Oeuvres, Volume 1Paulin, 1835 |
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Page 71
... viens vous consulter , sûr que de votre bouche Je puis apprendre au vrai le secret qui nous touche . CÉLIE . Sous quel astre ton maître a - t - il reçu le jour ? MASCARILLE . Sous un astre à jamais ne changer son amour . CÉLIE . Sans me ...
... viens vous consulter , sûr que de votre bouche Je puis apprendre au vrai le secret qui nous touche . CÉLIE . Sous quel astre ton maître a - t - il reçu le jour ? MASCARILLE . Sous un astre à jamais ne changer son amour . CÉLIE . Sans me ...
Page 73
... viens de voir , Anselme ... ANSELME . Et qui ? MASCARILLE . Votre Nérine . ANSELME . Que dit - elle de moi , cette gente assassine ? MASCARILLE . Pour vous elle est de flamme . ANSELME . Elle ? Que c'est grande pitié . MASCARILLB . Et ...
... viens de voir , Anselme ... ANSELME . Et qui ? MASCARILLE . Votre Nérine . ANSELME . Que dit - elle de moi , cette gente assassine ? MASCARILLE . Pour vous elle est de flamme . ANSELME . Elle ? Que c'est grande pitié . MASCARILLB . Et ...
Page 79
... viens de tout entendre et voir ton artifice : A moins que de cela , l'eussé - je soupçonné ? Tu couches d'imposture , et tu m'en as donné . Tu m'avois promis , lâche , et j'avois lieu d'attendre Qu'on te verroit servir mes ardeurs pour ...
... viens de tout entendre et voir ton artifice : A moins que de cela , l'eussé - je soupçonné ? Tu couches d'imposture , et tu m'en as donné . Tu m'avois promis , lâche , et j'avois lieu d'attendre Qu'on te verroit servir mes ardeurs pour ...
Page 80
... viens d'ouïr ? MASCARILLE . Non . Mais il faut savoir que tout cet artifice Ne va directement qu'à vous rendre service ; Que ce conseil adroit , qui semble être sans fard , Jette dans le panneau l'un et l'autre vieillard ; Que mon soin ...
... viens d'ouïr ? MASCARILLE . Non . Mais il faut savoir que tout cet artifice Ne va directement qu'à vous rendre service ; Que ce conseil adroit , qui semble être sans fard , Jette dans le panneau l'un et l'autre vieillard ; Que mon soin ...
Page 83
... viens de m'embarrasser . Je suis ainsi facile ; et si de Mascarille Madame la nature avoit fait une fille , Je vous laisse à penser ce que ç'auroit été . Toutefois n'allez pas , sur cette sûreté , Donner de vos revers au projet que je ...
... viens de m'embarrasser . Je suis ainsi facile ; et si de Mascarille Madame la nature avoit fait une fille , Je vous laisse à penser ce que ç'auroit été . Toutefois n'allez pas , sur cette sûreté , Donner de vos revers au projet que je ...
Expressions et termes fréquents
ACASTE AGNÈS aime ALAIN ALBERT ALCESTE Allez amant amour ANSELME ARISTE ARNOLPHE ARSINOE ASCAGNE assez auroit avez avoit beau BÉJART belle CATHOS CHARLOTTE chose CHRYSALDE ciel CLIMÈNE CLITANDRE cœur comédie connoissance courroux crois CROISY dessein dieu dire dis-je discours DON ALVAR DON GARCIE DON JUAN ÉLISE ELVIRE enfin ÉRASTE esprit êtes étoit EURYALE femme fille FROSINE gens GEORGETTE GERONIMO GORGIBUS grace GRANGE GROS-RENÉ homme HORACE ISABELLE j'ai j'aurois j'avois j'en jamais l'amour l'École des Femmes Léandre LÉLIE LISETTE LUCILE LUCINDE LYSIDAS m'en madame MADELON MADEMOISELLE MADEMOISELLE DE BRIE MADEMOISELLE DU PARC MARINETTE marquis MASCARILLE Molière monde MONSIEUR DIMANCHE MORON ORONTE PANCRACE parler paroître pense personne PHILINTE PHILIS PIERROT POLIDORE prendre prince PRINCESSE raison rien s'il vous plaît sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII secret seigneur seroit seul SGANARELLE soins sort souffrir THORILLIÈRE TOMÈS trouve TRUFALDIN URANIE vais VALÈRE veux vœux voilà vois voudrois vrai yeux
Fréquemment cités
Page 439 - Votre sexe n'est là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute-puissance. Bien qu'on soit deux moitiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n'ont point d'égalité...
Page 711 - Oui, je vois ces défauts, dont votre âme murmure, Comme vices unis à l'humaine nature ; Et mon esprit enfin n'est pas plus offensé De voir un homme fourbe, injuste, intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisants, et des loups pleins de rage.
Page 327 - D'une vingtaine d'ans, à ne vous rien celer, Et cela ne vaut pas la peine d'en parler; Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières, De vos jeunes muguets m'inspirer les manières ; M'obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux, Et de ces blonds cheveux de qui la vaste enflure Des visages humains offusque la figure...
Page 747 - Dans ses façons d'agir il est fort singulier; Mais j'en fais, je l'avoue, un cas particulier, Et la sincérité dont son âme se pique A quelque chose en soi de noble et d'héroïque. C'est une vertu rare au siècle d'aujourd'hui, Et je la voudrais voir partout comme chez lui.
Page 615 - Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé , un chien, un diable , un turc , un hérétique , qui ne croit ni ciel , ni saint , ni Dieu , ni loup-garou...
Page 333 - J'ai souffert qu'elle ait vu les belles compagnies, Les divertissements, les bals, les comédies; Ce sont choses, pour moi, que je tiens de tout temps, Fort propres à former l'esprit des jeunes gens; Et l'école du monde en l'air dont il faut vivre, Instruit mieux à mon gré que ne fait aucun livre...
Page 515 - N'at-il pas, par exemple, ceux qui se font les plus grandes amitiés du monde, et qui, le dos tourné, font galanterie de se déchirer l'un l'autre?
Page 714 - Monsieur, c'est trop d'honneur que vous me voulez faire: Mais l'amitié demande un peu plus de mystère, Et c'est assurément en profaner le nom Que de vouloir le mettre à toute occasion.
Page 58 - ... de satisfaction et de douceur, je vois bien qu'il me faut quitter la partie : je ne puis plus tenir contre les douleurs et les déplaisirs, qui ne me donnent pas un instant de relâche. Mais, ajouta-t-il en réfléchissant, qu'un homme souffre avant de mourir ! Cependant je sens bien que je finis.
Page 54 - Il eut même bien des difficultés pour y réussir et ne se corrigea de cette volubilité, si contraire à la belle articulation, que par des efforts continuels qui lui causèrent un hoquet qu'il a conservé jusqu'à la mort et dont il savoit tirer parti en certaines occasions.