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Républiques anciennes. Vice essentiel qui les travaillait, 266. - Tableau de celles qui existaient dans le monde avant conquête des Romains. Tous les peuples connus, hors la Perse, étaient alors en république, 270. Républiques d'Italie. Les peuples y sont moins libres que dans nos monarchies : pourquoi, 265. Touchent presque au despotisme : ce qui les empêche de s'y précipiter, ibid. Vices de leur gouvernement, 146. République fédérative. Ce que c'est cette espèce de corps ne peut être détruit: pourquoi, 253. - De quoi doit être composée, 254.- Ne peut que très-difficilement subsister, si elle est composée de républiques et de monarchies : raisons et preuves, ibid. — Les États qui la composent ne doivent point conquérir les uns sur les autres, 258, 259. Républiques grecques. Dans les meilleures, les richesses étaient aussi onéreuses que la pauvreté, 239. Leur esprit étaient de se contenter de leurs territoires : c'est ce qui les fit subsister si longtemps, 250. République romaine. Son entière oppression, 152. - Consternation des premiers hommes de la république, 153.— Sans liberté, même après la mort du tyran, ibid. Repudiation. La faculté d'en user était accordée, à Athènes, à la femme comme à l'homme, 321. — Différence entre le divorce et la répudiation : la faculté de répudier doit être accordée, partout où elle a lieu, aux femmes comme aux hommes pourquɔi, ibid. - Est-il vrai que, pendant cinq cent vingt ans, personne n'osa user à Rome du droit de répudier accordé par la loi? 321, 322. — Les lois sur cette matière changèrent à Rome, à mesure que les mœurs y changèrent, 344.

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Revenus publics. Usage qu'on en doit faire dans une aristocratie, 216. Leur rapport avec la liberté : en quoi ils consistent: comment on les peut et on les doit fixer, 293. Révolutions. Ne peuvent se faire qu'avec des travaux infinis et de bonnes mœurs, et ne peuvent se soutenir qu'avec de bonnes lois, 214. - Difficiles et rares dans les monarchies; faciles et fréquentes dans les États despotiques, 218. — Ne sont pas toujours accompagnées de guerres, ibid. — Remettent quelquefois les lois en vigueur, 273.

RHADAMANTE. Pourquoi expédiait-il les procès avec célérité?

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Rhodiens. Quel était l'objet de leurs lois, 354. Leurs lois donnaient le navire et sa charge à ceux qui restaient dedans pendant la tempête; et ceux qui l'avaient quitté n'avaient rien, 433.

RICA, compagnon de voyage d'Usbek : son caractère, 19. RICHELIEU (le cardinal de). Pourquoi exclut les gens de bas lieu de l'administration des affaires dans une monarchie, Preuve de son amour pour le despotisme, 218. Suppose, dans le prince et dans ses ministres, une vertu impossible, ibid. - Donne, dans son testament, un conseil

201.

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impraticable au sujet de l'accusation des ministres, 476. – Fit jouer à son monarque le second rang dans la monarche, et le premier dans l'Europe, 624. Les plus méchants a toyens de France furent Richelieu et Louvois, ibid. Richesses. Pourquoi la Providence n'en a pas fait le prix de la vertu, 67. Combien, quand elles sont excessives, me dent injustes ceux qui les possèdent, 211.- Comment pesvent demeurer également partagées dans un État, 27 et suiv. Etaient aussi onéreuses, dans les bonnes républ ques grecques, que la pauvreté, 239. Effets bienfaisan de celles d'un pays, 293. En quoi les richesses cons tent, 356. Leurs causes et leurs effets, 358. - Dieu vrut que nous les méprisions : ne lui faisons done pas voir, lui offrant nos trésors, que nous les estimons, 418. Ripuaires. La majorité était fixée à quinze ans par leur ini, 335. Réunis avec les Saliens sous Clovis, conserverest leurs usages, 438. — Quand et par qui leurs usages furent mis par écrit, ibid. - Simplicité de leurs lois : causes de cette simplicité, 438, 440. — Comment leurs lois ces rest d'être en usage chez les Français, 443. Leurs lois se contentaient de la preuve négative, 446. Et toutes les lus barbares, hors la loi salique, admettaient la preuve par le combat singulier, ibid. — Cas où ils admettaient la preuve par le fer, 448. Voyez Francs ripuaires. Rites. Ce que c'est à la Chine, 341 et suiv.

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ROCHEFOUCAULD (LA). Ses maximes sont les proverbes des gens d'esprit, 623.

ROHAN (cardinal de). Plaisanterie faite sur lui dans les papiers publics de Londres, 635.

Rohan (duché de). La succession des rotures y appartient au dernier des måles : raisons de cette loi, 331. Rois. Leurs libéralités sont onéreuses au peuple, 84 et suiv. — Leur ambition est toujours moins dangereuse que la bassesse d'ame de leurs ministres, 86. — Ne doivent rien ordonner à leurs sujets qui soit contraire à l'honneur, 205. - Leur personne doit être sacrée, même dans les Etats les plus libres, 268. — Il vaut mieux qu'un roi soit pauvre, et son Elat riche, que de voir l'Etat pauvre et le roi riche, 377. - Leurs droits à la couronne ne doivent se régler par la loi civile d'aucun peuple, mais par la loi politique seulement, 436 Ce qui les rendit tous sujets de Rome, 142 et suiv. Rois d'Angleterre. Sont presque toujours respectés au dehors, et inquiétés au dedans, 347. — Pourquoi, ayant une autorite si bornée, ont tout l'appareil et l'extérieur d'une puissance si absolue, ibid.

