Histoire philosophique de la Révolution de France: depuis la première Assemblée des notables juslqu'à la paix de 1801, Volume 3 |
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... justice sur le délit . Je ne répéterai point combien il serait ab- surde aujourd'hui de prononcer contre Louis la déchéance du titre de roi qui n'existe plus , il faudrait donc aussi prononcer celle du titre de prince royal contre son ...
... justice sur le délit . Je ne répéterai point combien il serait ab- surde aujourd'hui de prononcer contre Louis la déchéance du titre de roi qui n'existe plus , il faudrait donc aussi prononcer celle du titre de prince royal contre son ...
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... justice nationale , cette constitution par la- quelle il ne se croyait pas lié lui - même , dont il ne s'était servi que pour inonder de sang le territoire français , et assurer l'exécution de ses complots contre la liberté publique ...
... justice nationale , cette constitution par la- quelle il ne se croyait pas lié lui - même , dont il ne s'était servi que pour inonder de sang le territoire français , et assurer l'exécution de ses complots contre la liberté publique ...
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... justice naturelle et sociale ? Vos de- voirs ne sont - ils pas tracés sur tous les ob- jets qui vous environnent , soit au dehors , soit immédiatement ? Ne sont - ils pas gravés sur les traces encore fumantes de la coura- geuse cité de ...
... justice naturelle et sociale ? Vos de- voirs ne sont - ils pas tracés sur tous les ob- jets qui vous environnent , soit au dehors , soit immédiatement ? Ne sont - ils pas gravés sur les traces encore fumantes de la coura- geuse cité de ...
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... justice , les formes judiciaires sont considérées comme la sauve - garde de la fortune , de la liberté et de la vie des citoyens . Le juge qui s'en écarte , peut être accusé avec fondement , ou d'igno- rer les principes de la justice ...
... justice , les formes judiciaires sont considérées comme la sauve - garde de la fortune , de la liberté et de la vie des citoyens . Le juge qui s'en écarte , peut être accusé avec fondement , ou d'igno- rer les principes de la justice ...
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... justice que la con- vention nationale était investie d'une plus grande intensité de pouvoirs , que la chambre des communes qui jugea Charles I.er ; mais ces pouvoirs , pouvait - elle les exercer tous , ou ne devait - elle pas les ...
... justice que la con- vention nationale était investie d'une plus grande intensité de pouvoirs , que la chambre des communes qui jugea Charles I.er ; mais ces pouvoirs , pouvait - elle les exercer tous , ou ne devait - elle pas les ...
Expressions et termes fréquents
10 août abdiqué accusé acte agens armées assemblées primaires avaient avez bannissement Bouillé cent CHAP CHAPITRE citoyens clusion comité comité de législation commission des vingt-un conspiration constitutionnel convention nationale corps législatif crimes criminel déchéance déclare décret défenseurs de Louis délits demande Département députés despotisme détention devait émigrés ennemis énonciatif eût exécutif homme inviolable j'ai jacobins jugement de Louis juger Louis jusqu'à la paix justice l'abdication l'accusé l'acte énonciatif l'assemblée constituante l'assemblée nationale l'exécution l'inviolabilité lettre de Laporte liberté liste civile lois long-tems Louis Capet Louis est coupable Louis n'a Louis XVI Mailhe Marat ment mille livres ministre mort de Louis n'était nation noncer pable peine peuple pièces pouvait présenter principes procès de Louis projet prononcer puissance question rait réclusion représentans républicains république Robespierre rois royale royauté s'il séance Septeuil serait seul sommes sureté sursis systême tems tention tion toyens tribunal tribune trône tyran Varennes vote ככ כל
Fréquemment cités
Page 315 - On vient de vous exposer mes moyens de défense; je ne les répéterai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 447 - ... je prie tous ceux qui ont de la charité d'unir leurs prières aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés.
Page 315 - J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang, et éloigner à jamais de moi une pareille imputation.
Page 448 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve ; qu'il ne peut faire le bonheur des Peuples qu'en régnant suivant les lois...
Page 149 - Après l'abdication expresse ou légale, le Roi sera dans la classe des citoyens, et pourra être accusé et jugé comme eux pour les actes postérieurs à son abdication.
Page 166 - Avocals du roi, est-ce par pitié ou par cruauté que vous voulez le soustraire à la peine de ses crimes ! Pour moi, j'abhorre la peine de mort prodiguée par vos lois, et je n'ai pour Louis ni amour, ni haine: je ne hais que ses forfaits. J'ai demandé l'abolition de la peine de mort à l'Assemblée que vous nommez encore constituante, et ce n'est pas ma faute, si les premiers principes de la raison lui ont paru des hérésies morales et politiques.
Page 149 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 448 - ... -Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union , comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle, si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.
Page 448 - Je recommande mes enfants à ma femme, je n'ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux ; je lui recommande surtout d'en faire de bons chrétiens et d'honnêtes hommes; de ne leur faire regarder les grandeurs de ce monde-ci (s'ils sont condamnés à les éprouver) que comme des biens dangereux et périssables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l'éternité.
Page 254 - Si l'on nous parle de la part de ces gens-là, nous n'écouterons rien ; si c'est de la vôtre, nous écouterons, mais nous irons droit notre chemin. Ainsi, si l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas. Soyez tranquille sur votre sûreté ; nous n'existons que pour vous servir ; nous y travaillons avec ardeur et tout va bien.