Littérature française: avec extraits et exercicesBerlitz & cie, 1890 - 248 pages |
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... père malgré le violent amour qu'il éprouve pour Chimène , fille de son adversaire : il provoque en duel le comte et le tue . Le roi promet justice à Chimène ; mais cette jeune personne aime aussi Rodrigue ; alors s'élève dans son cœur ...
... père malgré le violent amour qu'il éprouve pour Chimène , fille de son adversaire : il provoque en duel le comte et le tue . Le roi promet justice à Chimène ; mais cette jeune personne aime aussi Rodrigue ; alors s'élève dans son cœur ...
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... père a été tué devant l'ennemi ; cette ruse lui montre bien que Rodrigue est tou- jours aimé . On décide ensuite que Rodrigué se battra contre don Sanche , son rival , et que Chimène appartiendra au vain- queur . Notre héros préfère ...
... père a été tué devant l'ennemi ; cette ruse lui montre bien que Rodrigue est tou- jours aimé . On décide ensuite que Rodrigué se battra contre don Sanche , son rival , et que Chimène appartiendra au vain- queur . Notre héros préfère ...
Page 17
... j'aurai trop de force ayant assez de cœur . A qui venge son père , il n'est rien d'impossible . Ton bras est invaincu , mais non pas invincible . Que m'importe . LE COMTE Ceyrand cœur qui paraît aux discours que tu 17.
... j'aurai trop de force ayant assez de cœur . A qui venge son père , il n'est rien d'impossible . Ton bras est invaincu , mais non pas invincible . Que m'importe . LE COMTE Ceyrand cœur qui paraît aux discours que tu 17.
Page 18
... sans discourir . LE COMTE Es - tu si las de vivre ? DON RODRIGUE As - tu peur de mourir ? LE COMTE Viens , tu fais ton devoir , et le fils dégénère Qui survit un moment à l'honneur de son père . Horace ( 1638 ) . Le combat des Horaces et ...
... sans discourir . LE COMTE Es - tu si las de vivre ? DON RODRIGUE As - tu peur de mourir ? LE COMTE Viens , tu fais ton devoir , et le fils dégénère Qui survit un moment à l'honneur de son père . Horace ( 1638 ) . Le combat des Horaces et ...
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... père et les miens : Au milieu de leur camp tu reçus la naissance ; Et lorsqu'après leur mort tu vins en ma puissance , Leur haine , enracinée au milieu de ton sein , T'avait mis contre moi les armes à la main . Tu fus mon ennemi même ...
... père et les miens : Au milieu de leur camp tu reçus la naissance ; Et lorsqu'après leur mort tu vins en ma puissance , Leur haine , enracinée au milieu de ton sein , T'avait mis contre moi les armes à la main . Tu fus mon ennemi même ...
Expressions et termes fréquents
Adieu ALCESTE Andromaque ARGAN Athalie beau Boileau Bossuet Britannicus bruit Bruyère c'était chant cher cheval Chimène chose Cinna classique cœur comédie Corneille Cosaques coup czarewich Démocrite Dieu discours dit-il DON RODRIGUE DORINE écrivain enfant enfin épître esprit EXERCICES fable femme Fénelon fille fils Fontaine gens gloire Henriette d'Angleterre Héraclite homme Horace j'ai j'avais j'en j'étais jeune jour l'Académie française l'empereur l'esprit laissé Lamartine langue française littéraire littérature française Louis XIV Madame mademoiselle main maître Maximes Mithridate Molière monde monsieur mort mourir mourut Napoléon Napoléon Ier nuit ORGON ORONTE ouvrage parler Pascal passé pensée père petit Dauphin Pharnace pièce pieds pleurer poésie poète Polyeucte première prince prose Qu'est-ce qu'un Racine Racontez raison reste rien Rochefoucauld Rodna romans Rousseau sable sang satire sentiments sergent seul Sévigné siècle soldats sort Staël style sujet Tartuffe TOINETTE tragédie triste trouve Victor Hugo voilà voiture voix Voltaire yeux Zaïre
Fréquemment cités
Page 141 - Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés. Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
Page 39 - On ne sait comme va mon pot, dont j'ai besoin. Mes gens à la science aspirent pour vous plaire, Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire ; Raisonner est l'emploi de toute ma maison, Et le raisonnement en bannit la raison.
Page 52 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 85 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 38 - Jourdain. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 49 - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail, le coche arrive au haut. « Respirons maintenant! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine Ça! messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.
Page 51 - A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : 'Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 159 - Et mordre le laurier que son souffle a sali ? Prends ton luth ! prends ton luth ! je ne peux plus me taire ; Mon' aile me soulève au souffle du printemps. Le vent va m'emporter ; je vais quitter la terre. Une larme de toi ! Dieu m'écoute ; il est temps. LE POÈTE.
Page 85 - Trois degrés d'élévation du pôle renversent toute la jurisprudence. Un méridien décide de la vérité; en peu d'années de possession, les lois fondamentales changent; le droit a ses époques. L'entrée de Saturne au Lion nous marque l'origine d'un tel crime. Plaisante justice qu'une rivière borne * ! Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au delà.
Page 53 - Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir, Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait venir Le chanteur, et lui dit: "Or çà, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an?" — "Par an! Ma foi, Monsieur...