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de Balzac.

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Autres exemples : lord Grenville; Balzac lui

même dans sa correspondance.

L'amour passion type. Ses origines positives : l'hérédité, l'éducation et l'àge. Balzac le conçoit en naturaliste et le décrit en poète. Sa double maitrise de philosophe et d'artiste. L'amour sensuel. Les Dizains, triomphe de la passion physique. Critiques adressées à l'œuvre. Elle ne pouvait être goûtée Conception aussi légitime que la précédente.

des femmes.

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Balzac était sincère en la développant.

L'amour dans la société. La vie quotidienne et ses exigences pratiques. L'art vit de liberté, la société de contrainte.

Les petites misères de la vie conjugale et la physiologie du mariage. Vision exacte de la réalité. ironiste et humoriste.

l'artiste.

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Balzac s'y révèle L'humour y nait des révoltes de

Idée commune aux deux œuvres : contrainte imposée par l'état social. L'artiste exalte l'amour, la société crée le mariage. Conclusions pessimistes. L'homme et la femme devenus

l'idéal.

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l'époux et l'épouse. - Déformation que la réalité fait subir à - Luttes tragiques de l'instinct sexuel. Retour aux Mémoires de deux jeunes mariées. L'idéal bourgeois sagesse et sa médiocrité. Ses enseignements attristants. 166

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: sa

Balzac émule de Bonald et de Joseph de Maistre. — Il demeure cependant toujours artiste. Ses principales œuvres sociales: les " Paysans », le « Curé de village », le « Médecin de cam

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Antipathie possible des partisans de l'art pur. - Splendeur et rayonnement de l'époque qui précède Balzac. tance des questions sociales renaît aujourd'hui. Balzac remonte jusqu'aux sources de la vie sociale. La Opposition entre le groupe familial et l'esprit du législateur. - Balzac condamne une société régie par des lois reposant sur l'individualisme. Caractère archaïque et purement verbal de nos Codes. Balzac exalte la solidarité. Imperfections sociales causées l'individualisme. fession douloureuse du jeune homme de talent. nérescences intellectuelles. absurdités.

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L'éducation moderne et ses

La nullité des spécialistes, et l'ineptie admi

nistrative. Critique du régime constitutionnel. L'intérêt personnel base des lois.

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Balzac, admirable comme critique, est insuffisant comme reconstructeur. Il se réfère à l'ancien régime et à l'épopée napoléonienne. — Il ne conserve aucune illusion sur l'avenir réservé à la bourgeoisie. Seul remède possible à ses yeux :

la charité. Mais elle ne peut avoir d'action efficace : elle est trop exceptionnelle.

Balzac a montré le caractère artificiel de l'état social. Son instinct de vie lui en a révélé les principes de mort...

CHAPITRE VI

BALZAC DEVANT LA CRITIQUE

198

- Diffé

Le moment est venu d'apprécier l'influence de Balzac.
rentes phases que traversent les artistes, quant à l'opinion.
Les débuts de Balzac : ils ne comptent pas au point de vue litté-
Quels furent ses véritables débuts.

raire.

L'attitude de la critique à son égard. Caractère révolutionnaire de ses écrits. Comment ils soulevaient l'objection d'immoralité.

Les attaques du Journalisme après la publication des Illusions perdues. Ce n'était qu'une vengeance, et une vengeance

bien justifiée. Opinion des contemporains : Philarete Chasles, George Sand, Théophile Gautier; portée de son étude sur Balzac.

Opinion des poètes : Lamartine et Victor Hugo.

La Rénovation de l'esprit critique : Sainte-Beuve. Points de ressemblance et de différence entre sa nature et celle de Balzac.

Taine. Son étude est la seule qui soit définitive..

CHAPITRE VII

LE GÉNIE DE BALZAC

221

Balzac génie complet. Prépondérance d'une idée maîtresse. Véritable sens de cette appellation : miroir fidèle et grossissant des choses de la nature. Sa double maîtrise : compréhension universelle et unité d'esprit. Il est le contraire d'un spécialiste. Rapports entre son universalité et l'idée

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mère de la Comédie humaine. L'esprit généralisateur ou systématique. Supériorité de l'artiste sur le savant. Balzac créateur d'art. Comment il a renouvelé la forme du Roman. Ce qu'était le Roman au dix-huitième siècle : un fin badinage ou un prétexte à dissertations philosophiques. — Balzac y a fait entrer la notion d'Art et de Beauté. L'art littéraire objet de culte.

