Joannis Baptistæ Santolii Victorini operum omnium editio tertia ..Apud Spiritum Billiot, 1729 |
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... mori . * Cette Piece & la fuivante Mufes . Notre Poëte les avoit font deux plaintes contre les faites avant la precedente . Tomus II . • B AD EANDEM MUSAM . Mufa cadente fe quoque cadentem fingit QUERIMONIE . * AD IMPROBAM ...
... mori . * Cette Piece & la fuivante Mufes . Notre Poëte les avoit font deux plaintes contre les faites avant la precedente . Tomus II . • B AD EANDEM MUSAM . Mufa cadente fe quoque cadentem fingit QUERIMONIE . * AD IMPROBAM ...
Page 16
... deux oreilles , gardez vous bien de montrer à perfonne la piece de Chan- tilly , ferieufement Monfieur le Prince est d'une colere horrible contre vous , de ce que vous l'avez envoyée à Monfieur le Duc du Maine ; il dit que vous ne ...
... deux oreilles , gardez vous bien de montrer à perfonne la piece de Chan- tilly , ferieufement Monfieur le Prince est d'une colere horrible contre vous , de ce que vous l'avez envoyée à Monfieur le Duc du Maine ; il dit que vous ne ...
Page 22
... deux , Et dont la table étoit commune , Les mets les plus delicieux Etoient mon ragoût ordinaire , Je vous les dérobois , je fçavois lors vous plaire , Dans ce tems le voleur étoit cher à vos yeux . Pour me rendre poli vous preniez tant ...
... deux , Et dont la table étoit commune , Les mets les plus delicieux Etoient mon ragoût ordinaire , Je vous les dérobois , je fçavois lors vous plaire , Dans ce tems le voleur étoit cher à vos yeux . Pour me rendre poli vous preniez tant ...
Page 26
... Mai- ne ; la feconde de Madame la Ducheffe du Maine , & la troi- fiéme de Monfieur Perlan , tou- tes deux adreffées à M. de San- teul à ce fujet . Fata adiment , noftram non tamen illa fidem . Indiderat 26 QUERIMONIA .
... Mai- ne ; la feconde de Madame la Ducheffe du Maine , & la troi- fiéme de Monfieur Perlan , tou- tes deux adreffées à M. de San- teul à ce fujet . Fata adiment , noftram non tamen illa fidem . Indiderat 26 QUERIMONIA .
Page 41
... deux excellens Poëtes : l'un par étude , l'au- tre naturellement . Monfieur Langlet éroit grave , pofé , & veritablement comme plus âgé , fe croyoit en droit d'arrêter les faillies de Monfieur de Santeul vif , prompt , impetueux , dont ...
... deux excellens Poëtes : l'un par étude , l'au- tre naturellement . Monfieur Langlet éroit grave , pofé , & veritablement comme plus âgé , fe croyoit en droit d'arrêter les faillies de Monfieur de Santeul vif , prompt , impetueux , dont ...
Fréquemment cités
Page 209 - ... m'en étais flatté; je crois que vous êtes assez convaincu de tous les sentiments par lesquels je vous suis attaché pour ne pas douter que je n'aie été très-sensible à ce contretemps; il ne me reste maintenant d'autre espérance de vous revoir que chez vous, et je ne l'ai pas encore perdue. Je vous remercie de tout mon cœur de ce que vous me promettez de faire pour moi dans l'occasion; c'est une marque de votre amitié qui m'est très-sensible, quoiqu'elle ne me soit pas nouvelle. L'élection...
Page 243 - C'est à vous à sonder le fond de votre cœur, pour savoir si vous étiez dans les sentimens qu'un Serviteur de Dieu (a), pour qui vous aviez de la vénération, vous avoit inspirés ; car sans cela, que vous serviroit de proposer aux autres les Vérités chrétiennes dans les plus beaux Vers du monde, si vous-même ne les pratiquez pas ? Je prie donc Dieu, Monsieur, qu'il vous en donne le désir et l'effet. Je suis très sincèrement votre très obéissant serviteur.
Page 342 - Non , Santeuil n'eft pas un fou /non : Mais la Province eft une foie. Ces derniers vers le mirent bien fort en colère, mais il fut aifé de le radoucir à la faveur de cette explication.
Page 245 - Poètes sont éperdument amoureux de leurs productions, et l'on ne fait guères de jugemens téméraires, quand on les accuse de vaine gloire. Je n'ai donc que des grâces à vous rendre pour votre piété qui s'est alarmée à mon sujet. C'est ainsi qu'un Pape écrivit à un Archevêque de Vienne en Dauphiné, qui préféroit aux saintes fonctions de sa charge pastorale, la lecture des Poètes anciens ; bien différent de S.
Page 165 - Des roses et des lis le plus superbe éclat , Sans la fable, en nos vers, n'aura rien que de plat. Qu'on y peigne en savant une plante nourrie Des impures vapeurs d'une terre pourrie, Le portrait plaira-t-il , s'il n'a pour agrément Les larmes d'une amante ou le sang d'un amant ? Qu'aura de beau la guerre , à moins qu'on n'y crayonne Ici le char de Mars , là celui de Bellone , Que la Victoire vole , et que les grands exploits Soient portés en tous lieux par la nymphe à cent voix.?