 été méprisé de lui en diverses rencontres et la créance « qu'il y avait moins de sincérité de son côté que de celui de la « princesse, partagèrent son esprit ; et après avoir bien songé à ce » qu'il avait à faire, il résolut d'envoyer...  Études historiques sur le Rouergue - Page 48de Marc Antoine F. baron de Gaujal - 1859Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | 1826 - 544 pages
...pouvoit mieux et plus promptement qu'elle faire ses affaires; mais le ressentiment qu'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres , et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit ; et... | |
 | Claude Bernard Petitot - 1826 - 566 pages
...pouvoit mieux et plus promptement qu'elle faire ses affaires ; mais le ressentiment qu'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres , et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit ; et... | |
 | Pierre Lenet - 1826 - 554 pages
...pouvoit mieux et plus promptement qu'elle faire ses affaires-, mais le ressentiment qu'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres, et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit ; et... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - 1838 - 654 pages
...pouvoit mieux et plus promptement qu'elle faire ses affaires, mais le ressentiment qu'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres, et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit ; et... | |
 | Gui Joly - 1838 - 650 pages
...pouvoit mieux et plus promptement qu'elle faire ses affaires, mais le ressentiment <[u'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres , et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit; et... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1838 - 666 pages
...pouvoit mieux et plus promptement qu'elle faire ses affaires, mais le ressentiment qu'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres, et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit ; et... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1851 - 648 pages
...pouvoit mieux et pías promptement qu'elle faire ses affaires, mais le ressentiment qu'il avoit d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres, et la créance qu'il y avoit moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse, partagèrent son esprit ; et... | |
 | Hippolyte de Barrau - 1853 - 802 pages
...pouvait mieux el plus promplemenl qu'elle faire ses affaires, mais le ressenlimenl qu'il avail d'avoir été méprisé de lui en diverses rencontres et la créance qu'il y avail moins de sincérité de son côté que de celui de la princesse , partagèrenl.son espril ; et,... | |
| |
