Oeuvres ...: Correspondance générale, Volume 4P. Pourrat, Frères, 1839 |
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Expressions et termes fréquents
Adieu aime amitié ancien ami assez aurait avez beau Beaumelle Berlin bontés Brenles cher ange cher et respectable Chinois chose cœur Colmar complimens COMTE D'ARGENTAL COMTESSE DE LUTZELBOURG consolation crois D'ARGENS daignez déja Délices Dieu dire DUC DE RICHELIEU écrire édition embrasse envoyé êtes fâché fesait flatte Genève gens goût grace Grasset homme imprimer j'ai j'aurai j'avais j'en jamais Koënig Lausanne Lekain lettre libraire long-temps Louis XIV LUTZELBOURG Lyon m'avez m'en madame d'Argental madame de Fontaine madame de Pompadour madame Denis madame du Deffand MADAME LA COMTESSE mademoiselle mademoiselle Clairon malade malheur mande maréchal de Richelieu MARÉCHAL DUC MARQUIS D'ARGENS Maupertuis mieux Mille tendres respects monde Monrion monseigneur monsieur n'ai nièce ouvrage pardon parler passer peux philosophe pièce plaisir Plombières poëme Potsdam Prangins prendre présent Prusse Pucelle raison respectable ami rien Rome sauvée sais santé savez sentimens sera Siècle de Louis THIERIOT tragédie Tronchin trouve Voilà voudrais
Fréquemment cités
Page 516 - Tasse et l'Arioste vous rendront plus de services que moi, et la lecture de nos meilleurs poetes vaut mieux que toutes les leçons ; mais, puisque vous daignez de si loin me consulter, je vous invite à ne lire que les ouvrages qui sont depuis longtemps en possession des suffrages du public, et dont la réputation n'est point équivoque.
Page 410 - On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes; il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage.
Page 138 - Ma foi, sire, nous ne le sommes ni l'un ni l'autre. Ma chère enfant, je ne me croirai tel que quand je serai avec mes pénates et avec vous. L'embarras est de sortir d'ici. Vous savez ce que je vous ai mandé dans ma lettre du ier novembre.
Page 515 - Je ne suis , mademoiselle , qu'un vieux malade , et il faut que mon état soit bien douloureux , puisque je n'ai pu répondre plus tôt à la lettre dont vous m'honorez, et que je ne vous envoie que de la prose pour vos jolis vers. Vous me demandez des conseils , il ne vous en faut point d'autres que votre goût ; l'étude que vous avez faite de la langue italienne doit encore fortifier ce goût avec lequel vous êtes née, et que personne ne peut donner. Le Tasse...
Page 411 - ... que j'avais sauvé du dernier supplice, me payant par des libelles diffamatoires du service que je lui avais rendu ; un homme...
Page 413 - ... malgré l'abus qu'on en fait, comme il faut aimer la société dont tant d'hommes méchants corrompent les douceurs; comme il faut aimer sa patrie, quelques injustices qu'on y essuie; comme il faut aimer et servir l'Etre suprême, malgré les superstitions et le fanatisme qui déshonorent si souvent son culte.
Page 345 - Nous faisons faire des carrosses et des brouettes, nous plantons des orangers et des oignons, des tulipes et des carottes, nous manquons de tout, il faut fonder Carthage.
Page 137 - Je ne songe qu'à déserter honnêtement, à prendre soin de ma santé, à vous revoir, à oublier ce rêve de trois années. Je vois bien qu'on a pressé l'orange; il faut penser à sauver l'écorce.
Page 546 - Votre lettre est très-belle ; mais j'ai chez moi une de mes nièces qui, depuis trois semaines, est dans un assez grand danger ; je suis garde-malade, et très-malade moi-même.
Page 397 - Cathala que ni moi ni personne de ma maison ne transcririons jamais des choses si infâmes et que si un de mes laquais en copiait une ligne, je le chasserais sur-le-champ. Ma...