Encore, s'il >* avoit un gendre dont il pût , fans rou»> gir, accepter les fecours géaéreux , qui » le fecourût à fes derniers momens , qui » fermât fes yeux éteints dans les larmes, » qui le flattât de l'efpoir que fon nom » fe perpétueroic... Mercure de France au dix-neuvième siècle - Page 87 1773 Affichage du livre entier -
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