Chrestomathie française: Littérature de l'enfance. 7. éd. revue. ... par Auguste Vinet. 1856G. Bridel, 1856 |
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... pouvait plus lire Cicéron , mais il pouvait le réciter ) , jeune barbare que j'étais , je ne comprenais rien à cet enthousiasme ni à cette lenteur ; mais le temps a fait son œuvre ; j'ai étudié , VI.
... pouvait plus lire Cicéron , mais il pouvait le réciter ) , jeune barbare que j'étais , je ne comprenais rien à cet enthousiasme ni à cette lenteur ; mais le temps a fait son œuvre ; j'ai étudié , VI.
Page vii
... pouvait se dire , vous oblige à cha- que vers à vous arrêter pour admirer ; où l'élégance la plus ex- quise semble n'être elle - même qu'une partie de la vérité ; où la suite du dialogue , l'enchaînement des idées dans chaque discours ...
... pouvait se dire , vous oblige à cha- que vers à vous arrêter pour admirer ; où l'élégance la plus ex- quise semble n'être elle - même qu'une partie de la vérité ; où la suite du dialogue , l'enchaînement des idées dans chaque discours ...
Page 8
... pouvait assez regarder les fontaines pures et les ruisseaux 13 rapides qui arrosaient cette déli- cieuse campagne ; il s'avançait vers les bocages sacrés qui environnent1 le temple du dieu ; il était étonné de voir cette verdure que les ...
... pouvait assez regarder les fontaines pures et les ruisseaux 13 rapides qui arrosaient cette déli- cieuse campagne ; il s'avançait vers les bocages sacrés qui environnent1 le temple du dieu ; il était étonné de voir cette verdure que les ...
Page 20
... pouvait louer l'un sans louer aussi l'autre , ni séparer deux hommes aussi étroitement unis même après leur mort . 8 Ce qu'il y eut de plus merveilleux , c'est que , dès le premier jour , pendant que Sophronyme faisait des libations de ...
... pouvait louer l'un sans louer aussi l'autre , ni séparer deux hommes aussi étroitement unis même après leur mort . 8 Ce qu'il y eut de plus merveilleux , c'est que , dès le premier jour , pendant que Sophronyme faisait des libations de ...
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... pouvait plus sacrifier dans le camp , tant l'horreur de ma plaie , son infection et la violence de mes cris , troublaient toute l'armée . Mais au moment où je me vis abandonné de tous les Grecs , par les conseils d'Ulysse , cette ...
... pouvait plus sacrifier dans le camp , tant l'horreur de ma plaie , son infection et la violence de mes cris , troublaient toute l'armée . Mais au moment où je me vis abandonné de tous les Grecs , par les conseils d'Ulysse , cette ...
Expressions et termes fréquents
aimait Alcine arbres assez ASSUÉRUS ATHALIE avaient avez bataille beau bientôt c'était Callisthène Carnut cher chercher cheval chose ciel cœur coup courage Cyrus d'autres DÉRICOUR devant Dieu dieux dire dit-il donner doux DUC D'YORK duc de Bretagne ÉDOUARD enfants ennemis Épaminondas Esther faisait Fénelon fille fils fleurs frère Gallicisme gens Glaucon GLOCESTER gloire Grèce GRICHARD guerre heureux hommes j'ai j'étais jamais jeune jour JOURDAIN Jupiter l'armée laisse langue larmes LEFFILÉ LOLIVE Lysimaque Madame madame de Ventadour main maître malheureux Mardochée mère mille monde monsieur montagnes mort mourir n'avait nature Néoptolème nuit oiseaux parler passer patrie pauvre peine pensée père Perse peuple Philoctète pieds plaisir pleurs porte pouvait présent prince qu'un raison Régulus reste rien sais seigneur semble sentiments serait seul soin soldats soleil Sophronyme sort subjonctif Subst terre tête Tirtée tomber Troglodytes troupes trouve Ulysse vaisseau vallée venir verbe veux voilà vois voix voulait Voyez yeux
Fréquemment cités
Page 349 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie : Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour ; partant, plus de joie.
Page 342 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 299 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 345 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon.
Page 342 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 433 - Seigneur, je n'ai jamais contemplé qu'avec crainte L'auguste majesté sur votre front empreinte. Jugez combien ce front, irrité contre moi, Dans mon âme troublée a dû jeter d'effroi. Sur ce trône sacré, qu'environné la foudre, J'ai cru vous voir tout prêt à me réduire en poudre.
Page 342 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau : Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau , Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon, tout me semble zéphyr.
Page 350 - D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Page 299 - Non, monsieur. Tout ce qui n'est point prose est vers, et tout ce qui n'est point vers est prose.
Page 428 - Et confonds tous ces dieux qui ne furent jamais. Pour moi , que tu retiens parmi ces infidèles, Tu sais combien je hais leurs fêtes criminelles , Et que je mets au rang des profanations Leur table , leurs festins et leurs...