Rois d'Europe. Leur caractère ne se développe qu'entre les mains de leur maitresse ou de leur confesseur, 73. Rois de France. Sont la source de toute justice dans leur royaume, 457. - On ne pouvait fausser les jugements redus dans la cour, ou rendus dans celle des seigneurs par des hommes de la cour royale, ibid. — Ne pouvaient, dans le siècle de saint Louis, faire des ordonnances génerales pour le royaume, sans le concert des barons, 460. Germe de l'histoire de ceux de la première race, 480. — L'usage ou ils étaient autrefois de partager leur royaume entre leurs enfants est une des sources de la servitude de la glebe et des fiefs, 483 et suiv. Leurs revenus étaient bornés autrefois à leur domaine, qu'ils faisaient valoir par leurs esciaves, et au produit de quelques péages: preuves, 487. — Dans les commencements de la monarchie, ils levaient des tributs sur les serfs de leurs domaines seulement; et ces tributs se nommaient census ou cens, ibid. Voyez Ecclesiastiques, Seigneurs. -Bravoure de ceux qui régnérent dans le commencement de la monarchie, 490. — En quoi consistaient leurs droits sur les hommes libres dans les commencements de la monarchie, 492. — Ne pouvaient rien lever sur les terres des Francs : c'est pourquoi la justice ne pouvait pas leur appartenir dans les tiefs, mais aux

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seigneurs seulement, 495. - Leurs juges ne pouvaient autrefois entrer dans aucun fief, pour y faire aucune fonction, ibid. Férocité de ceux de la première race : ils ne faisaient pas les lois, mais suspendaient l'usage de celles qui étaient faites, 505. En quelle qualité ils présidaient, dans les commencements de la monarchie, aux tribunaux et aux assemblées où se faisaient les lois; et en quelle qualité ils commandaient les armées, 507, 508. - Époque de l'abaissement de ceux de la première race, 508 et suiv. — Quand et pourquoi les maires les tinrent enfermés dans leurs palais, 509. Ceux de la seconde race furent électifs et héréditaires en même temps, 516. -Leur puissance directe sur les fiefs. Comment et quand ils l'ont perdue, 522 et suiv. Rois de Rome. Etaient électifs-confirmatifs, 272. — Quel était le pouvoir des cinq premiers, ibid. Quelle était leur compétence dans les jugements, 276, 277.-Leur expulsion,

126.

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ROMAIN DIOGÈNE est fait prisonnier, 186. Romains. Ils obéissaient à leurs femmes, 26. Une partie des peuples qui ont détruit leur empire étaient originaires de Tartarie, 57. - Leur religion était favorable à la population, 77. Leurs esclaves remplissaient l'État d'un peuple innombrable, 78. — Les criminels qu'ils reléguaient en Sardaigne y périssaient, 82. Tous les royaumes de l'Europe sont formés des débris de leur empire, 92 et suiv. Religieux observateurs du serment, 126. Leur habileté dans l'art militaire : comment ils l'acquirent, 127. — Les anciens Romains regardaient l'art militaire comme l'art unique, 128. Soldats romains d'une force plus qu'humaine, ibid. Comment on les formait, ibid. — Pourquoi on les saignait quand ils avaient fait quelque faute, 129. — Plus sains et moins maladifs que les nôtres, ibid. Se défendaient avec leurs armes contre toute autre sorte d'armes, 129, 130.- Leur application continuelle à la science de la guerre, ibid. Comparaison des anciens Romains avec les peuples d'à présent, 130. — - Parallèle des anciens Romains avec les Gaulois, ibid. - N'allaient point chercher des soldats chez leurs voisins, 132. - Leur conduite à l'égard de leurs ennemis et de leurs alliés, 139 et suiv. — Ne faisaient jamais la paix de bonne foi, 139. — Établirent, comme une loi, qu'aucun roi d'Asie n'entrát en Europe, 140. — Leurs maximes de politique constamment gardées dans tous les temps, ibid. Une de leurs principales était de diviser les puissances alliées, 141.- Empire qu'ils exerçaient même sur les rois, ibid. Ne faisaient point de guerres éloignées, sans y être secondés par un allié voisin de l'ennemi, ibid. Interprétaient les traités avec subtilité pour les tourner à leur avantage, ibid. — Ne se croyaient point liés par les traités que la nécessité avait forcé leurs généraux de souscrire, ibid. — Inséraient, dans leurs traités avec les vaincus, des conditions impraticables, pour se ménager les occasions de recommencer la guerre, ibid. — S'érigeaient en juges des rois mêmes, 142. — Dépouillaient les vaincus de tout comment ils faisaient arriver à Rome l'or et l'argent de tout l'univers, ibid. Respect qu'ils imprimèrent à toute la terre, ibid. - Ne s'appropriaient pas d'abord les pays qu'ils avaient soumis, ibid. - Devenus moins fidèles à leurs serments, 148. — L'amour de la patrie était chez eux une sorte de sentiment religieux, 149. Conservent leur valeur au sein même de la mollesse et de la volupté, ibid. Regardaient les arts et le commerce comme des occupations d'esclaves, ibid. La plupart d'origine servile, 158. Pleurent Germanicus, 160.- Rendus féroces par leur éducation et leurs usages, 161. Toute leur puissance aboutit

