| L. Laurent Prault - 1816 - 458 pages
...l'un et l'autre ; tout d'un coup il dit : Baillezmoi ma chaise, je sens une grande faiblesse. Il ne fut assis , qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'âme assis : les marques de poison sortirent soudain. Il n'est pas croyable l'étonnement que cela a apporté... | |
| Henri IV (roi de France) - 1843 - 694 pages
...l'un et l'autre. Tout d'un coup il dit : « Baillés-moy ma chaize, je sens une grande foiblesse. » II n'y fut assis qu'il perdit la parole , et soudain après il rendit l'âme , 1 Mènerai fait de lui cet éloge : a Le party toit la vaillance , ou la libéralité , ou la gédes... | |
| Aristide Mathieu Guilbert - 1845 - 688 pages
...l'un et l'autre. Tout à coup il dit : baillt-z-moi ma chaise , je sens une grande foiblesse. Il ne fut assis qu'il perdit la parole, et, soudain après, il rendit l'âme assis. Les marques du poison sortirent soudain. » Le chef du parti protestant avait été , dit-on... | |
| Jung - 1855 - 368 pages
...l'un et l'autre. Toute coup il dit : « Baillez-moi ma chaise; je sens une grande foiblesse. » Il n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme, assis. Les marques de poison sortirent soudain » (Mme de Grammont, 40 mars 4588). Et voyez comme il... | |
| Armand comte de Pontmartin - 1856 - 422 pages
...et l'autre. Tout à coup il dit : « Baillez-moi ma chaise, je sens une « grande faiblesse. » Il n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme, assis. Les marques du poison sortirent soudain (1588). » N'est-ce pas que M. Jung a raison, et que... | |
| Armand comte de Pontmartin - 1862 - 428 pages
...l'un et l'autre. Tout à coup il dit: « Baillez-moi ma chaise, je sens une « grande faiblesse. » II n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme, assis. Les marques du poison sortirent soudain (1588). » N'est-ce pas que M. Jung a raison, et que... | |
| Adrien Le Clere et Cie,Libraire-Editeurs - 1869 - 1166 pages
...l'un et l'autre. Tout d'un coup, il dit: « Baillez-moi ma chaise, je sens une grande faiblesse. » II n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain...mars 1588). Les marques de poison sortirent soudain. » On arrêta aussitôt tous les gens du prince. Deux domestiques de la princesse s'étaient échappés,... | |
| Edouard de Barthélemy - 1872 - 268 pages
...et l'autre. Tout d'un coup, il dit: « Baillez-moi ma chaise, je sens une une grande faiblesse. » II n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain après, il rendit l'âme assis. Les merques du poison sortirent soudain. Il n'est pas croyable l'estonnement que cela a porté... | |
| Henri IV ((roi de France ;) - 1876 - 522 pages
...l'un et l'autre. Tout d'un coup il dit : « Baillez-moi ma chaise, je sens une grande foiblesse. » II n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain après, il rendit l'âme, assis. Les marques de poison sortirent soudain. Il n'est pas croyable l'étonnement que cela a porté... | |
| Joseph Guadet - 1879 - 448 pages
...l'un et l'autre. Tout d'un coup il dit : « baillezmoi ma chaise, je sens une grande faiblesse. » Il n'y fut assis qu'il perdit la parole, et soudain après il rendit l'âme, assis 2 . Les marques de poison sortirent soudain. Il n'est pas croyable l'étonnement que cela a porté... | |
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