Vita di Caterina de' MediciV. Batelli e figli, 1838 - 472 pages |
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Expressions et termes fréquents
allora ambasciatore ARCHIVIO MEDICEO autres avait avoir avoit bien bois de Vincennes Borbone Brantôme Capefigue cardinal Carlo Carlo IX Carteggio di Francia casa Caterina cattolici Cavriana ceste ch'egli chambre città Coligny colla consiglio corte cour Davila deux dice dict Dieu duc d'Albe duca di Guisa dudit enfans Enrico Enrico di Guisa Enrico III Epernone esté estoient estoit estre etait faict faire fait faut fazione feut figliuolo fils Filza forza Francesco François Giojosa giorno guerra Hist huguenots innanzi j'ai jour l'Ammiraglio les huguenots lettera ligarj Lorena luogo madre maggiore mais maison medesimo Medici mente morte Navarra nuovo pace paix Parigi Paris peuple popolo poteva prince principe di Condè protestanti qu'elle qu'il qu'on re di Navarra Regina regno Reine religion rien royaume royne s'en s'il sadite Majesté San Bartolommeo sieur signori Spagna strage Tavannes temps Thuanus tout Ugonotti Vedi voir zione
Fréquemment cités
Page 270 - Ha, gentil sire, depuis que je repassai la mer en grand péril, si comme vous savez, je ne vous ai rien requis ni demandé : or vous prie-je humblement et requiers en propre don, que pour le Fils de sainte Marie , et pour l'amour de moi , vous veuillez avoir de ces six hommes mercy.
Page 269 - Gauthier, je vous délivre comme capitaine « de Calais, par le consentement du pauvre peuple de « cette ville, ces six bourgeois Si vous prie , gentil «sire, que vous veuilliez prier pour eux au roi «d'Angleterre, que ces bonnes gens ne soient mis à
Page 268 - ... aumône et grand grâce envers notre Seigneur, a qui de tel meschef le pourrait garder. Je, endroit moi, ai si grand espérance d'avoir grâce et pardon envers notre Seigneur, si je meurs pour ce peuple sauver, que je veux être le premier, et me mettrai volontiers...
Page 348 - Je m'étais couché la veille de bonne heure. Je me sentis réveiller, sur les trois heures après minuit, par le son de toutes les cloches, et par les cris confus de la populace.
Page 302 - Non, non, dit-il, ma tante; je vous honore « plus que le Pape , et aime plus ma sœur que je ne le « crains. Je ne suis pas huguenot , mais je ne suis pas
Page 349 - ... furieux qui couraient de toutes parts, et enfonçaient les maisons en criant : tue, tue , massacre les huguenots; et le sang que je voyais répandre sous mes yeux redoublait ma frayeur. Je tombai au milieu d'un corps-de-garde qui m'arrêta. Je fus questionné; on commençait à me maltraiter, lorsque le livre que je portais fut aperçu heureusement pour moi, et me servit de passe-port.
Page 270 - Le roi attendit un petit à parler, et regarda la bonne dame sa femme qui pleuroit à genoux moult tendrement ; si lui amollia le cœur...
Page 367 - ... à ceste cause et occasion se sont esmeus ceste nuict passée, si bien qu'entre les uns et les autres il s'est passé une bien grande et lamentable sédition, ayant esté forcé le corps de garde qui avoit esté ordonné à l'entrée de la maison...
Page 295 - J'ai oublié un autre point qui est bien nécessaire , « et cela se fera aisément si vous le trouvez bon ; » c'est qu'en toutes les principales villes de votre » royaume , vous- y gagniez trois ou quatre des prin...
Page 345 - Que les quarteniers seuls , pour éviter esmotion et meurtres, aillent en toutes les maisons faire au vray et sans aucune omission , sur peine de la vie , la note des noms et surnoms des hommes, femmes et enfans , enjoignant aux maistres et maistresses ou à ceux qui sont logés es maisons, de bien garder tous les religionnaires; qu'il ne leur soit faict aucun tort ni desplaisir , aussi sur peine de la vie.