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à devenir les esclaves d'un maitre barbare, 161 et suiv. Appauvris par les barbares qui les environnaient, 171.— Devenus maitres du monde par leurs maximes de politique; déchus pour en avoir changé, ibid. — Se lassent de leurs armes, et les changent, 172. — Soldats romains, mėlés avec les barbares, contractent l'esprit d'indépendance de ceuxci, ibid. - Accablés de tributs, 173. Pourquoi introduisirent les actions dans leurs jugements, 229. - Ont été longtemps réglés dans leurs mœurs, sobres et pauvres, 249. Avec quelle religion ils étaient liés par la foi du serment; exemples singuliers, ibid. — Pourquoi plus faciles à vaincre chez eux qu'ailleurs, 255. — Leur injustice barbare dans les conquêtes, 257. Leurs usages ne permettaient pas de faire mourir une fille qui n'était pas nubile; comment Tibère concilia cet usage avec sa cruauté, 287. — Leur sage modération dans la punition des conspirations, 288.- Époque de la dépravation de leurs àmes, 288, 289. Avec quelles précautions ils privaient un citoyen de sa liberté, 289. Pourquoi pouvaient s'affranchir de tout impôt. 296. Raisons physiques de la sagesse avec laquelle les peuples du Nord se maintinrent contre leur puissance, 302.- La lèpre était inconnue aux premiers Romains, 304. — Ne se tuaient point sans sujet : différence, à cet égard, entre eux et les Anglais, 305. Leur police touchant les esclaves n'était pas bonne, 311, 312. — Leurs esclaves sont devenus redoutables à mesure que les mœurs se sont corrompues, et qu'ils ont fait contre eux des lois plus dures. Détail de ces lois, 413. Mithridate profitait de la disposition des esprits pour leur reprocher les formalités de leur justice, 337. Les premiers ne voulaient point de roi, parce qu'ils en craignaient la puissance : du temps des empereurs, ils ne voulaient point de roi, parce qu'ils n'en pouvaient souffrir les manières, ibid. - Trouvaient, du temps des empereurs, qu'il y avait plus de tyrannie à les priver d'un baladin qu'à leur imposer des lois trop dures, ibid. — Idée bizarre qu'ils avaient de la tyrannie sous les empereurs,' ibid. Étaient gouvernés par les maximes du gouvernement et les mœurs anciennes, ibid. Leur orgueil leur fut utile, parce qu'il était joint à d'autres qualités morales, 339. Motifs de leurs lois au sujet des donations à cause de noces, 344. - Pourquoi leurs navires étaient plus vites que ceux des Indes, 360. - Plan de leur navigation : leur commerce aux Indes n'était pas si étendu, mais était plus facile que le nôtre, 365. Ce qu'ils connaissaient de l'Afrique, 366. — Où étaient les mines d'où ils tiraient l'or et l'argent, 368. -Leur traité avec les Carthaginois, touchant le commerce maritime, ibid. - Belle description du danger auquel Mithridate les exposa, 369. — Pour ne pas paraitre conquérants, ils étaient destructeurs : conséquences de ce système, ibid. Leur génie pour la marine, ibid. et suiv. La constitution politique de leur gouvernement, leur droit des gens et leur droit civil étaient opposés au commerce, 370.- Comment réussirent à faire un corps d'empire de toutes les nations conquises, ibid. Ne voulaient point de commerce avec les barbares, ibid. N'avai ent pas l'esprit de commerce, ibid. - Leur commerce avec l'Arabie et les Indes, 371. Pourquoi le leur fut plus considérable que celui des rois d'Égypte, ibid. — Leur commerce intérieur, ibid. - Beauté et humanité de leurs lois, 372.—Ce que devint le commerce après leur affaiblissement en Orient, ibid. - Quelle était originairement leur monnaie, 378. — Lcs changements qu'ils firent dans leur monnaie sont des coups de sagesse qui ne doivent pas être imités, 385 et suiv. On ne les trouve jamais si supérieurs que dans le choix des circonstances où ils ont fait les biens et les maux, 386. Changements que leurs monnaies essuyèrent sous les empereurs, 386, 387. Taux de l'usure dans les différents temps de la république : comment on éludait les lois contre l'usure: ravages qu'elle fit, 389 ef suiv. Etat des peuples avant qu'il y eût des Romains, 397 et suiv. - Ont englouti tous les États, et dépeuplé l'univers, 398. - Furent dans la nécessité de faire des lois pour la propagation de l'espèce; détail de ces lois, ibid. Leur respect pour les vieillards, 399, 400. Leurs lois et leurs usages sur l'expo

