Oeuvres complètes de Molière, Volume 1Hachette, 1857 |
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... voyez , leur dit le roi , occupé de faire man- ger Molière , que mes of- ficiers ne trouvent pas assez bonne compagnie pour eux . » Dès ce mo- ment il n'eut pas besoinag de se présenter à cette table de service : toute fol la cour s ...
... voyez , leur dit le roi , occupé de faire man- ger Molière , que mes of- ficiers ne trouvent pas assez bonne compagnie pour eux . » Dès ce mo- ment il n'eut pas besoinag de se présenter à cette table de service : toute fol la cour s ...
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... Voyez , << petit garçon , ce que « fait le silence quand il « est observé avec con- << duite ( 4 ) . » > Les plaisanteries de Molière contre la Faculté ne troublèrent jamais l'union qui exista entre lui et un homme qu'il appelait en ...
... Voyez , << petit garçon , ce que « fait le silence quand il « est observé avec con- << duite ( 4 ) . » > Les plaisanteries de Molière contre la Faculté ne troublèrent jamais l'union qui exista entre lui et un homme qu'il appelait en ...
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... Voyez aussi , reprit le docteur , voyez comme il est mort ( 7 ) ! - -- ( 1 ) Note de Brossette sur l'épitre VII de Boileau . Petitot , p . 68 . ( 2 ) Note manuscrite de Brossette , citée p . 23 des Récréations littéraires , par Ci ...
... Voyez aussi , reprit le docteur , voyez comme il est mort ( 7 ) ! - -- ( 1 ) Note de Brossette sur l'épitre VII de Boileau . Petitot , p . 68 . ( 2 ) Note manuscrite de Brossette , citée p . 23 des Récréations littéraires , par Ci ...
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... ( Voyez le n ° précédent . ) N'y a - t - il pas lieu de penser que la représentation du 27 décembre 1756 n'était qu'une reprise de la pièce arrangée en 1725 ? C'est un doute que nous soumettons à nos bibliographes . La PRINCESSE D'ELIDE ...
... ( Voyez le n ° précédent . ) N'y a - t - il pas lieu de penser que la représentation du 27 décembre 1756 n'était qu'une reprise de la pièce arrangée en 1725 ? C'est un doute que nous soumettons à nos bibliographes . La PRINCESSE D'ELIDE ...
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... voyez - vous , ma mère , il n'est père , ni rien , Qui me puisse obliger à lui vouloir du bien : Je trahirais mon cœur de parler d'autre sorte . Sur ses façons de faire à tous coups je m'emporte : J'en prévois une suite , et qu'avec ce ...
... voyez - vous , ma mère , il n'est père , ni rien , Qui me puisse obliger à lui vouloir du bien : Je trahirais mon cœur de parler d'autre sorte . Sur ses façons de faire à tous coups je m'emporte : J'en prévois une suite , et qu'avec ce ...
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Œuvres complètes de Molière, Volume 1 Molière (pseud. van Jean Baptiste Poquelin) Affichage du livre entier - 1828 |
Expressions et termes fréquents
ACTE ADRASTE affaire AGLAURE aime ALBERT Allez Allons amant âme amour ARGANTE ARNOLPHE ASCAGNE assez avez BALLET beau belle CATHOS chante charmes chose ciel CLEANTE CLÉONTE cœur comédie COMTESSE COVIELLE CRIQUET dansants dessein diable Dieu dire dis-je DON PEDRE DORIMÈNE DORINE doux ELMIRE ENTRÉE DE BALLET ÉRASTE est-ce êtes FEMME DE SGANARELLE fille FROSINE gens GERONIMO GÉRONTE Grimarest GROS-RENÉ HARPAGON homme j'ai j'en jamais JOURDAIN JULIE l'amour laisse laquais LEANDRE LÉLIE LUCAS LUCILE m'en madame MADELON MAITRE MAÎTRE JACQUES MARIANE MARINETTE MARTINE MASCARILLE Molière monde monsieur monsieur de Pourceaugnac MORON OCTAVE ORGON ORONTE PANCRACE parler pense père PERNELLE personne plaisir POLIDORE POURCEAUGNAC PREMIER MÉDECIN PRINCESSE PSYCHÉ raison rien s'il vous plaît sais SBRIGANI SCAPIN SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII seigneur sentiments sera seul SGANARELLE SILVESTRE soins sorte souffrir TARTUFE théâtre Tibaudier TOINETTE trouve vais VALERE veut veux VICOMTE voilà vois voulez voulez-vous vrai yeux ZERBINETTE
Fréquemment cités
Page 6 - Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère Qu'ils prennent contre noiis des armes qu'on révère...
Page 176 - Ah ! ma fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts. Mon deuil est raisonnable, encor qu'il soit extrême : Et, lorsque pour toujours on perd ce que je perds, La sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même.
Page 180 - Moi de qui la pudeur devrait du moins attendre Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous vois ? Vous soupirez , seigneur, ainsi que je soupire : Vos sens comme les miens paraissent interdits. C'est à moi de m'en taire , à vous de me le dire ; Et cependant c'est moi qui vous le dis.
Page 254 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 283 - M'avez-vous, avant le mariage, demandé mon consentement, et si je voulais bien de vous? Vous n'avez consulté , pour cela , que mon père et ma mère ; ce sont eux , proprement, qui vous ont épousé, et c'est pourquoi vous ferez bien de vous plaindre toujours à eux des torts que l'on pourra vous taire.
Page 21 - Toutes les choses du monde ont du rapport avec elle dans mon cœur. Mon idée en est si fort occupée que je ne sais rien en son absence qui me puisse divertir.
Page 28 - Un autre défaut de Molière, que beaucoup de gens d'esprit lui pardonnent et que je n'ai garde de lui pardonner, est qu'il a donné un tour gracieux au vice, avec une austérité ridicule et odieuse à la vertu.
Page 180 - M'en ont fait sentir la puissance ; Mais je n'ai point encor senti ce que je sens. Je ne sais ce que c'est, mais je sais qu'il me charme, Que je n'en conçois point d'alarme ; Plus j'ai les yeux sur vous, plus je m'en sens charmer.
Page 15 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame; et je sais l'art de lever les scrupules. Le ciel défend, de vrai, certains contentements; Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
Page 21 - Mais si vous saviez ce que je souffre, vous auriez pitié de moi ; ma passion est venue à un tel point qu'elle va jusqu'à entrer avec compassion dans ses intérêts et, quand je considère combien il m'est impossible de vaincre ce que je sens pour elle, je me dis en même temps qu'elle a peut-être la même difficulté à détruire le penchant qu'elle a d'être coquette, et je me trouve plus de disposition à la plaindre qu'à la blâmer.