La partie restante, et qu'ils ne pouvaient pas retenir, ne » tombait que goutte à goutte, et dans des intervalles assez longs pour qu'elle eût le temps , » de filtrer dans les terres. D'autre part, la couche de terre végétale, qui s'accroissait... Essai sur la théorie des torrens et des rivières - Page 65 de Jean-Antoine Fabre - 1797 - 284 pages Affichage du livre entier -
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