Napoléon et Marie-Louise: souvenirs historiques, Volume 2Amyot, 1844 - 4 pages |
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... Schoenbrunn . Le 22 avril , après la courte visite du roi de Prusse , le général - major comte Kinski , accom- pagné de son adjudant comte Desselbrune , des comtes Eugène Wrbna , fils du grand - chambellan , de Taff , chambellan , et de ...
... Schoenbrunn . Le 22 avril , après la courte visite du roi de Prusse , le général - major comte Kinski , accom- pagné de son adjudant comte Desselbrune , des comtes Eugène Wrbna , fils du grand - chambellan , de Taff , chambellan , et de ...
Page 226
... Schoenbrunn , terme de son voyage ; les princes de sa famille , oncles et frères , s'y étaient rendus de Vienne pour la rece- voir . Ses sœurs l'attendaient à la porte de son ap- partement , où elle fut conduite par l'impératrice d ...
... Schoenbrunn , terme de son voyage ; les princes de sa famille , oncles et frères , s'y étaient rendus de Vienne pour la rece- voir . Ses sœurs l'attendaient à la porte de son ap- partement , où elle fut conduite par l'impératrice d ...
Page 229
... Schoenbrunn , à son retour : « Comme ma ‹ fille , tout ce que j'ai est à toi , même mon sang et ‹ ma vie ; comme souveraine , je ne te connais pas , > elle ne put que baisser la tête et confirmer par son silence la force irrésistible d ...
... Schoenbrunn , à son retour : « Comme ma ‹ fille , tout ce que j'ai est à toi , même mon sang et ‹ ma vie ; comme souveraine , je ne te connais pas , > elle ne put que baisser la tête et confirmer par son silence la force irrésistible d ...
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... Schoenbrunn et y passa deux jours avant de continuer son voyage pour Pa- ris . Il partit le 29 juin ; le 31 était le jour fixé pour le départ de la duchesse de Montebello . Cette sépa- ration fut extrêmement pénible pour l'Impératrice ...
... Schoenbrunn et y passa deux jours avant de continuer son voyage pour Pa- ris . Il partit le 29 juin ; le 31 était le jour fixé pour le départ de la duchesse de Montebello . Cette sépa- ration fut extrêmement pénible pour l'Impératrice ...
Page 233
... Schoenbrunn . Elle en recevait des con- seils dont la fermeté n'était pas du goût de l'impé- ratrice d'Autriche ni du cabinet autrichien . Les prévenances dont Marie - Louise était l'objet de la part de sa belle - mère et des dames de ...
... Schoenbrunn . Elle en recevait des con- seils dont la fermeté n'était pas du goût de l'impé- ratrice d'Autriche ni du cabinet autrichien . Les prévenances dont Marie - Louise était l'objet de la part de sa belle - mère et des dames de ...
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Napoléon et Marie-Louise: souvenirs historiques, Volume 2 Claude François baron de Méneval Affichage du livre entier - 1844 |
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Expressions et termes fréquents
adressées alliés arrivée autrichien avaient avril Bâle Ballouhey Bausset Brignole cabinet chargé château comte Neipperg congrès conseil Corvisart d'État dame départ devait donner Dresde duc de Cadore duc de Vicence duchés de Parme envoyé États de Parme femme fils Fontainebleau général Bertrand général Neipperg gouvernement guerre heures hommes impériale Inspruck jeune prince Joseph Joseph Bonaparte jour l'archichancelier l'armée l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur d'Autriche l'empereur Napoléon l'île d'Elbe l'Im l'Impé l'impératrice Marie-Louise l'Italie laisser lendemain lettre de l'Empereur madame de Brignole madame de Montesquiou maison Majesté marche de l'Empereur Marie-Louise Mayence Meneval ment ministre mission n'avait Naples Napoléon nouvelles officiers Orléans palais passer pensée pératrice père pereur Peyrusse portait présent prince de Metternich prince Eugène prince Schwarzemberg princesse Prusse Rambouillet ratrice reçu régence rendre reste retour reur Rome Russie s'était Saint-Cloud Schoenbrunn Schwarzemberg séjour sentiments serait souverains Survilliers Talleyrand tion trice triche troupes trouvait Vienne visite voitures voyage
Fréquemment cités
Page 63 - Empereur des Français, Roi d'Italie, Protecteur de la Confédération du Rhin, Médiateur de la Confédération suisse...
Page 66 - Mandons et ordonnons que les présentes , revêtues des sceaux de l'état , insérées au Bulletin des lois, soient adressées aux cours, aux tribunaux, et aux autorités administratives, pour qu'ils les inscrivent dans leurs registres, les observent et les fassent observer; et le grand juge, ministre de la justice est chargé d'en surveiller la publication.
Page 352 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui.
Page 148 - Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte n'a été entendue sur les abus du pouvoir. Si l'empereur avait méprisé les hommes comme on le lui a reproché, alors le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris.
Page 125 - Conformément aux instructions verbales que je vous ai données et à l'esprit de toutes mes lettres, vous ne devez pas permettre que, dans aucun cas, l'Impératrice et le roi de Rome tombent entre les mains de l'ennemi.
Page 31 - Il s'occupait à lire ses dépêches, et, le plus souvent, il recevait des rapports de ses généraux, et expédiait à l'instant ses réponses. Des estafettes de Paris lui étaient quelquefois remises en même temps. Une lumière, disposée dans le fond de sa voiture, l'éclairait pendant les voyages de nuit, et lui permettait de travailler comme s'il eût été dans son cabinet. Aux portières, marchaient toujours ses aides-decamp et ses officiers d'ordonnance ; et une brigade de ses chevaux de...
Page 126 - Bouillerie et le trésor. Ne quittez pas mon fils, et rappelez-vous que je préférerais le savoir dans la Seine plutôt que dans les mains des ennemis de la France : le sort d'Astyanax, prisonnier des Grecs, m'a toujours paru le sort le plus malheureux de l'histoire.
Page 63 - N. (le prénom de l'empereur), par la grâce de Dieu et les constitutions de la république , empereur des Français, à tous présents et à venir, SALUT...
Page 463 - Napoléon a enfin perdu une bataille, il a besoin de nous, il arrive. Allons à son secours, pour qu'il chasse les barbares. Lui seul peut encore y parvenir, avec notre concours. Après cela, s'il veut être despote, le danger passé, nous nous réunirons pour le pendre, si cela est jugé indispensahlc ; mais aujourd'hui, marchons avec lui, c'est le seul moyen de nous sauver.
Page 351 - Les puissances qui ont signé le traité de Paris, réunies en » Congrès à Vienne , informées de l'évasion de Napoléon » Bonaparte et de son entrée à main armée en France , doivent » à leur propre dignité et à l'intérêt de l'ordre social une » déclaration solennelle des sentimens que cet événement leur