Œuvres complètes de Voltaire: MélangesHachette, 1860 |
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... pendant quelques moments sur des regrets légitimes , et si ce théâ- tre daignait me compter parmi les ressources qui lui restent ! MESSIEURS , OMER DE FLEURY ÉTANT ENTRÉ , ONT DIT ' : Comme je suis chargé , par état ( page 3 ) , de vous ...
... pendant quelques moments sur des regrets légitimes , et si ce théâ- tre daignait me compter parmi les ressources qui lui restent ! MESSIEURS , OMER DE FLEURY ÉTANT ENTRÉ , ONT DIT ' : Comme je suis chargé , par état ( page 3 ) , de vous ...
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... Pendant que ces événements domestiques 3 occupaient la France , la guerre continuait en Europe ; l'alliance de la France et de l'Espagne semblait devoir procurer de grands avantages à ces deux Etats contre les Anglais ; et la maison d ...
... Pendant que ces événements domestiques 3 occupaient la France , la guerre continuait en Europe ; l'alliance de la France et de l'Espagne semblait devoir procurer de grands avantages à ces deux Etats contre les Anglais ; et la maison d ...
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... pendant sept jours de suite dans le temple de Jérusalem , pour persuader aux Juifs qu'il gardait la loi de Moïse , les Juifs deman- dèrent sa mort au proconsul Festus ; ce Festus leur répondit : « Ce n'est point la coutume des Romains ...
... pendant sept jours de suite dans le temple de Jérusalem , pour persuader aux Juifs qu'il gardait la loi de Moïse , les Juifs deman- dèrent sa mort au proconsul Festus ; ce Festus leur répondit : « Ce n'est point la coutume des Romains ...
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... pendant près de trois siècles ; on donna pendant six cents ans l'eucha- ristie aux petits enfants ; presque tous les pères des premiers siècles attendirent le règne de mille ans . Ce fut très - longtemps une croyance générale que tous ...
... pendant près de trois siècles ; on donna pendant six cents ans l'eucha- ristie aux petits enfants ; presque tous les pères des premiers siècles attendirent le règne de mille ans . Ce fut très - longtemps une croyance générale que tous ...
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... pendant quarante années pour leur conserver leurs vêtements et leurs chaussures sans dépérissement . Il est si vrai qu'on n'écrivait que sur la pierre , que l'auteur du livre de Josué dit que le Deuteronome fut écrit sur un autel de ...
... pendant quarante années pour leur conserver leurs vêtements et leurs chaussures sans dépérissement . Il est si vrai qu'on n'écrivait que sur la pierre , que l'auteur du livre de Josué dit que le Deuteronome fut écrit sur un autel de ...
Expressions et termes fréquents
absurde accusés anguilles assez avaient avez barbare Beuchot Boveresse brûler c'était Calas cardinal de Richelieu cent chap chevalier chose chrétiens Cicéron citoyens condamné Covelle crime croire diable Dieu dire donner écrit enfants enfin ÉPICTÈTE ÉRASME éternelle êtes Évangiles évêque fanatisme femme fille François Ier frères Genève Grecs Henri Henri IV hommes j'ai jamais Jean Calas Jean-Jacques Rousseau jésuite Jésus Jésus-Christ juges Juifs justice l'auteur l'Église l'empereur l'esprit l'Europe l'histoire lettre libelle livre lois Louis XIV MADAME DE POMPADOUR maître malheureux massacre Matthieu ment mille ministre miracles Mlle Ferbot mœurs Moïse monde monsieur mort n'avait n'en nation Needham NONOTTE ouvrage pape parler paroles penser père persécuter personne peuple philosophes premier prêtre prince Priscillien punir qu'un raison religion rien rois Romains Rome royaume s'il sage saint Saint-Barthélemy savant secte sentiment serait seul siècle sieur Sirven supplice terre Testament politique tolérance trouve TULLIA vérité Voltaire
Fréquemment cités
Page 512 - II faut des spectacles dans les grandes villes et des romans aux peuples corrompus. J'ai vu les mœurs de mon temps, et j'ai publié ces lettres : que n'ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu!
Page 201 - Quoi ! des plus chères mains craignant les trahisons, J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons, J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie.
Page 117 - Nous savons que plusieurs chefs de famille, qui ont élevé de grandes fortunes dans les pays étrangers, sont prêts à retourner dans leur patrie ; ils ne demandent que la protection de la loi naturelle, la validité de leurs mariages, la certitude de l'état de leurs enfants, le droit d'hériter de leurs pères, la franchise de leurs personnes...
Page 506 - Oui, je ne crains point de le dire, s'il existait en Europe un seul gouvernement vraiment éclairé, un gouvernement dont les vues fussent vraiment utiles et saines, il eût rendu des honneurs publics à l'auteur d'Emile, il lui eût élevé des statues.
Page 249 - Cinna, par vos conseils je retiendrai l'empire, « Mais je le retiendrai pour vous en faire part.
Page 259 - ... tum vos, o Tyrii, stirpem et genus omne futurum exercete odiis, cinerique haec mittite nostro munera. nullus amor populis, nec foedera sunto. exoriare aliquis nostris ex ossibus ultor, qui face Dardanios ferroque sequare colonos, nunc, olim, quocumque dabunt se tempore vires. litora litoribus contraria, fluctibus undas inprecor, arma armis ; pugnent ipsique nepotesque.
Page 459 - Notre cœur égaré, sans guide et sans appui, Est brûlé de désirs, ou glacé par l'ennui ; Nul de nous n'a vécu sans connaître les larmes. De la société les secourables charmes Consolent nos douleurs, au moins quelques instans : Remède encor trop faible à des maux si constans.
Page 246 - J'ayme les Historiens ou fort simples ou excellens. Les simples, qui n'ont point dequoy y mesler quelque chose du leur, et qui n'y apportent que le soin et la diligence de r'amasser tout ce qui vient à leur notice, et d'enregistrer à la bonne foy toutes choses sans chois et sans triage, nous laissent le jugement entier pour la cognoissance de la vérité.
Page 512 - ... que ceux qui parviennent dans les monarchies ne sont le plus souvent que de petits brouillons, de petits fripons , de petits intrigants , à qui les petits talents , qui font dans les cours parvenir aux grandes places, ne servent qu'à montrer au public leur ineptie aussitôt qu'ils y sont parvenus.
Page 511 - Je sais , monsieur, combien de préjugés sont contre moi ; je sais que dans les démêlés entre le maître et le domestique, c'est toujours le dernier qui a tort ; je sais , d'ailleurs , qu'étant entièrement inconnu , je n'ai personne qui s'intéresse pour moi : votre générosité et mon bon droit sont mes seuls protecteurs ; mais je me confie également en l'un et en l'autre.