constitution : il m'a refusé ; je vous le dénonce. Je vous conjure, à mon tour, d'obtenir son avis, qui ne doit pas être un secret ; d'arracher enfin au découragement un homme, dont je regarde le silence et l'inaction comme une calamité publique...