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sition des enfants, 403. Tableau de leur empire, dans le temps de sa décadence : c'est eux qui sont cause de la dépopulation de l'univers, ibid. — N'auraient pas commis les ravages et les massacres qu'on leur reproche, s'ils eussent été chrétiens, 407. — Loi injuste de ce peuple touchant le divorce, 423. Leurs règlements et leurs lois civiles pour conserver les mœurs des femmes, furent changés quand la religion chrétienne eut pris naissance, 425, 426. Leurs lois défendaient certains mariages et même les annulaient, 427. Désignaient les frères et les cousins germains par le même mot, 428, not. 4. · Quand il s'agit de décider du droit à une couronne, leurs lois civiles ne sont pas plus applicables que celles d'aucun autre peuple, 430. — Origine et révolutions de leurs lois sur les successions, 433 et suiv. Pourquoi leurs testaments étaient soumis à des formalités plus nombreuses que ceux des autres peuples, 435. Par quels moyens ils cherchèrent à réprimer le luxe de leurs femmes, auxquelles leurs premières lois avaient laissé une porte ouverte, 436. Comment les formalités leur fournissaient des moyens d'éluder la loi, ibid. - Tarif de la différence que la loi salique mettait entre eux et les Francs, 440. Ceux qui habitaient dans le territoire des Wisigoths étaient gouvernés par le code Théodosien, 441.

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La prohibition de leurs mariages avec les Goths fut levée par Recessuinde, 443. Pourquoi n'avaient point de partie publique, 463. Pourquoi regardaient comme un déshonneur de mourir sans héritier, 472, 473. - Pourquoi ils inventèrent les substitutions, ibid. Il n'est pas vrai qu'ils furent tous mis en servitude, lors de la conquête des Gaules par les barbares : ce n'est donc pas dans cette prétendue servitude qu'il faut chercher l'origine des fiefs, 481, 482. - Ce qui a donné lieu à cette fable, 483 et suiv. Leurs révoltes, dans les Gaules, contre les peuples barbares conquérants, sont la principale source de la servitude de la glèbe et des fiefs, ibid. - Payaient seuls des tributs dans les commencements de la monarchie française: traits d'histoire et passages qui le prouvent, 484, 485. étaient leurs charges dans la monarchie des Francs, 486 et suiv. Ce n'est point de leur police générale que dérive ce qu'on appelait autrefois, dans la monarchie, census ou cens : ce n'est point de ce cens chimérique que dérivent les droits des seigneurs : preuve, 489. — Ceux qui, dans la domination française, étaient libres, marchaient à la guerre sous les comtes, 490. Leurs usages sur l'usure, 545. Voyez Droit romain, Lois romaines, Rome. Romans. Jugement sur ces sortes d'ouvrages, 94. - Des Orientaux, ibid.

Romans de chevalerie. Leur origine, 452.

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Quelles

Rome ancienne. Nombre énorme de ses habitants, 78. - On y punissait le célibat, 80. — Origine de cette république : sa liberté opprimée par César, 90. - Comparée, telle qu'elle était à sa naissance, avec les villes de la Crimée, 125.- Mal construite d'abord, sans ordre et sans symétrie, ibid.-Son union avec les Sabins, ibid. — Adopte les usages étrangers qui lui paraissent préférables aux siens, ibid. - -Ne s'agrandit d'abord que lentement, 127. Se perfectionne dans l'art militaire, 127 et suiv. — Nouveaux ennemis qui se liguent contre elle, ibid. et suiv. — Prise par les Gaulois, ne perd rien de ses forces, 128.-La ville seule fournit dix légions contre les Latins, 131.- Son état lors de la première guerre punique, 132 et suiv. Parallèle de cette république avec celle de Carthage, ibid. - État de ses forces lors de la seconde guerre punique, ibid. et suiv.-Sa constance prodigieuse malgré les échecs qu'elle reçut dans cette guerre, 134.-Était comme la tête qui commandait à tous les États ou peuples de l'univers, 142.-N'empêchait pas les vaincus de se gouverner par leurs lois, 143.- N'acquiert pas de nouvelles forces par les conquetes de Pompée, 144. — Ses divisions intestines, ibid. Excellence de son gouvernement, en ce qu'il fournissait les moyens de corriger les abus, 146. — Il dégénère en anarchie: par quelles raisons, ibid. et suiv. Sa grandeur cause sa ruine, 147.-N'avait cessé de s'agrandir, par quelque forme de gouvernement qu'elle eût été régie, 148. — Par quelles voies on la peuplait d'habitants, 158. — Abandonnée par ses

