Œuvres de Monsieur de Montesquieu,.: Les Lettres persanes. Les Considérations sur les causes de la grandeur des Romains, et de leur décadence. Dialogue de Sylla et d'Eucrate. Le temple de Gnide. L'essai sur le gout. Lettres familieres |
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Œuvres de Monsieur de Montesquieu: Lettres persanes. Considérations sur les ... Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1771 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 414 - Demander dans un État libre des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles ; et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de République, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 51 - Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe. Il n'a point de mines d'or comme le roi d'Espagne, son voisin; mais il a plus de richesses que lui, parce qu'il les tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines.
Page 52 - Il ya un autre magicien plus fort que lui , qui n'est pas moins maître de son esprit qu'il l'est lui-même de celui des autres.
Page 557 - J'ai paru devant les Romains, citoyen au milieu de mes concitoyens; et j'ai osé leur dire : Je suis prêt à rendre compte de tout le sang que j'ai versé pour la République; je répondrai à tous ceux qui viendront me demander leur père, leur fils ou leur frère. Tous les Romains se sont tus devant moi.
Page 741 - Celui qui attaque la religion révélée n'attaque que la religion révélée ; mais celui qui attaque la religion naturelle attaque toutes les religions du monde.
Page 74 - Le café est très en usage à Paris : il ya un grand nombre de maisons publiques où on le distribue. Dans quelques-unes de ces maisons, on dit des nouvelles ; dans d'autres, on joue aux échecs. Il y en a une où l'on apprête le café de telle manière qu'il donne de l'esprit à ceux qui en prennent : au moins, de tous ceux qui en sortent, il n'ya personne qui ne croie qu'il en a quatre fois plus que lorsqu'il y est entré.
Page 413 - Pour lors Rome ne fut plus cette ville dont le peuple n'avait eu qu'un même esprit, un même amour pour la liberté, une même haine pour la tyrannie, où cette jalousie du pouvoir du sénat et des prérogatives des grands, toujours mêlée de respect, n'était qu'un amour de l'égalité.
Page 688 - ... j'y ai travaillé toute ma vie. Au sortir du collège , on me mit dans les mains des livres de droit; j'en cherchai l'esprit; j'ai travaillé, je ne faisois rien qui vaille.
Page 618 - Ce qui fait ordinairement une grande pensée , c'est lorsqu'on dit une chose qui en fait voir un grand nombre d'autres, et qu'on nous fait découvrir tout d'un coup ce que nous ne pouvions espérer qu'après une grande lecture.
Page 378 - Il est vrai que d'abord la frayeur y fut extrême ; mais il n'en est pas de la consternation d'un peuple belliqueux , qui se tourne presque toujours en courage , comme de celle d'une vile populace qui ne sent que sa foiblesse.