Bulletin du bibliophile: petite revue d'anciens livresLibrairie Giraud-Badin., 1919 |
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Page 10
... écrit à Monsieur d'An- givilliers qu'il consentait à se charger du pénible emploi qui lui avait déjà été proposé . J'ai l'honneur de vous envoyer une lettre pour lui , dont je vous prie de vouloir bien pren- dre lecture , et si vous ...
... écrit à Monsieur d'An- givilliers qu'il consentait à se charger du pénible emploi qui lui avait déjà été proposé . J'ai l'honneur de vous envoyer une lettre pour lui , dont je vous prie de vouloir bien pren- dre lecture , et si vous ...
Page 14
... écrit à Monsieur Arnaud ( 1 ) , je vous ai écrit , et je ne devine pas d'où vient un silence si long et si général . Rendez - moi , je vous en prie , le service de m'apprendre où en sont les choses . Nos classes sont recommencées ...
... écrit à Monsieur Arnaud ( 1 ) , je vous ai écrit , et je ne devine pas d'où vient un silence si long et si général . Rendez - moi , je vous en prie , le service de m'apprendre où en sont les choses . Nos classes sont recommencées ...
Page 19
... écrit des lettres flatteuses et me demande une comédie , et ses lettres flatteuses augmentent ma maladie . Quelle idée agréable je me forme de la vie d'un écrivain applaudi , comme vous l'avez été si souvent par le public en corps ...
... écrit des lettres flatteuses et me demande une comédie , et ses lettres flatteuses augmentent ma maladie . Quelle idée agréable je me forme de la vie d'un écrivain applaudi , comme vous l'avez été si souvent par le public en corps ...
Page 25
... écrit à la duchesse de Caylus Votre voix brillante et légère Charme l'oreille , anime les plaisirs ; Votre raison sage et sévère Est la règle de vos désirs . Il vante les attraits » de Mme de Polignac : Et son regard vif et malin , Et ...
... écrit à la duchesse de Caylus Votre voix brillante et légère Charme l'oreille , anime les plaisirs ; Votre raison sage et sévère Est la règle de vos désirs . Il vante les attraits » de Mme de Polignac : Et son regard vif et malin , Et ...
Page 26
... écrit , dans son Salon de 1781 : « Le plus étonnant de ces portraits est celui de Thomas , dont la tête est si les traits naturellement si embrouillés , la physionomie si peu sensible ; et l'artiste a trouvé le secret de saisir cett ...
... écrit , dans son Salon de 1781 : « Le plus étonnant de ces portraits est celui de Thomas , dont la tête est si les traits naturellement si embrouillés , la physionomie si peu sensible ; et l'artiste a trouvé le secret de saisir cett ...
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Expressions et termes fréquents
2º G Anno Anno Domini août Archives auec biblio bibliothèque Bulletin du Bibliophile capitulo Cardinal cathédrale de Rouen Chabanon chanoines chapitre cher citoyen Girardin clavem claves librarie Colonel Commissaire-Priseur comte de Sérent conclusum Crès et Cie deffuncti dicte dicto dictum eciam Écossais écrit édition eidem ejusdem Ermenonville Ernest Jovy Ex-libris février fuit Gabriel Hanotaux GEORGES VICAIRE Hazardiere Henri LECLERC Histoire hujus modi incipit Item j'ai j'ay Japon Jean Johannes l'abbé l'Académie française l'église l'histoire Laborde Léon de Laborde lettre liber Libraire Henri LECLERC librariam libris librorum libros livres anciens Louis magistri magistrum Maimbourg manuscrits mars missale Mollondin Monseigneur Monsieur nºs ordinaverunt quod ouvrage Philarète Chasles predictis publié quam reliure René de Girardin Rothomagensis Saint Sainte-Beuve septembre sera Sérent siècle Suisse super Surreau Thomas tion tres unum vélin Verberie Veygoux Vitry-le-François Voltaire volume ΙΟ ΙΟΙ ΠΟ
Fréquemment cités
Page 206 - Avoir la plume, c'est être faussaire public, et faire par charge ce qui coùtcroit la vie à tout autre. Cet exercice consiste à imiter si exactement l'écriture du roi qu'elle ne se puisse distinguer de celle que la plume contrefait...
Page 229 - Chabanon les suffrages de l'Académie. « Un goût sain, un esprit éclairé par les bons principes et par les grands modèles de l'antiquité, un style élégant et correct, des mœurs douces, une conduite noble et sage, tels sont, monsieur, les titres qui vous ont mérité l'estime du public et les suffrages de l'Académie; car elle ne doit pas séparer des talents ces qualités qui donnent à l'homme de lettres une considération personnelle qui se réfléchit sur les lettres ellesmêmes.
Page 128 - Quelle est l'origine de l'opinion qui étend sur une même famille une partie de la honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable? Cette opinion est-elle plus nuisible qu'utile? Et dans le cas où l'on se déciderait pour l'affirmative, quels seraient les moyens de parer aux inconvénients qui en résultent?
Page 225 - ... absurdes. Je me flatte que le cri public va les faire rentrer dans la boue, et qu'ils n'oseront pas publier leur censure , tant la seule liste des propositions les rendra d'avance odieux et ridicules. Chabanon m'étonne et m'afflige beaucoup en m'apprenant que vous n'êtes pas content de sa pièce.
Page 206 - Cet exercice consiste à imiter si exactement l'écriture du roi qu'elle ne se puisse distinguer de celle que la plume contrefait, et d'écrire en cette sorte toutes les lettres que le roi doit ou veut écrire de sa main et toutefois n'en veut pas prendre la peine.
Page 153 - D'azur, au lion d'or; au chef d'argent, » chargé d'une hure de sanglier, de sable, défendue d'ar» gent , accostée de deux roses de gueules ; supports ,
Page 287 - Et, de retour à la maison commune, nous avons dressé le présent procès-verbal pour servir et valoir ce que de raison.
Page 380 - Fontanes, plus d'esprit que de talent, une érudition égale à son esprit , et un caractère encore préférable à tous ses titres littéraires. Il cultiva les arts pour eux-mêmes ; il s'y dévoua tout entier, sans recueillir le prix de ce dévouement. Plusieurs de ses épltre...
Page 74 - ... et la fin de l'année qui suivra le jour de la signature du traité de paix, pour toutes les œuvres publiées avant l'expiration de ladite année et non tombées dans le domaine public à la date de la promulgation de la présente loi.
Page 222 - Rien de si solennel que nos représentations. On y accourait de Genève, de la Suisse et de la Savoie. Tous les lieux circonvoisins étaient garnis de régiments français, dont les officiers affluaient à notre théâtre. Nos habits -étaient propres, magnifiques, conformes aux costumes des pièces que nous représentions. La salle était jolie, le théâtre susceptible de changements et digne de rendre la pompe du spectacle et des prodiges de Sémiramis. Un jour, des grenadiers du régiment de...