Histoire des Synodes Nationaux des Églises Réformées de France

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Grassart, 1864 - 324 pages
 

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Fréquemment cités

Page 39 - ... cause il a mis le glaive en la main des magistrats pour réprimer les péchés commis non-seulement contre la seconde table des commandements de Dieu, mais aussi contre la première. Il faut...
Page 37 - ... nous ne nions point que parmi les fidèles il n'y ait des hypocrites et réprouvés, desquels la malice ne peut effacer le tiltre de l'Église.
Page 136 - Dieu, à vouloir être adoré, à se vanter d'avoir toute puissance au ciel et en terre, à disposer de toutes choses ecclésiastiques, à décider des articles de foi, à autoriser et interpréter à son plaisir les...
Page 320 - L'empire de la loi finit où commence l'empire indéfini de la conscience ; la loi ni le prince ne peuvent rien contre cette liberté. Tels sont mes principes et ceux de...
Page 238 - Dieu et qu'il n'ya pas d'autorité médiate entre la leur et celle de sa toute-puissance, et après le service que nous devons à Dieu, il n'y en a pas de plus sacré et que nous devions rendre plus fidèlement et plus inviolablement qu'à notre roi.
Page 317 - ... les divers cultes ont par eux-mêmes une existence qu'ils ne peuvent tenir des lois, et dont l'origine n'est pas réputée prendre sa source dans des volontés humaines. En second lieu, la loi est définie par la Constitution, un acte de la volonté générale.
Page 160 - Compagnie détestant cette abominable doctrine avec ses auteurs, exhorte tous les fidèles de l'avoir en horreur et exécration, et tous ceux qui ont charge d'enseigner, à la combattre fortement, pour maintenir conjointement avec le droit de Dieu, celui des souveraines puissances qu'il a établies, lîôi.i.
Page 16 - France dressassent d'un commun accord une confession de foi et une discipline ecclésiastique ; comme au contraire, cela ne se faisant, les grands maux qui pourraient survenir, et divisions tant en la doctrine qu'en la discipline, les églises n'étant liées ensemble, et rangées sous un même joug d'ordre et de police ecclésiastique.
Page 105 - Je ne les accepte pas, Sire, répondit Jtfornay, mon maître et moi nous avons voulu vous prouver qu'on peut être à la fois bon huguenot et bon Français.
Page 227 - RPR nous ont donné des preuves certaines de leur affection et fidélité (notamment dans les occasions présentes), dont nous demeurons trèssatisfaits.

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