Œuvres de Molière, Volume 3Hachette, 1876 |
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... POUR LA PREMIÈRE FOIS EN PUBLIC A PARIS SUR LE THÉÂTRE DU PALAIS - ROYAL LE 4 NOVEMBRE DE LA MÊME ANNÉE 1661 PAR LA TROUPE DE MONSIEUR FRÈRE UNIQUE DU ROI MOLIÈRE . III NOTICE . La pièce des Fâcheux fait doublement époque :
... POUR LA PREMIÈRE FOIS EN PUBLIC A PARIS SUR LE THÉÂTRE DU PALAIS - ROYAL LE 4 NOVEMBRE DE LA MÊME ANNÉE 1661 PAR LA TROUPE DE MONSIEUR FRÈRE UNIQUE DU ROI MOLIÈRE . III NOTICE . La pièce des Fâcheux fait doublement époque :
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... public , pour qui , à cette date et dix ans avant l'établissement de l'Opéra , les ballets , dont le spectacle avait été jusque - là réservé à la cour , étaient une véritable nou- veauté . Mais nous n'avons pas à nous occuper ici du ...
... public , pour qui , à cette date et dix ans avant l'établissement de l'Opéra , les ballets , dont le spectacle avait été jusque - là réservé à la cour , étaient une véritable nou- veauté . Mais nous n'avons pas à nous occuper ici du ...
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... public , qu'ils étoient les plus dociles du monde , et qu'ils auroient été bons du temps où l'on faisoit pénitence à la porte des temples , puisque , loin de se fâcher de ce que l'on publioit leurs sottises , ils s'en glorifioient ; et ...
... public , qu'ils étoient les plus dociles du monde , et qu'ils auroient été bons du temps où l'on faisoit pénitence à la porte des temples , puisque , loin de se fâcher de ce que l'on publioit leurs sottises , ils s'en glorifioient ; et ...
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... public à laquelle la Fontaine avait le mérite d'applaudir . Nous devons reconnaître toutefois que la lettre où se trouve ce témoignage si précieux ne put être imprimée que bien longtemps après : l'éloge de Foucquet , qu'elle contenait ...
... public à laquelle la Fontaine avait le mérite d'applaudir . Nous devons reconnaître toutefois que la lettre où se trouve ce témoignage si précieux ne put être imprimée que bien longtemps après : l'éloge de Foucquet , qu'elle contenait ...
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... public s'est tellement perfectionné depuis , que cette comédie ne paraît aujourd'hui inimitable que par son extrême impertinence . Sa vieille réputation fit que les comé- diens osèrent la jouer en 1719 ; mais ils ne purent jamais l ...
... public s'est tellement perfectionné depuis , que cette comédie ne paraît aujourd'hui inimitable que par son extrême impertinence . Sa vieille réputation fit que les comé- diens osèrent la jouer en 1719 ; mais ils ne purent jamais l ...
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Œuvres de Molière, Volume 3 Molière (pseud. van Jean Baptiste Poquelin) Affichage du livre entier - 1750 |
Expressions et termes fréquents
acte AGNÈS ALAIN ALCIPPE amour ARNOLPHE assez Auger auteur avoit ballet beau belle Boursault BRÉCOURT Caritidès cerf chose CHRYSALDE CLIMÈNE cœur comédie comique Corneille Critique de l'École Croisy d'Arnolphe Dictionnaire Dieu Dimanche dire divertissement donne DORANTE éditions de 1663 ÉLISE ÉRASTE étoit Fâcheux Fournel frères Parfaict Furetière GALOPIN gens GEORGETTE Grange Grimarest homme HORACE j'ai j'en jouer l'auteur l'École des femmes l'École des maris l'édition de 1682 l'édition de 1734 l'édition originale l'Hôtel de Bourgogne l'Impromptu de Versailles lettre LYSANDRE m'en Madame MADEMOISELLE BÉJART MADEMOISELLE DE BRIE MADEMOISELLE DU PARC MADEMOISELLE MOLIÈRE Mardi Mlle monde Monsieur Lysidas MONTAGNE Montfleury NOTAIRE Note d'Auger Notice Nouvelles nouvelles ORANTE ORONTE ORPHISE parler personnage personne pièce plaisir poëte Portrait du peintre première représentation ridicule rien rôle satire semble seroit Sertorius seul sieur sorte théâtre THORILLIère troupe trouve URANIE Vendredi Vengeance des Marquis veux Visé voilà Voyez ci-dessus Zélinde
Fréquemment cités
Page 352 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez. Ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance ; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature. On veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 359 - Pour moi, quand je vois une comédie, je regarde seulement si les choses me touchent ; et lorsque je m'y suis bien divertie, je ne vais point demander si j'ai eu tort, et si les règles d'Aristote me défendaient de rire.
Page 100 - Nymphe excellente dans son art. Et que pas une ne surpasse. Aussi récita-t-elle avec beaucoup de grâce Un prologue, estimé l'un des plus accomplis Qu'en ce genre on pût écrire, Et plus beau que je ne dis. Ou bien que je n'ose dire; Car il est de la façon De notre ami Pellisson.
Page 413 - Il disait que rien ne lui donnait du déplaisir, comme d'être accusé de regarder quelqu'un dans les portraits qu'il fait ; que son dessein est de peindre les mœurs sans vouloir toucher aux personnes; et que tous les personnages qu'il représente sont des personnages en l'air, et des fantômes proprement qu'il habille à sa fantaisie pour réjouir les spectateurs; qu'il serait bien fâché...
Page 118 - Pièce qu'en plusieurs lieux on fronde, . Mais où pourtant va tant de monde , Que jamais sujet important Pour le voir n'en attira tant.
Page 296 - N'oubliez rien de l'air ni des habits ; Arborez un chapeau chargé de trente plumes Sur une perruque de prix ; Que le rabat soit des plus grands volumes, Et le pourpoint des plus petits. Mais surtout je vous recommande Le manteau, d'un ruban sur le dos retroussé, La galanterie en est grande ; Et parmi les marquis de la plus haute bande C'est pour être placé.
Page 318 - C'est un dangereux personnage; il y en a qui ne vont point sans leurs mains; mais l'on peut dire de lui qu'il ne va point sans ses yeux ni sans ses oreilles.
Page 141 - II est fait tout de mfme; il vient le nez au vent, Les pieds en parenthèse et l'épaule en avant; Sa perruque, qui suit le côté qu'il avance, Plus pleine de lauriers qu'un jambon de Mayence; Les mains sur les côtés, d'un air peu négligé; La tête sur le dos, comme un mulet chargé ; Les yeux fort égarés; puis, débitant ses rôles, D'un hoquet éternel sépare ses paroles...
Page 171 - Je sais un paysan, qu'on appelait Gros-Pierre, Qui n'ayant pour tout bien, qu'un seul quartier de terre, Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux. Et de Monsieur de l'Isle en prit le nom pompeux.
Page 335 - ... il y en a plusieurs qui sont capables de juger d'une pièce selon les règles, et que les autres en jugent par la bonne façon d'en juger, qui est de se laisser prendre aux choses, et de n'avoir ni prévention aveugle, ni complaisance affectée, ni délicatesse ridicule.