French classics, ed. with Engl. notes, by G. Masson, Volume 21870 |
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... j'ai omis dans cette Vie de Molière les contes 10 populaires touchant Chapelle et ses amis ; mais je suis obligé de dire que ces contes adoptés par Grimarest sont très - faux . Le feu duc de Sulli , le dernier prince de Vendôme , l'abbé ...
... j'ai omis dans cette Vie de Molière les contes 10 populaires touchant Chapelle et ses amis ; mais je suis obligé de dire que ces contes adoptés par Grimarest sont très - faux . Le feu duc de Sulli , le dernier prince de Vendôme , l'abbé ...
Page 17
... j'ai bien la mine , pour moi , de payer plus cher vos folies ; et je vois se former , de loin , un nuage de coups de bâton qui crèvera sur mes épaules . Octave . Ô ciel ! par où sortir de l'embarras où je me trouve ? Sylvestre . C'est à ...
... j'ai bien la mine , pour moi , de payer plus cher vos folies ; et je vois se former , de loin , un nuage de coups de bâton qui crèvera sur mes épaules . Octave . Ô ciel ! par où sortir de l'embarras où je me trouve ? Sylvestre . C'est à ...
Page 18
... J'ai sans doute reçu 15 de ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'esprit , de ces galanteries ingénieuses , à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies ; et je puis dire , sans vanité , qu'on ...
... J'ai sans doute reçu 15 de ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'esprit , de ces galanteries ingénieuses , à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies ; et je puis dire , sans vanité , qu'on ...
Page 23
... j'ai pour vous ? Hyacinte . Oui , Octave , je suis sûre que vous m'aimez ; mais je ne le suis pas que vous m'aimiez toujours . Octave . Hé ! peut - on vous aimer qu'on ne vous aime toute sa vie ? Hyacinte . J'ai ouï dire , Octave , que ...
... j'ai pour vous ? Hyacinte . Oui , Octave , je suis sûre que vous m'aimez ; mais je ne le suis pas que vous m'aimiez toujours . Octave . Hé ! peut - on vous aimer qu'on ne vous aime toute sa vie ? Hyacinte . J'ai ouï dire , Octave , que ...
Page 24
... J'ai déjà pris , sans l'avoir vue , une aversion effroyable 5 pour celle que l'on me destine ; et , sans être cruel , je souhai- terais que la mer l'écartât d'ici pour jamais . Ne pleurez donc point , je vous prie , mon aimable Hyacinte ...
... J'ai déjà pris , sans l'avoir vue , une aversion effroyable 5 pour celle que l'on me destine ; et , sans être cruel , je souhai- terais que la mer l'écartât d'ici pour jamais . Ne pleurez donc point , je vous prie , mon aimable Hyacinte ...
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 182 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 147 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée : Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi: Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi; Je te plains de tomber dans ses mains redoutables ., Ma fille.
Page 165 - Toutefois, je l'avoue, en ce comble de gloire, Du Dieu que j'ai quitté l'importune mémoire Jette encore en mon âme un reste de terreur, Et c'est ce qui redouble et nourrit ma fureur.
Page 153 - Quel prodige nouveau me trouble et m'embarrasse? La douceur de sa voix, son enfance, sa grâce, Font insensiblement à mon inimitié Succéder.., Je serais sensible à la pitié?
Page 183 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu fera toujours le premier de vos soins; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Page 172 - Où menez-vous ces enfants et ces femmes ? Le Seigneur a détruit la reine des cités ; Ses prêtres sont captifs , ses rois sont rejetés : Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités. Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes?
Page 182 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même ; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné, Et d'un sceptre...
Page 173 - Sort du fond du désert, brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez : Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Page 147 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 211 - Par ce terrible exemple, apprenez tous du moins, Que les crimes secrets ont les Dieux pour témoins. Plus le coupable est grand, plus grand est le supplice. Rois, tremblez sur le trône et craignez leur justice.