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souverains, devient indépendante, 175.- Causes de sa des truction, ibid. et suiv. Une des principales causes de a ruine fut de n'avoir pas fixé le nombre de citoyens qui vaient former les assemblées, 193. - Tableau raccoure is différentes révolutions qu'elle a essuyees, ibid. — Pourques on s'y détermina si difficilement à élever les piebeiens 23 grandes charges, 194. — Les suffrages secrets furent une d grandes causes de sa chute, 195.-Sagesse de sa constitution, ibid.-Comment défendait son aristocratie contre le perpe 196.Utilité de ses dictateurs, ibid. — Pourquoi ne put ter libre après Sylla, 200.-Source de ses dépenses publiqes, 211. Par qui la censure était exercée, 214. - Loi furqui y fut établie par les décemvirs, 215. - Sagesse de sa ceduite pendant qu'elle inclina vers l'aristocratie, 216. — Est admirable dans l'établissement de ses censeurs, ibid. — Pas quoi, sous les empereurs, les magistratures y furent dein guées des emplois militaires, 225. - Combien les lois y te fluaient dans les jugements, 228 et suiv. - Comment les los y mirent un frein à la cupidité qui aurait pu diriger les 10gements du peuple, 229. - Exemples de l'exces du lute qu s'y introduisit, 239. Comment les institutions y chines rent avec le gouvernement, 242.-Les femines y étaient dans une perpétuelle tutelle; cet usage fut abroge: pourquoit, 242, 243. — La crainte de Carthage l'affermit, 247. — Qand elle fut corrompue, on chercha en vain un corps dysle quel on put trouver des juges intègres, 249.-Pendast qu'eüe fut vertueuse, les plébéiens eurent la magnanimité d'elever toujours les patriciens aux dignités qu'ils s'étaient rendues communes avec eux, ibid. — Était un vaisseau tenu par deux ancres dans la tempête, la religion et les murs 2.

Les associations la mirent en état d'attaquer l'univers, et mirent les barbares en état de lui résister, 253.- Si ADnibal l'eût prise, c'était fait de la république de Carthage, 259. Quel était l'objet de son gouvernement, 264. y pouvait accuser les magistrats: utilité de cet usage, 268, not. 4. Ce qui fut cause que le gouvernement changra dans cette république, 268, 269. — Pourquoi cette reput que, jusqu'au temps de Marius, n'a point ete subjuzuee par ses propres armées, 268, 269. Description et causes des révolutions arrivées dans le gouvernement de cet État, 272 et suiv. Quelle était la nature de son gouvernement sous ses rois, ibid. Comment la forme du gouvernement changea sous ses deux derniers rois, ibid. — Ne prit pas, apres l'expulsion de ses rois, le gouvernement qu'elle devait natorellement prendre, 273. - Par quels moyens le peuple y elas blit sa liberté temps et motifs de l'établissement des difie rentes magistratures, ibid. et suiv.- Comment le peuple sy assemblait, et quel était le temps de ses assemblées, 274. — Comment, dans l'état le plus florissant de la république, el'e perdit tout à coup sa liberté, ibid.-Révolutions qui y fur-st causées par l'impression que les spectacles y faisaient sur le peuple, 275. Puissance législative dans cette republiqu», ibid. Ses institutions la sauvèrent de la ruine ou les pe béiens l'entrainaient par l'abus qu'ils faisaient de leur pasibid. Puissance exécutrice dans cette république, sance, ibid. Belle description des passions qui animaitut crite république, de ses occupations, et comment elles était partagées entre les différents corps, ibid. et suiv. - Dea des différents corps et tribunaux qui y eurent successivement la puissance de juger : maux occasionnés par ces varia tions: détail des différentes espèces de jugements qui y étaient en usage, 276 et suiv. - Maux qu'y causerent les traitants, 278. Comment gouverna les provinces dans les difierents degrés de son accroissement, 279, 280. — Comment on y de vait les tributs, ibid. Pourquoi la force des provinces conquises ne fit que l'affaiblir, 280.- Combien les lois er minelles y étaient imparfaites sous ses rois, 281. — Counlarn il y fallait de voix pour condamner un accusé, ibid. — Uz que l'on y nommait privilège du temps de la republique, 289.- Comment on y punissait un accusateur injuste: pncautions pour l'empêcher de corrompre les juges, ibid. L'accusé pouvait se retirer avant le jugement, ibid. — La dureté des lois contre les débiteurs a pensé plusieurs fors ètre funeste à la république : tableau abrégé des évenements

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qu'elle occasionna, 289, 290.—Sa liberté lui fut procurée par des crimes, et confirmée par des crimes, 290. — C'était un grand vice, dans son gouvernement, d'affermer les revenus, 299.- - La république périt, parce que la profession des traitants y fut honorée, ibid. — Comment on y punissait les enfants, quand on eut ôté aux pères le pouvoir de les faire mourir, 314. - On y mettait les esclaves au niveau des bêtes, ibid. - Les diverses lois touchant les esclaves et les affranchis prouvent son embarras à cet égard, ibid. — Ses lois politiques au sujet des affranchis étaient admirables, 315. — Est-il vrai que pendant cinq cent vingt ans personne n'osa user du droit de répudier, accordé par la loi? 321. — Quand le péculat commença à être connu, la peine qu'on lui imposa prouve que les lois suivent les mœurs, 343. - On y changea les lois à mesure que les mœurs y changèrent, 344. La politesse n'y est entrée que quand la liberté en est sortie, 348.-Différentes époques de l'augmentation de la somme d'or et d'argent qui y était, et du rabais des monnaies qui s'y est toujours fait en proportion de cette augmentation, 386 et suiv. Sur quelles maximes l'usure y fut réglée, après la destruction de la république, 390 et suiv. - Les lois y furent peut-être trop dures contre les båtards, 394.-Fut plus affaiblie par les discordes civiles, les triumvirats et les proscriptions, que par aucune guerre, 399. — Il y était permis à un mari de prêter sa femme à un autre, et on le punissait s'il la souffrait vivre dans la débauche: conciliation de cette contradiction apparente, 431. — Par qui les lois sur le partage des terres y furent faites, 434. - On n'y pouvait faire autrefois de testament que dans une assemblée du peuple: pourquoi, ibid. et suiv. La faculté indéfinie que les citoyens avaient de tester fut la source de bien des maux, 434.-Pourquoi le peuple y demanda sans cesse les lois agraires, ibid.

