Oeuvres complètes de M. de Voltaire, Volume 17Sanson et compagnie, 1791 |
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... son tour Peindra la campagne fleurie , Revoyez la ville chérie Où Vénus a fixé fa cour . Eft - il pour vous d'autre patrie ? Et ferait - il dans l'autre vie Un plus beau ciel , un plus beau jour ; Si l'on pouvait de ce féjour Exiler la ...
... son tour Peindra la campagne fleurie , Revoyez la ville chérie Où Vénus a fixé fa cour . Eft - il pour vous d'autre patrie ? Et ferait - il dans l'autre vie Un plus beau ciel , un plus beau jour ; Si l'on pouvait de ce féjour Exiler la ...
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Voltaire. Le plus léger des beaux efprits , Un beau foir j'évoquai son ombre . Aux déités des fombres lieux Je ne fis point de facrifice , Comme ces frippons qui des Dieu Chantaient autrefois le fervice : Ou la forcière Pythoniffe , Dont ...
Voltaire. Le plus léger des beaux efprits , Un beau foir j'évoquai son ombre . Aux déités des fombres lieux Je ne fis point de facrifice , Comme ces frippons qui des Dieu Chantaient autrefois le fervice : Ou la forcière Pythoniffe , Dont ...
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... son côté , De fes brillantes fleurs ornant la volupté Entre les bras de la folie . Petits foupers , jolis feftins , Ce fut parmi vous que naquirent Mille vaudevilles malins , Que les amours à rire enclins Dans leurs fottifiers ...
... son côté , De fes brillantes fleurs ornant la volupté Entre les bras de la folie . Petits foupers , jolis feftins , Ce fut parmi vous que naquirent Mille vaudevilles malins , Que les amours à rire enclins Dans leurs fottifiers ...
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... Son premier dieu ce fut l'oifiveté . Si quelquefois réveillant fa molleffe , Sa main légère entre Horace et Maron Daignait toucher la lyre d'Apollon Comme la Fare il chantait la pareffe . Pour toi , mêlant le devoir au plaifir , Dans ...
... Son premier dieu ce fut l'oifiveté . Si quelquefois réveillant fa molleffe , Sa main légère entre Horace et Maron Daignait toucher la lyre d'Apollon Comme la Fare il chantait la pareffe . Pour toi , mêlant le devoir au plaifir , Dans ...
Page 18
... Son château eft dans la plus belle fituation du monde ; il y a un bois ma- gnifique dont tous les arbres font découpés par des poliffons ou des amans qui fe font amufés à écrire leurs noms fur l'écorce . A voir tant de chiffres , tracés ...
... Son château eft dans la plus belle fituation du monde ; il y a un bois ma- gnifique dont tous les arbres font découpés par des poliffons ou des amans qui fe font amufés à écrire leurs noms fur l'écorce . A voir tant de chiffres , tracés ...
Expressions et termes fréquents
Adieu adreffe affez affurément aimable aime ainfi Alteffe amitié Apollon auffi avez beaux befoin bontés c'eft c'eſt chanter charmant Chaulieu cher ami cher Cideville chofe Cideville Cirey cœur complimens comte confeiller conferve confolation d'Argental daignez Deffant Dieu difait dire efprit embraffe envoyé épître eſt êtes fage faint fais fanté favez favoir fecret fefant féjour femble fenfible fens fentiment ferait Ferney fervir feul fiècle fociété foin foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis fuivi fur-tout gens goût heureux j'ai j'aime j'aurais jolis jufte K LETTRE l'abbé l'amour l'efprit l'honneur laiffer LETTRE long-temps Lorfque Madame Denis Madame du Châtelet Madame la marquife mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs MONCRIF Monfieur Montrouge mufe n'ai n'eft n'eſt paffer parler penfe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poéfie poëte préfent prefque prince princeffe raifon refpect refte réponſe rien rois s'eft talens tendre tendreffe trifte Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 72 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage.
Page 201 - Je ne recueillais de ma vigne Qu'un peu de vin grossier et plat ; Mais un gourmet l'a rendu digne Du palais le plus délicat. Ma bague était fort peu de chose ; On la taille en beau diamant : Honneur à l'enchanteur charmant Qui fit cette métamorphose ! Vous sentez bien , monsieur Vévêque de Montrouge , à qui sont adressés ces mauvais vers.
Page 224 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 167 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.
Page 201 - Gertrude; mais il a la timidité d'un homme qui a vraiment* du talent; il a craint que l'hommage ne fût pas digne de vous. Vous ne croiriez pas que malgré les preuves multipliées* qu'il a données des grâces de...