Balzac a peint le transitoire et l'éternel. Romancier de mœurs à la fois et peintre de caractères. Ses principales qualités d'artiste Puissance et Force. Relief de ses créations littéraires. Charme et délicatesse de ses figures féminines. Son vrai domaine est la Passion. Ce qui lui manqua le plus : le

Goût. Rapprochement avec les contemporains : Dumas, le grand amuseur. George Sand: absence de sincérité. Stendhal, seul digne de compter auprès de lui. Son influence sur l'art moderne.

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Le mouvement réaliste : Sa prétendue filiation avec

Balzac. Il ne lui tient en rien. Les disciples de M. Zola. Le Roman russe est sorti de Balzac : en quoi il lui ressemble; en quoi il en diffère.

La littérature idéaliste et la littérature mystique en France. L'influence de Balzac s'indique surtout comme une influence d'avenir...

246

PARIS.

-TYP. DE E. PLON, NOURRIT ET Cie, RUE GARANCIÈRE, 8.

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A côté de cette partie purement littéraire, qui occupe environ la moitié de la Revue, une large place est attribuée à l'Histoire, aux Mémoires et aux Voyages.

Enfin, l'actualité immédiate se reflète en un ensemble de variétés scientifiques et littéraires, de chroniques ou d'articles critiques sur le théâtre, la musique, les livres, les beaux-arts, la politique en France et à l'étranger. Tous ces articles sont toujours entièrement inédits.

La Revue hebdomadaire paraît le samedi, en une livraison petit in-8° de 160 pages, donnant ainsi, avec les 8,320 pages de ses 52 numéros, la valeur de plus de 40 volumes par année.

Prix du numéro: 50 centimes.

Fidèle à son programme, la Revue hebdomadaire a publié depuis sa fondation (28 mai 1892) jusqu'au 1 décembre 1893, soit en inédit, soit la première après leur apparition, les œuvres suivantes :

ROMANS

Rose et Ninette, par A. DAUDET.
Aziyadé, par Pierre LOTI.
Ermeline, par Abel HERMANT.
Fantôme d'Orient, par P. LOTI.
L'heureux village, par Antony
BLONDEL.

Vamireh, par J.-H. ROSNY.
Chénerol, par Henry GREVILLE.
Les Antibel, par E. POUVILLON.
Un cœur discret, par G. GUICHES.
Amour de Miss, par Jean BLAIZE.
Les Oiseaux s'envolent et les
Fleurs tombent, par Élémir.
BOURGES.

Sur le Retour, par Paul MAR

GUERITTE.

La Cure de misère, par Fran-
çois COPPÉE.

Beaux jours, par L. BERNARDINI.
Promesses, par Jules CASE.

On rend l'argent, par F. COPPÉE.
Aux jardins, par Georges BEAUME.
La vie privée de Michel Teis-
sier, par Edouard ROD.
Mile de Circé, par E. DAUDET.
Le Docteur Pascal, par E. ZOLA.
La Vie sous la Terreur, Manette
André, par Paul PERRET

La Terre promise,par P.BOURGET.
Peints par eux-mêmes, par
Paul HERVIEU.

Tchao-Kiun, par H.-C. MOREAU.
Matelot, par Pierre LOTI.
La Cormière, par M. TALMEYR.
La Chanoinesse, par A.THEURIET.
Une faute de jeunesse, par
François COPPÉE.

L'Automne d'une femme, par
Marcel PREVOST.

Surprises d'amour, par André
THEURIET.

Un vieux ménage, par Henry
GRÉVILLE.

La belle aux yeux de lotus,
par J. CANTEL.

Jean Pec, par Charles de BORDEU.

THEATRE

Tobie, par Maurice BOUCHOR.
Le flibustier, par J. RICHEPIN.
Héro et Léandre, par Edmond
HARAUCOURT.

NOUVELLES

Examen de conscience, par Paul
MARGUERITTE.

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