Pourquoi la galanterie de chevalerie ne s'y est pas introduite, 452. On ne pouvait entrer dans la maison d'aucun citoyen pour le citer en jugement en France, on ne peut pas faire de citations ailleurs : ces deux lois, qui sont contraires, partent du même esprit, 473. - On y punissait le recéleur de la même peine que le voleur: cela était juste à Rome; cela est injuste en France, 474.- Comment le vol y était puni: les lois sur cette matière n'avaient nul rapport avec les autres lois civiles, ibid. - Les médecins y étaient punis de la déportation, ou même de la mort, pour leur négligence ou leur impéritie, 475.- On y pouvait tuer le voleur qui se mettait en défense: correctif que la loi avait apporté à une disposition qui pouvait avoir de si funestes conséquences, 475. Voyez Droit romain, Lois romaines, Romains.

Rome moderne. Tout le monde y est à son aise, excepté ceux qui ont de l'industrie, qui cultivent les arts et les terres, ou qui font le commerce, 405.-On y regarde comme conforme au langage de la maltóte, et contraire a celui de l'Écriture, la maxime qui dit que le clergé doit contribuer aux charges de l'Etat, 418.-Ancienne et moderne. A toujours enchanté l'auteur, 650.

ROMULUS et ses successeurs toujours en guerre avec leurs voisins, 125. Il adopte l'usage du bouclier sabin, ibid. — La crainte d'être regardé comme un tyran empêcha Auguste de prendre ce nom, 337.-Ses lois touchant la conservation des enfants, 403.- Le partage qu'il fit des terres est la source de toutes les lois romaines sur les successions, 433. - Ses lois sur le partage des terres furent rétablies par Servius Tullius,

431.

RORICON, historien franc. Etait pasteur, 481.

ROTHARIS, roi des Lombards. Déclare, par une loi, que les lépreux sont morts civilement, 304.- Ajouta de nouvelles lois à celles des Lombards, 439.

ROXANE, femme d'Usbek. Usbek vante sa sagesse et sa vertu, 18.-Opiniâtreté avec laquelle elle résiste aux empressements de son mari pendant les premiers mois de son mariage, ibid. -Conserve tous les extérieurs de la vertu, au milieu des désordres qui règnent dans le sérail, 107. Ses plaintes sur les chatiments que le grand eunuque fait subir aux autres femmes d'Usbek, 109. Surprise entre les bras d'un jeune homme, 110. S'empoisonne : sa lettre à Usbek, ibid.

Royauté. Ce n'est pas un honneur seulement, 477. Rubicon. Fleuve de la Gaule cisalpine, 151.

Ruse. Comment l'honneur l'autorise dans une monarchie, 204. Russie. Pourquoi on y a augmenté les tributs, 296, not. 3. —On y a très-prudemment exclu de la couronne tout héritier qui possède une autre monarchie, 432.

S

Sabbat. La stupidité des Juifs, dans l'observation de ce jour, prouve qu'il ne faut point décider par les préceptes de la religion, lorsqu'il s'agit de ceux de la loi naturelle, 425. Sabins. Leur union avec Rome, 125. - Peuple belliqueux, ibid. et 127.

Sacerdoce. L'empire a toujours du rapport avec le sacerdoce,

402.

Sacrements. Etaient autrefois refusés à ceux qui mouraient sans donner une partie de leurs biens à l'Eglise, 467. Sacrifices. Quels étaient ceux des premiers hommes, selon Porphyre, 417.

Sacrilege caché. Ne doit point être poursuivi, 282. Sacrileges simples. Quels sont les seuls crimes contre la religion, 281 et suiv.- Quelles en doivent être les peines, 282. Excès monstrueux où la superstition peut porter, si les lois humaines se chargent de les punir, ibid.-Le droit civil entend mieux ce que c'est que ce crime que le droit canonique, 425.

SACY (DE). Eloge de cet académicien, 582 et suiv. Saignée. Par quelle raison on saignait les soldats romains qui avaient commis quelque faute, 129.

Saliens. Réunis avec les Ripuaires, sous Clovis, conservèrent leurs usages, 438.

Salique. Etymologie de ce mot: explication de la loi que nous nommons ainsi, 331. — Voyez Loi salique, Terre salique. SALOMON. De quels navigateurs se servit, 360. - La longueur du voyage de ses flottes prouvait-elle la grandeur de l'éloignement? ibid.

