| Victor Hugo - 1853 - 410 pages
...C'est le propbête saint prosterné devant l'arcbe, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarcbe ; Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-lft vivent, Seigneur! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre,... | |
| Jean Frédéric Astié - 1878 - 760 pages
...sublime, Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur, ou quelque grand amour. Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont...d'exister sans vivre, Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. Ces accents-là ne sauraient être déplacés... | |
| Victor Hugo - 1887 - 340 pages
...sublime, Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,...d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe,... | |
| Paul Stapfer - 1888 - 346 pages
...Ceux-là vivent, Seigneur! les autres, je les plains. Car de s( n vague ennui le néant les cuivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe,... | |
| Victor Hugo - 1882 - 502 pages
...Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. CV,t le prophète saint prosterné devant l'arche. C'est...d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe,... | |
| Société d'économie politique et d'économie sociale de Lyon - 1894 - 640 pages
...quelque grand labeur, ou quelque noble amour. C'est le prophète saint, prosterné devant l'arcùe, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche;...lourd fardeau c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épar?, ils traînent ici-bas Le sombre accable.iient d'être en ne pensant pa?. lia s'a,>pullcnl vulgus,... | |
| Paul Stapfer - 1897 - 344 pages
...sublime, Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour... Ceux-là vivent, Seigneur! les autres, je les plains....enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vifre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. Ils... | |
| Tristan Legay - 1902 - 658 pages
...grand amour. C'est le prophète saint prosterné decant l'arche, C'est le tracailleur, pâtre, oucrier, patriarche, Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont [pleins. Ceux-là aicent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son cague ennui le néant les enicre, (1) La RucJie... | |
| Victor Hugo - 1910 - 564 pages
...sublime, Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,...d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe,... | |
| Émile Tardieu - 1913 - 304 pages
...sublime, Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,...le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Victor IIuoo (Châtiments, IV, ix). s'ennuient pour ne connaître qu'un seul train de vie, qu'une forme... | |
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