Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts, les mœurs, les usages, &c. des chinois:, Volume 9

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Chez Nyon, Libraire, 1783 - 470 pages
 

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Page 385 - Elle offrait ses vœux et son say> crifice, le cœur affligé de ce que le fils ne venait pas encore. » Tan'dis qu'elle était occupée de ces grandes pensées, lo » Chang-ty l'exauça. (Le texte et la version latine ajoutent; » elle s'arrêta sur une place où le souverain Seigneur avait » laissé la trace [du doigt de son pied) et à l'instant, dans
Page 359 - Chine autorisaient à porter un tel jugement : « ll ne faut pas juger de la Chine par ce qu'en racontent ceux qui ne l'ont vue que sur les bords de la rivière de Canton, et moins encore par ce qu'ils y achètent.
Page 17 - ... qui sont préposés pour faire garder la loi. « Comme je porte dans mon cœur tous les hommes , je voudrais que tous les hommes pussent avoir part à mes bienfaits. Je veux surtout forcer, en quelque sorte, tous mes sujets à désirer que je vive longtemps, afin que je règne encore longtemps sur eux. Je n'ai rien oublié de ce qui dépend de moi pour leur procurer les cinq sortes de bonheur.
Page 16 - Tribunal des subsides) de donner toute son attention à cet article, et de m'instruire du résultat de ce qu'il aura déterminé. « 17. Qu'on s'informe de l'état actuel de tous ceux qui, ayant souffert ci-devant de l'inondation...
Page 17 - Que les mandarins des lieux respectifs aient un soin particulier des veuves, des orphelins, des malades, des vieillards et de tous ceux qui n'ont aucune ressource. Qu'ils emploient pour les secourir les...
Page 19 - fatigue peu proportionnée à mon âge ne me fasse « manquer à quelque chose de la décence, du res« pect et de l'attention qu'on doit apporter en les « pratiquant Ainsi, je détermine dès à présent « qu'à compter du solstice prochain, où j'offrirai le « sacrifice dans le Tien-tan, les princes mes fils « s'acquitteront de ce devoir conjointement avec « moi, en faisant toutes les cérémonies acces...
Page 384 - Je conçut en marchant sur les traces d'un géant; celle de Chin-nong, par la faveur d'un esprit qui lui apparut ; celle de Hoang-ty, par la lueur d'un éclair et d'une lumière céleste dont elle fut environnée ; celle de Yao, par la clarté d'une étoile qui jaillit sur elle pendant un songe; celle de Yu par la vertu d'une perle qui tomba des nues dans son sein et qu'elle avala, etc. Presque tous les fondateurs de dynastie, pour se prêter an préjugé public, ont fait naître le chef de leur...
Page 434 - Là se fait la cuisine, parce que devant l'estrade il ya un fourneau qu'on chauffe avec du charbon de terre. De ce fourneau la chaleur se répand sous l'estrade par des canaux, et voilà ce qui tient lieu de feu en hiver. Une petite cour est toute bordée de ces habitations.
Page 14 - Qu'on élève à un grade supérieur chaque mandarin, tant mantchou que chinois. « 6. -Pour ce qui est des grands et petits mandarins, tant du dedans que . du dehors, qui avaient obtenu ci-devant des titres pour leurs ancêtres, ils pourront ajouter à ces titres les nouveaux titres dont ils sont décorés euxmêmes. « 7. Je donne à tous ceux qui avaient le titre, ou l'expectative de quelque mandarinat, de pouvoir entrer en charge, d'en exercer les fonctions, et de jouir des revenus qui y sont...
Page 386 - Kong-yng, avait été conçu par l'union des deux sexes, il n'y aurait rien d'extraordinaire. Pourquoi le poète insisterait-il si fort sur les louanges de la mère, tandis qu'il ne dit mot du père? Ayant été conçu sans l'union des deux sexes, dit Tsoutsong-po, et le Tien lui ayant donné la vie par miracle, il devait naître sans blesser la virginité de sa mère.

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