SALVIEN. Réfute la lettre de Symmaque, 173. Samnites. Peuple le plus belliqueux de toute l'Italie, 128. Alliés de Pyrrhus, 131.- Auxiliaires des Romains contre les Carthaginois et contre les Gaulois, 132. — Accoutumés à la domination romaine, ibid.-Cause de leur longue résistance aux efforts des Romains, 207. - Coutume de ce peuple sur les mariages, 242. Leur origine, ibid.

Samos (roi de). Pourquoi un monarque d'Égypte renonce à son alliance, 65.

Santons. Espèce de moines: idée que les musulmans ont de leur sainteté, 63.

Sardaigne. État ancien de cette ile : quand et pourquoi elle a été ruinée, 327.

Sardaigne (roi de). Conduite contradictoire du roi, 224. Sarrasins. Excellents hommes de trait, 181.-Chassés par Pepin et Charles-Martel, 441. — Pourquoi furent appelés dans la Gaule méridionale : révolution qu'ils occasionnèrent dans les lois, 443.- Pourquoi dévastèrent la France, et non pas l'Allemagne, 525.

Satisfaction. Voyez Composition.

Sauromates. Ce peuple barbare était dans la servitude des femmes, 26.

Sauvages. Leurs mœurs sont contraires à la population, 81 et suiv. Objet de leur police, 264. - Différence qui est entre les sauvages et les barbares, 328. C'est la nature et le climat presque seuls qui les gouvernent, 337. — Pourquoi tiennent peu à leur religion, 415.

Savants. Leur entètement pour leurs opinions, 103.-Malheur
de leur condition: lettre à ce sujet, 104.
Saxons. Sont originaires de la Germanie, 333.- - De qui ils
recurent d'abord des lois, 438. — Causes de la dureté de
leurs lois, 439. Leurs lois criminelles étaient faites sur le
meme plan que celles des Ripuaires, 446.
Scapulaires, 21.

Schisme entre l'église latine et la grecque, 186.
Scholastiques. Leur portrait, 25. - Leurs rêveries ont causé

tous les malheurs qui accompagnèrent la ruine du commerce,

373.

Science. Est dangereuse dans un État despotique, 206.
Sciences. En feignant de s'y attacher, on s'y attache réelle-
ment, 6.

Sciences occultes (livres de). Pitoyables, suivant les gens de
bon sens, 92.

SCIPION. Comment retint le peuple à Rome, après la bataille
de Cannes, 250.- Enlève aux Carthaginois leur cavalerie
numide, 133.

SCIPION ÉMILIEN. Comment il traite ses soldats après la défaite
près Numance, 129.

SCIPION (LUCIUS). Par qui fut jugé, 278.

Scythes. Leur système sur l'immortalité de l'âme, 413. - II
leur était permis d'épouser leurs filles, 428, not. I. -Pour-
quoi crevaient les yeux à leurs esclaves, 183.

Scythie. État de cette contrée lors des invasions de ses peu-
ples dans l'empire romain, 174, 175.

Secondes noces. Voyez Noces.

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Séditions. Cas singulier où elles étaient sagement établies par
les lois, 248.- La Pologne est une preuve que cette loi n'a
pu être utilement établie que chez un peuple unique, ibid.·
Faciles à apaiser dans une république fédérative, 253. Il
est des gouvernements où il faut punir ceux qui ne prennent
pas parti dans une sédition, 471.
Seigneurs. Etaient subordonnés au comte, 453. —Etaient juges
dans leurs seigneuries, assistés de leurs pairs, c'est-à-dire de
leurs vassaux, 455 et suiv.-Ne pouvaient appeler un de leurs
hommes sans avoir renoncé à l'hommage, ibid. — Conduite
qu'un seigneur devait tenir quand sa propre justice l'a-
vait condamné contre un de ses vassaux, 455. — - Moyens
dont ils se servaient pour prévenir l'appel de faux jugement,
ibid.-On était obligé autrefois de réprimer l'ardeur qu'ils
avaient de juger et de faire juger, 458. Dans quels cas on
pouvait plaider contre eux, dans leur propre cour, 459. —
Comment saint Louis voulait que l'on pût se pourvoir contre
les jugements rendus dans les tribunaux de leurs justices,
ibid. et suiv.-On ne pouvait tirer les affaires de leurs cours
sans s'exposer aux dangers de les fausser, 460. — N'étaient
obligés, du temps de saint Louis, de faire observer dans leurs
justices que les ordonnances royales qu'ils avaient scellées ou
souscrites eux-mêmes, ou auxquelles ils avaient donné leur
consentement, 460, 461.-Étaient autrefois obligés de sou-
tenir eux-mêmes les appels de leurs jugements; époque de
l'abolition de cet usage, 461. Tous les frais des procès
roulaient autrefois sur eux; il n'y avait point alors de con-
damnation aux dépens, 462, 463. Quand commencèrent à
ne plus assembler leurs pairs pour juger, 468. - Ce n'est
point une loi qui leur a défendu de tenir eux-mêmes leur
cour ou de juger; cela s'est fait peu à peu, ibid. - Les droits
dont ils jouissaient autrefois, et dont ils ne jouissent plus,
ne leur ont point été ôtés comme usurpations; ils les ont
perdus par négligence, ou par les circonstances, 369-Les
chartres d'affranchissement qu'ils donnèrent à leurs serfs
sont une des sources de nos coutumes, 470.-Levaient, dans
les commencements de la monarchie, des tributs sur les serfs
de leurs domaines; et ces tributs se nommaient census ou
cens, 488. — Voyez Roi de France. -Leurs droits ne dé-
rivent point, par usurpation, de ce cens chimérique que l'on
prétend venir de la police générale des Romains, 489.
Sont la même chose que les vassaux : étymologie de ce mot,
ibid.-Le droit qu'ils avaient de rendre la justice dans leurs
terres avait la même source que celui qu'avaient les comtes
dans la leur, 491. Quelle est précisément la source de
leurs justices, 495.-Ne doivent point leurs justices à l'usur-
pation preuves, 496.

