Joannis Baptistæ Santolii Victorini operum omnium editio tertia ..Apud Spiritum Billiot, 1729 |
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... amemque mori . * Cette Piece & la fuivante Mufes . Notre Poëte les avoit font deux plaintes contre les faites avant la precedente . Tomus II . • B AD EANDEM MUSAM . Mufa cadente fe quoque cadentem fingit QUERIMONIE . * AD IMPROBAM ...
... amemque mori . * Cette Piece & la fuivante Mufes . Notre Poëte les avoit font deux plaintes contre les faites avant la precedente . Tomus II . • B AD EANDEM MUSAM . Mufa cadente fe quoque cadentem fingit QUERIMONIE . * AD IMPROBAM ...
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... font plus de murmure ; Un filence profond dans les bois d'alentour Marque l'étonnement qui les tient à leur tour ; Et les oifeaux , contraints de ceffer leurs ramages , Abandonnent leurs nids , & leurs anciens becages : De ces fombres ...
... font plus de murmure ; Un filence profond dans les bois d'alentour Marque l'étonnement qui les tient à leur tour ; Et les oifeaux , contraints de ceffer leurs ramages , Abandonnent leurs nids , & leurs anciens becages : De ces fombres ...
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... font ces Vers , pour l'Infor tuné Pluton , à laquelle Mada- me la Princeffe ne fe laiffa point flechir . A la tête de cette Piece il y avoit une Vignette . On y voyoit Pluton qui pré- fente fa Requête . Il fallut un fecond effort qui ...
... font ces Vers , pour l'Infor tuné Pluton , à laquelle Mada- me la Princeffe ne fe laiffa point flechir . A la tête de cette Piece il y avoit une Vignette . On y voyoit Pluton qui pré- fente fa Requête . Il fallut un fecond effort qui ...
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... font - ils devenus , helas ! ces jours heureux , Où rien n'égaloit ma fortune , Ayant mème lit pour tous deux , Et dont la table étoit commune , Les mets les plus delicieux Etoient mon ragoût ordinaire , Je vous les dérobois , je ...
... font - ils devenus , helas ! ces jours heureux , Où rien n'égaloit ma fortune , Ayant mème lit pour tous deux , Et dont la table étoit commune , Les mets les plus delicieux Etoient mon ragoût ordinaire , Je vous les dérobois , je ...
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... font devenus ces foins , cette tendreffe , Cette foi qui pour moi devoit durer fans ceffe ? Moi , qui fus fi long - tems l'objet de votre amour . Moi quifus l'ornement des chiens de votre cour ; Exile maintenant , pauvre , nud ...
... font devenus ces foins , cette tendreffe , Cette foi qui pour moi devoit durer fans ceffe ? Moi , qui fus fi long - tems l'objet de votre amour . Moi quifus l'ornement des chiens de votre cour ; Exile maintenant , pauvre , nud ...
Fréquemment cités
Page 209 - ... m'en étais flatté; je crois que vous êtes assez convaincu de tous les sentiments par lesquels je vous suis attaché pour ne pas douter que je n'aie été très-sensible à ce contretemps; il ne me reste maintenant d'autre espérance de vous revoir que chez vous, et je ne l'ai pas encore perdue. Je vous remercie de tout mon cœur de ce que vous me promettez de faire pour moi dans l'occasion; c'est une marque de votre amitié qui m'est très-sensible, quoiqu'elle ne me soit pas nouvelle. L'élection...
Page 243 - C'est à vous à sonder le fond de votre cœur, pour savoir si vous étiez dans les sentimens qu'un Serviteur de Dieu (a), pour qui vous aviez de la vénération, vous avoit inspirés ; car sans cela, que vous serviroit de proposer aux autres les Vérités chrétiennes dans les plus beaux Vers du monde, si vous-même ne les pratiquez pas ? Je prie donc Dieu, Monsieur, qu'il vous en donne le désir et l'effet. Je suis très sincèrement votre très obéissant serviteur.
Page 342 - Non , Santeuil n'eft pas un fou /non : Mais la Province eft une foie. Ces derniers vers le mirent bien fort en colère, mais il fut aifé de le radoucir à la faveur de cette explication.
Page 245 - Poètes sont éperdument amoureux de leurs productions, et l'on ne fait guères de jugemens téméraires, quand on les accuse de vaine gloire. Je n'ai donc que des grâces à vous rendre pour votre piété qui s'est alarmée à mon sujet. C'est ainsi qu'un Pape écrivit à un Archevêque de Vienne en Dauphiné, qui préféroit aux saintes fonctions de sa charge pastorale, la lecture des Poètes anciens ; bien différent de S.
Page 165 - Des roses et des lis le plus superbe éclat , Sans la fable, en nos vers, n'aura rien que de plat. Qu'on y peigne en savant une plante nourrie Des impures vapeurs d'une terre pourrie, Le portrait plaira-t-il , s'il n'a pour agrément Les larmes d'une amante ou le sang d'un amant ? Qu'aura de beau la guerre , à moins qu'on n'y crayonne Ici le char de Mars , là celui de Bellone , Que la Victoire vole , et que les grands exploits Soient portés en tous lieux par la nymphe à cent voix.?