& 2Gide fils, 1816 |
Expressions et termes fréquents
aperçoit arbres arrive assez au-delà Baerum baie Bergen blocs bois bords bouleaux calcaire canton cent chaîne Christiania cime climat collines considérable continent Copenhague côté couches couverte cristaux d'amphibole danois degré détroit distance Dovrefield Drammen Drontheim élevé entièrement environs escarpés feldspath filet filons Finmark Finois fiord forêts formation glace glaciers gneiss golfe grains fins granit grauwacke grenats habitans Halland hautes montagnes hauteur Heimskringla Helgeland jusqu'à Kongsberg l'hiver l'île l'ouest Lapons latitude Levanger lodde Loedingen Loffode Lofodde long Lyngen maisons masse ment méridionale métairie mica Mioes navires neige Nord Nordland Norvege Norvegiens nuit paillettes passe pays paysans pêche pêcheurs peine pente phénomène pieds pierre calcaire poisson porphyre presque quart de mille quartz roche rochers Roeraas route s'élève s'élèvent schiste argilleux schiste micacé Senjen septentrionale seule situé sommet souvent Suède Suédois surface syenite tagnes température terre tiania tion toises traîneau Tromsoe trouve Vaage vallée vent Vevelstad voit voyage yacht zircons
Fréquemment cités
Page xix - Sans franchir les limites de l'Europe , le vojageur qui cherche à lire l'histoire de son espèce dans la physionomie des peuples et dans l'analogie de leurs langues , trouve à résoudre , sous le cercle polaire , ces mêmes problèmes qu'offrent les tribus sauvages dont nous sommes séparés par l'Océan. Le centre de l'Afrique réunit deux races également exposées à l'influence d'un climat brûlant, les Maures et les Nègres ; de même , l'extrémité de l'Europe...
Page 67 - ... ville, attend avec impatience l'arrivée de « la caravane des traîneaux; les paysans sont rarement embarrassés pour «placer leurs denrées, et ils ont presque toujours la faculté de mettre «le prix à leurs marchandises. Dès le mois d'octobre, peu avant la « chute des neiges, ils ont amené à Christiania des milliers de bœufs , « afin de fournir à la ville s,a provision d'hiver: ils prennent en échange «du blé, de la drèche pour la bière des festins et des jours de fêtes, «du...
Page 67 - Il décrit d'une manière très-vive l'impression qu'il en ressentit. « On éprouve, dit-il, une « véritable satisfaction lorsque, vers le milieu de janvier, époque « de la foire annuelle, on rencontre sur les chemins des caravanes de paysans conduisant leurs nombreux traîneaux; ils « apportent une si grande quantité de beurre, de fromages, de « suif, de cuirs, que l'on ne peut concevoir comment ils s'en dé« feront : mais chaque propriétaire, chaque ménage de la ville, « attend avec...
Page 68 - Jutland ; ce qui prouve que cette ville et le pays « d'alentour possèdent des ressources qui leur permettent de se « procurer plus que le nécessaire. Ses ressources sont les planches « et le fer qui attirent l'or de l'Angleterre en Norwège, et peut-être « à Christiania plus qu'ailleurs; car les planches qui en viennent « ont toujours été les plus renommées. Il paraît bien simple...
Page 70 - ... alors il perdrait irrévocablement le titre de sa créance. Arrivé devant «le caissier, il n'a pas besoin de dire un mot; il présente le dos, il est « payé sans observation : la brosse que le caissier promène sur son « habit donne la quittance. » Ce fut dans ce commerce qu'un habitant de Christiania, nommé...
Page 319 - ... d'après la loi de botanique qui ne veut pas qu'un arbre ou une plante croisse avec vigueur sur le même point où vivait auparavant un individu de son espèce.
Page 69 - Christiania plus qu'ailleurs ; car les planches qui en viennent ont toujours été les plus renommées. Il paraît bien simple' de partager , au moyen d'un moulin à scies, un arbre en poutrelles et en planche?, et les moulins de cette ville nediffièrent pas de ceux qui existent ailleurs.
Page 67 - Dès le mois d'octobre, peu avant la « chute des neiges, ils ont amené à Christiania des milliers de bœufs , « afin de fournir à la ville s,a provision d'hiver: ils prennent en échange «du blé, de la drèche pour la bière des festins et des jours de fêtes, «du fer, de la quincaillerie , quelquefois du poisson sec, et beaucoup « de petits objets qui tiennent plus à la commodité qu'aux nécessités « de la vie. Telle est la véritable répartition indiquée par la nature et « par le...
Page xix - Nègres : de même l'extrémité de l'Eu« rope offre , à côté les uns des autres , les Finois agriculteurs et les «Lapons nomades, uniquement adonnés à la vie pastorale. Malgré «l'énorme différence de la constitution physique de ces peuples, on ne « saurait cependant révoquer en doute que le dialecte de la race trapue « dérive de la même source que ceux des Finois et des Estoniens. « L'analogie de ces langues , désignées sous la dénomination générale «de langue tschoude, ne...
Page 339 - Ces courans changent de direction quatre fois par jour, suivant l'impulsion que leur impriment le fiux ou le reflux. Le Malstroem n'est réellement dangereux, et n'offre un aspect effrayant que lorsque le vent du nord-ouest souffle en opposition avec le reflux. Alors les vagues se soulèvent, forment des tournoiemens , et entraînent dans l'abîme les poissons et les bateaux qui s'en approchent. L'on entend à plusieurs milles au large le mugissement et le fracas du courant. En été ces vents impétueux...