Dictionnaire des synonymes de la langue française avec une introduction sur la théorie des synonymes, ouvrage qui a obtenu de l'Institut le prix de linguistique en 1853 et en 1858L. Hachette, 1861 - 1106 pages |
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Dictionnaire des synonymes de la langue française avec une introduction sur ... Pierre Benjamin Lafaye Affichage du livre entier - 1861 |
Expressions et termes fréquents
absolument abstrait ACAD action adjectifs adverbes amphibologique BEAUM Beauzée BOIL Boss Bossuet BOURD BUFF c'est-à-dire carac caractère cause chose commun COND Condillac considère contraire corps d'ordinaire DELAF dépriser désigne désinence déterminer dictionnaire Dieu différence diffèrent dire discours distinction distingue doit donne effet employé espèce esprit essentielle état exemple expression exprime expriment FÉN Fénelon figuré force forme général genre Girard grec homme idée indique l'action l'adjectif l'adverbe l'âme l'autre l'esprit l'homme l'idée l'un LABR langage langue latin lativement lieu locutions manière MARM marque ment MONTESQ mots objet ordinaire parlant particulier PASC passe pensée personne philosophie phrase adverbiale plutôt préfixes premier prendre préposition présent propre qu'un qualité quelquefois radical raison rapport règle relatif rence représente rien ROLL Roubaud s'emploie science second sens sentiment sert seulement signifie signifient simple sorte substantifs suivant sujet suppose syno synonymes termes terminaison tion trouve vague valeur verbe veut VOLT Voltaire
Fréquemment cités
Page 381 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 110 - A la nuit qu'il fallut passer en présence des ennemis , comme un vigilant capitaine il reposa le dernier , mais jamais il ne reposa plus paisiblement. A la veille d'un si grand jour et dès la première bataille il est tranquille , tant il se trouve dans son naturel ; et on sait que le lendemain à l'heure marquée il fallut réveiller d'un profond sommeil cet autre Alexandre.
Page 269 - ... et douce ; et c'est ainsi qu'un heureux climat fait servir à la félicité de l'homme les passions qui font ailleurs son tourment. Je doute, qu'aucune agitation violente, aucune maladie de vapeurs pût tenir contre un pareil séjour prolongé, et je suis surpris que des bains de • l'air salutaire et bienfaisant des montagnes ne soient pas un des grands remèdes de la médecine et de la morale. Qui non palazzi, non teatro o loggia ; Ma'n lor vece un' abete, un faggio, un pino, Trà l'erba verde...
Page 124 - Peindre, c'est non seulement décrire les choses, mais en représenter les circonstances d'une manière si vive et si sensible, que l'auditeur s'imagine presque les voir.
Page 340 - Aussi nous n'avons part à la gloire de nos ancêtres qu'autant que nous nous efforçons de leur ressembler ; et cet éclat de leurs actions qu'ils répandent sur nous, nous impose un engagement de leur faire le même honneur , de suivre les pas qu'ils nous tracent, et de ne point dégénérer de leur vertu, si nous voulons être estimés leurs véritables descendants.
Page 311 - On a appauvri, desséché, et gêné notre langue. Elle n'ose jamais procéder que suivant la méthode la plus scrupuleuse et la plus uniforme de la grammaire : on voit toujours venir d'abord un nominatif substantif qui mène son adjectif comme par la main ; son verbe ne manque pas de marcher derrière, suivi d'un adverbe qui ne souffre rien entre deux, et le régime appelle aussitôt un accusatif, qui ne peut jamais se déplacer.
Page 316 - Où suis-je? Quelle nuit Couvre d'un voile affreux la clarté qui nous luit ? Ces murs sont teints de sang; je vois les Euménides Secouer leurs flambeaux vengeurs des parricides ; Le tonnerre en éclats semble fondre sur moi ; L'enfer s'ouvre...
Page 83 - Le mot de civilité ne signifiait pas seulement parmi les Grecs la douceur et la déférence mutuelle qui rend les hommes sociables : l'homme civil n'était autre chose qu'un bon citoyen, qui se regarde toujours comme membre de l'État, qui se laisse conduire par les lois, et conspire avec elles au bien public, sans rien entreprendre sur personne.
Page lxxviii - La pâle est aux jasmins en blancheur comparable; La noire à faire peur une brune adorable; La maigre a de la taille et de la liberté...
Page 145 - Elles ne sont pas seulement morales, elles donnent encore d'autres connaissances : les propriétés des animaux et leurs divers caractères y sont exprimés ; par conséquent les nôtres aussi, puisque nous sommes l'abrégé de ce qu'il ya de bon et de mauvais dans les créatures irraisonnables.