Bulletin du bibliophile: petite revue d'anciens livresLibrairie Giraud-Badin., 1919 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 40
Page
... membre de l'Institut ; Paul Cottin , de la Bibliothèque de l'Arsenal ; François Courboin , conservateur du département des estampes de la Bibliothèque nationale ; A. Decauville - Lachênée , de la Bibliothèque de Caen ; Félix Desvernay ...
... membre de l'Institut ; Paul Cottin , de la Bibliothèque de l'Arsenal ; François Courboin , conservateur du département des estampes de la Bibliothèque nationale ; A. Decauville - Lachênée , de la Bibliothèque de Caen ; Félix Desvernay ...
Page 16
... ( 1755 ) , le Génie de Montesquieu ( 1758 ) , l'Esprit de Saint - Evremont ( 1761 ) . Député à la Convention , il fut membre de l'Institut et mourut en 1797 . Tout ce que je demande aux Dieux , c'est un 16 BULLETIN DU BIBLIOPHILE.
... ( 1755 ) , le Génie de Montesquieu ( 1758 ) , l'Esprit de Saint - Evremont ( 1761 ) . Député à la Convention , il fut membre de l'Institut et mourut en 1797 . Tout ce que je demande aux Dieux , c'est un 16 BULLETIN DU BIBLIOPHILE.
Page 26
... membre de l'Académie de peinture en 1774 , puis conservateur du musée de Versailles , avait le titre de peintre du roi . Il a laissé de beaux portraits de Louis XVI , de M. et Mme Necker , du comte d'Angivilliers , de Marmontel ...
... membre de l'Académie de peinture en 1774 , puis conservateur du musée de Versailles , avait le titre de peintre du roi . Il a laissé de beaux portraits de Louis XVI , de M. et Mme Necker , du comte d'Angivilliers , de Marmontel ...
Page 29
... membre de l'Académie Française . Comme elle avait la manie d'écrire , elle aida d'abord son époux dans ses travaux , puis elle s'enhardit et signa « Marie » et « Le château de ma nièce » et encore « Une femme à la mode » ; enfin elle se ...
... membre de l'Académie Française . Comme elle avait la manie d'écrire , elle aida d'abord son époux dans ses travaux , puis elle s'enhardit et signa « Marie » et « Le château de ma nièce » et encore « Une femme à la mode » ; enfin elle se ...
Page 79
... soin minutieux toutes ces éditions et ce n'est pas une des moins intéressantes parties de son consciencieux travail . G. V. CHRONIQUE Bibliothèque de l'Institut . M. Alfred Rébelliau , membre REVUE DE PUBLICATIONS NOUVELLES 79.
... soin minutieux toutes ces éditions et ce n'est pas une des moins intéressantes parties de son consciencieux travail . G. V. CHRONIQUE Bibliothèque de l'Institut . M. Alfred Rébelliau , membre REVUE DE PUBLICATIONS NOUVELLES 79.
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
2º G Anno Anno Domini août Archives auec biblio bibliothèque Bulletin du Bibliophile capitulo Cardinal cathédrale de Rouen Chabanon chanoines chapitre cher citoyen Girardin clavem claves librarie Colonel Commissaire-Priseur comte de Sérent conclusum Crès et Cie deffuncti dicte dicto dictum eciam Écossais écrit édition eidem ejusdem Ermenonville Ernest Jovy Ex-libris février fuit Gabriel Hanotaux GEORGES VICAIRE Hazardiere Henri LECLERC Histoire hujus modi incipit Item j'ai j'ay Japon Jean Johannes l'abbé l'Académie française l'église l'histoire Laborde Léon de Laborde lettre liber Libraire Henri LECLERC librariam libris librorum libros livres anciens Louis magistri magistrum Maimbourg manuscrits mars missale Mollondin Monseigneur Monsieur nºs ordinaverunt quod ouvrage Philarète Chasles predictis publié quam reliure René de Girardin Rothomagensis Saint Sainte-Beuve septembre sera Sérent siècle Suisse super Surreau Thomas tion tres unum vélin Verberie Veygoux Vitry-le-François Voltaire volume ΙΟ ΙΟΙ ΠΟ
Fréquemment cités
Page 206 - Avoir la plume, c'est être faussaire public, et faire par charge ce qui coùtcroit la vie à tout autre. Cet exercice consiste à imiter si exactement l'écriture du roi qu'elle ne se puisse distinguer de celle que la plume contrefait...
Page 229 - Chabanon les suffrages de l'Académie. « Un goût sain, un esprit éclairé par les bons principes et par les grands modèles de l'antiquité, un style élégant et correct, des mœurs douces, une conduite noble et sage, tels sont, monsieur, les titres qui vous ont mérité l'estime du public et les suffrages de l'Académie; car elle ne doit pas séparer des talents ces qualités qui donnent à l'homme de lettres une considération personnelle qui se réfléchit sur les lettres ellesmêmes.
Page 128 - Quelle est l'origine de l'opinion qui étend sur une même famille une partie de la honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable? Cette opinion est-elle plus nuisible qu'utile? Et dans le cas où l'on se déciderait pour l'affirmative, quels seraient les moyens de parer aux inconvénients qui en résultent?
Page 225 - ... absurdes. Je me flatte que le cri public va les faire rentrer dans la boue, et qu'ils n'oseront pas publier leur censure , tant la seule liste des propositions les rendra d'avance odieux et ridicules. Chabanon m'étonne et m'afflige beaucoup en m'apprenant que vous n'êtes pas content de sa pièce.
Page 206 - Cet exercice consiste à imiter si exactement l'écriture du roi qu'elle ne se puisse distinguer de celle que la plume contrefait, et d'écrire en cette sorte toutes les lettres que le roi doit ou veut écrire de sa main et toutefois n'en veut pas prendre la peine.
Page 153 - D'azur, au lion d'or; au chef d'argent, » chargé d'une hure de sanglier, de sable, défendue d'ar» gent , accostée de deux roses de gueules ; supports ,
Page 287 - Et, de retour à la maison commune, nous avons dressé le présent procès-verbal pour servir et valoir ce que de raison.
Page 380 - Fontanes, plus d'esprit que de talent, une érudition égale à son esprit , et un caractère encore préférable à tous ses titres littéraires. Il cultiva les arts pour eux-mêmes ; il s'y dévoua tout entier, sans recueillir le prix de ce dévouement. Plusieurs de ses épltre...
Page 74 - ... et la fin de l'année qui suivra le jour de la signature du traité de paix, pour toutes les œuvres publiées avant l'expiration de ladite année et non tombées dans le domaine public à la date de la promulgation de la présente loi.
Page 222 - Rien de si solennel que nos représentations. On y accourait de Genève, de la Suisse et de la Savoie. Tous les lieux circonvoisins étaient garnis de régiments français, dont les officiers affluaient à notre théâtre. Nos habits -étaient propres, magnifiques, conformes aux costumes des pièces que nous représentions. La salle était jolie, le théâtre susceptible de changements et digne de rendre la pompe du spectacle et des prodiges de Sémiramis. Un jour, des grenadiers du régiment de...