Essai sur la théorie des torrens et des rivièresBidault, 1797 - 284 pages |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi ainſi amont auffi augmentera avons baſe berge berme C'eſt canal caufe cauſe charier chûte conféquent confidérable conftamment conftruction conſtruction corrofion creufer crues dépôts digue oblique digues à péré digues perpendiculaires diminuera diſtance divifions doit Durance eaux pluviales effentiel endroit eſt viſible fans feconde fection fent fera feront feulement fimple flottaifon foient foit fon cours fon lit fond de fable fond de gravier font force fources fouvent fuit fuivant fujet fuperficie fupérieures fur les rivières furface gabions gouffres groffièreté des matières hallable hallage hauteur jufqu'à l'eau l'embouchure largeur lifez ligne limon lit d'une rivière lit des rivières lit majeur lorfque lorſque maffe matières du fond ment moyen n'eft n'eſt navigation obfervations pefant pente plufieurs poffible pourroit profondeur d'eau puifque raifon refte réſiſtance rétréciffemens rétréciffement Rhône rivières à fond ſera ſoit ſur teffe tems terrein toifes torrens-rivières torrent tunages vallées venons vières vîteffe vîteſſe volume d'eau
Fréquemment cités
Page 229 - Les quatre premiers font les baflîns du Rhône, de la Seine, de la Loire & de la Garonne. Les...
Page 65 - Les bois étant détruits, les eaux d'orage n'ont plus trouvé d'interception dans leur chûte.
Page 218 - Et puifque(i£i & 178) les rivières ont plus de pente dans les pays de montagnes , que dans les pays de plaines , il s'enfuit que le hallage fera d'autant plus difficile > que le pays fera plus montueux. des pays oe monta- il e» ' I La chofe eft prouvée par l'exemple du Rhône , de la Haute.Loire & de la Garonne.
Page 65 - La partie restante, et qu'ils ne pouvaient pas retenir, ne » tombait que goutte à goutte, et dans des intervalles assez longs pour qu'elle eût le temps , » de filtrer dans les terres. D'autre part, la couche de terre végétale, qui s'accroissait an» nuellement par la chute des feuilles, s'imbibait d'une quantité considérable de ces eaux.