Corrège.avoit faites sur son ame! « Tout ce que je vois ici me confond. Quelle » vérité ! quel coloris ! quelle carnation! les beaux » enfans! ils vivent, ils respirent, ils rient avec » tant de grace et de vérité, qu'il faut absolu» ment rire... Journal étranger - Page 1401760Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| François Arnaud, Jean Baptiste Antoine Suard - 1768 - 562 pages
...Carrache , fon coufin , les impreffions que la vue des ouvrages du Correge avoit faites fur fon âme ! « Tout ce que je vois ici me confond. » Quelle vérité ! quel coloris ! quelle » carnation ! les beaux enfans ! ils vi» vent , ils refpirent , ils rient avec » tant de grâce... | |
| Charles Paul Landon - 1803 - 310 pages
...sur son esprit une impression si vive et si profonde , qu'il écrivit en ces termes à Augustin : « Tout . ce que je vois ici me confond. Quelle vérité ! quel coloris ! quel caractère ! Les beaux enfans ! ils vivent, ils respirent ; ils rient avec tant de grace et... | |
| François Arnaud - 1804 - 492 pages
...Louis Carrache* son cousin, les impressions que la vue des ouvrages du Corrège avoit faites sur son ame! .« Tout ce que je vois ici me confond. Quelle » vérité ! quel coloris ! quelle carnation! les beaux » enfans! ils vivent, ils respirent , ils rient aveo » tant de grace et de vérité... | |
| François Arnaud - 1804 - 488 pages
...Louis Carrache, son cousin, les impressions que la vue des ouvrages du Corrège.avoit faites sur son ame! « Tout ce que je vois ici me confond. Quelle » vérité ! quel coloris ! quelle carnation! les beaux » enfans! ils vivent, ils respirent, ils rient avec » tant de grace et de vérité,... | |
| 1804 - 348 pages
...décrire. Voici ce qu'il écrivit à Louis Carrache , son cousin , fondateur de l'École de Bologne. « Tout ce que je vois ici me confond ; quelle vérité ! quel coloris ! я quelle carnation ! les beaux enfans ! ils vivent : ils respirent : ils rient я avec tant de grâce... | |
| François Arnaud - 1808 - 518 pages
...Louis Carrache, son cousin , les impressions que la vue des ouvrages du Corrège avait faites sur son ame ! « Tout ce que je vois ici me confond. Quelle vérité ! » quel coloris! quel le carnation ! les beaux enfans ! » ils vivent, ils respirent , ils rient avec tant de » grâce... | |
| Auguste Hilarion Kératry - 1822 - 686 pages
...l'église Sant - Antonio-del-Fuoco, riche alors de l'une des plus excellentes compositions du Corrège. « Tout ce que je vois ici me confond. » Quelle vérité ! quel coloris ! quelles carna» tions ! les beaux enfans ! ils vivent, ils res» pirent, ils rient avec tant de grâces... | |
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