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SEJAN, favori de Tibère, 164.

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Sel. L'impôt sur le sel, tel qu'on le lève en France, est injuste
et funeste, 295.- Comment s'en fait le commerce en Afri-
que, 378.

SELEUCUS NICATOR. Fondateur de l'empire de Syrie, 137.-
Aurait-il pu exécuter le projet qu'il avait de joindre le Pont-
Euxin à la mer Caspienne? 359.

SÉMIRAMIS. Source de ses grandes richesses, 358.

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Sénat de Rome. - Avait la direction des affaires, 132 -Sa
maxime constante de ne jamais composer avec Teane
qu'il ne fut sorti des Etats de la république, 134. — Sa fer
meté après la défaite de Cannes; sa conduite singulier a
l'égard de Terentius Varron, ibid. —Sa profonde politique,
139 et suiv. Sa conduite avec le peuple, 144 et suiv
Son avilissement, 153. Après la mort de César, conf
tous les actes qu'il avait faits, 154.-Accorde l'amnistie a w
meurtriers, ibid. - Sa basse servitude sous Tibere. cases
de cette servitude, 156.- Quel parti Tibère en tire, is-
Ne peut se relever de son abaissement, ibid. - Pendat
combien de temps ses arrêts avaient force de loi, 1-
Pensait que les peines immodérées ne produisent part
leur effet, 234. - -Son pouvoir sous les cinq premiers ras,
Etendue de ses fonctions et de son autorite apres
l'expulsion des rois, 275 et suiv. Sa lâche complaisance
pour les prétentions ambitieuses du peuple, 277. - Epoque
funeste de la perte de son autorité, 278.
Sénateurs dans une aristocratie. Ne doivent point nommer
aux places vacantes dans le sénat, 196. Dans une de
mocratie. Doivent-ils être à vie, ou pour un temps? 214.—
Ne doivent être choisis que parmi les vieillards; pourquoi,
ibid.

272.

-

196.-

Sénateurs romains. Par qui les nouveaux étaient nommés,
- Avantages de ceux qui avaient des enfants sur ceux
qui n'en avaient pas, 400.- Quels mariages pouvaient con-
tracter, 401.

Sénatus-consulte Orphitien. Appela les enfants à la succes
sion de leur mère, 438.

Sénatus-consulte Tertullien. Cas dans lesquels il accorde anx
mères la succession de leurs enfants, 437, 438.
SÉNÈQUE. Auteur peu propre à consoler les affligés, 23.
Sennar. Injustices cruelles qu'y fait commettre la religion ma
hométane, 407.

Sens. Influent beaucoup sur notre attachement pour une reli-
gion, lorsque des idées sensibles sont jointes à des idees spe
rituelles, 415. Les plaisirs qu'ils procurent ne font pas le
vrai bonheur : histoire à ce sujet, 8 et suiv.- Sont juges plus
compétents que la religion, de la pureté ou impurete des
choses, 13.

Séparation entre mari et femme pour cause d'adultère. La
droit civil, qui n'accorde qu'au mari le droit de la demander,
est mieux entendu que le droit canonique, qui l'accorde ans
deux conjoints, 425.

Sépulture. Était refusée à ceux qui mouraient sans donner une
partie de leurs biens à l'église, 467. - Était accordée, a Ro-
me, à ceux qui s'étaient tués eux-mêmes, 473.
Sérail. Son gouvernement intérieur, 3, 5, 7, 15, 42.-L'aver
s'y détruit par lui-même, 4. — Malheur des femmes qui y
sont enfermées, 5. — Plus fait pour la santé que pour les
plaisirs des femmes qui y sont enfermées, 23. — A quei a
on y enferme les filles, 42. - Dissensions qui y règnent, 43.
On égorge tous ceux qui en approchent de trop pres, 46
- Les filles qui y servent ne se marient presque jamais, 78
- Toutes privautés y sont défendues, méme entre persos-
nes de même sexe, 106. — - Désordres arrivés dans cris
d'Usbek pendant son absence, ibid. et suiv. - Solim le
remplit de sang, 109 et suiv. - Ce que c'est, 221. — C'est
un lieu de délices, qui choque l'esprit même de l'esclavagr,
qui en est le principe, 311.

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-

Serfs. Devinrent les seuls qui fissent usage du bâton dans les
combats judiciaires, 451. — Quand et contre qui pouvaient se
battre, 454.-Leur affranchissement est une des sources des
coutumes de France, 470.- Étaient fort communs vers le
commencement de la troisième race; erreur des historiens à

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