Revue de Paris |
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Depuis que Maurice était entré dans son appartement , nul n'était plus admis
chez elle , aucun n'avait part à sa confiance ; nul regard indiscret ne pouvait
percer le secret de sa conduite , et dans son ivresse elle laissait la foule s'
étonner et ...
Depuis que Maurice était entré dans son appartement , nul n'était plus admis
chez elle , aucun n'avait part à sa confiance ; nul regard indiscret ne pouvait
percer le secret de sa conduite , et dans son ivresse elle laissait la foule s'
étonner et ...
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Depuis que Maurice était entré dans son appartement , nul n'était plus admis
chez elle , aucun n'avait part à sa confiance ; nul regard indiscret ne pouvait
percer le secret de sa conduite , et dans son ivresse elle laissait la foule s'
étonner et ...
Depuis que Maurice était entré dans son appartement , nul n'était plus admis
chez elle , aucun n'avait part à sa confiance ; nul regard indiscret ne pouvait
percer le secret de sa conduite , et dans son ivresse elle laissait la foule s'
étonner et ...
Page 8
Ainsi Fernande , avec la franchise qui lui était permise , n'avait point consenti à
parler à Maurice de sa vie passée , parce que , dans cette vie , il y avait des actes
dont elle avait à rougir . Ainsi Maurice avait , avec les plus grandes précautions ...
Ainsi Fernande , avec la franchise qui lui était permise , n'avait point consenti à
parler à Maurice de sa vie passée , parce que , dans cette vie , il y avait des actes
dont elle avait à rougir . Ainsi Maurice avait , avec les plus grandes précautions ...
Page 9
Fernande venait de se lever après une nuit heureuse et pleine de rêves dorés ,
comme elle en faisait depuis qu'elle connaissait Maurice . Elle qui aimait le jeune
baron sans arrière - pensée , n'avait pas même eu l'ombre de ces remords qui ...
Fernande venait de se lever après une nuit heureuse et pleine de rêves dorés ,
comme elle en faisait depuis qu'elle connaissait Maurice . Elle qui aimait le jeune
baron sans arrière - pensée , n'avait pas même eu l'ombre de ces remords qui ...
Page 35
Nous rapportons ces faits pour montrer que l'entreprise de Pinel n'avait rien de
téméraire ; si quelque chose étonne , c'est qu'on en ait redouté les suites . La
révolution dont ce célèbre médecin venait de donner le signal ne s'arrêta plus .
Nous rapportons ces faits pour montrer que l'entreprise de Pinel n'avait rien de
téméraire ; si quelque chose étonne , c'est qu'on en ait redouté les suites . La
révolution dont ce célèbre médecin venait de donner le signal ne s'arrêta plus .
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 175 - II est fait tout de mfme; il vient le nez au vent, Les pieds en parenthèse et l'épaule en avant; Sa perruque, qui suit le côté qu'il avance, Plus pleine de lauriers qu'un jambon de Mayence; Les mains sur les côtés, d'un air peu négligé; La tête sur le dos, comme un mulet chargé ; Les yeux fort égarés; puis, débitant ses rôles, D'un hoquet éternel sépare ses paroles; Et lorsque l'on lui dit : « Et commandez ici, » II répond : « Connoissez-vous César, de lui parler ainsi?
Page 248 - DEUX pigeons s'aimaient d'amour tendre : L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : Qu'allez-vous faire? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux...
Page 180 - Moines de Zurbaran, blancs chartreux qui, dans l'ombre, Glissez silencieux sur les dalles des morts, Murmurant des Pater et des Ave sans nombre, Quel crime expiez-vous par de si grands remords? Fantômes tonsurés, bourreaux à face blême, Pour le traiter ainsi, qu'a donc fait votre corps?
Page 168 - La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien, qui, en jouant son Malade imaginaire ou son Médecin par force, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d'heures après, et passa des plaisanteries du théâtre, parmi lesquelles il rendit presque le dernier soupir, au tribunal de celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez.
Page 182 - Deux poses, l'une droite et l'autre à deux genoux, A l'artiste ont suffi pour peindre votre histoire. Forme, rayon, couleur, rien n'existe pour vous; A tout objet réel vous êtes insensibles, Car le ciel vous enivre et la croix vous rend fous...
Page 114 - Ton âme de démon était-elle agitée ? Qu'avais-tu donc perdu pour être si chagrin? De quels amours tournés se composaient tes haines, Et qui jalousais-tu, toi, peintre souverain? Les plus grands cœurs, hélas ! ont les plus grandes peines ; Dans la coupe profonde il tient plus de douleurs ; Le ciel se venge ainsi sur les gloires humaines. Un jour, las de l'horrible et des noires couleurs, Tu voulus peindre aussi des corps blancs comme neige...
Page 112 - Il est des cœurs épris du triste amour du laid. Tu fus un de ceux-là, peintre à la rude brosse Que Naple a salué du nom d'Espagnolet. Rien ne put amollir ton âpreté féroce, Et le splendide azur du ciel italien N'a laissé nul reflet dans ta peinture atroce. Chez toi, l'on voit toujours le noir Valencien, Paysan hasardeux, mendiant équivoque, More que le baptême à peine a fait chrétien.
Page 246 - MANRIQUE Tout beau, tout beau, Carlos ! d'où vous vient cette audace. Et quel titre en ce rang a pu vous établir?
Page 182 - O moines! maintenant, en tapis frais et verts, Sur les fosses par vous à vous-mêmes creusées, L'herbe s'étend: —Eh bien! que dites-vous aux vers? Quels rêves faites-vous? quelles sont vos pensées? Ne regrettez-vous pas d'avoir usé vos jours Entre ces murs étroits, sous ces voûtes glacées? Ce que vous avez fait, le feriez-vous toujours?...
Page 181 - Tes moines, Lesueur, près de ceux-là sont fades. Zurbaran de Séville a mieux rendu que toi Leurs yeux plombés d'extase et leurs têtes malades ; Le vertige divin, l'enivrement de foi , Qui les fait rayonner d'une clarté fiévreuse, Et leur aspect étrange, à vous donner l'effroi. Comme son dur pinceau les laboure et les creuse Aux pleurs du repentir comme il ouvre des lits Dans les rides sans fond de leur face terreuse...