Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en une journée cent physionomies diverses, selon la chose dont j'étais affecté. Mémoire sur Diderot - Page 29de Jean-Philibert Damiron - 1852 - 117 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Denis Diderot - 1798 - 524 pages
...J'avois en une }ourné« eënt physionomies diverses , selon là chose dont j'étois affecté. J'étois serein» triste, rêveur , tendre , violent , passionné , enthousiaste ; mais je ne fus jamais te] que yous me voyez-là. J'avois un grand front , des yeux très-vifs, d'assez grands traits , la... | |
| Denis Diderot - 1821 - 512 pages
...lorsqu'ils viendront à comparer mes tristes ouvrages avec ce riant, mignon, efféminé, vieux coquet-là? Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi....serein, triste , rêveur , tendre , violent , passionné , eathousiaste; mais je ne fus jamais tel que vous me voyez là. J'avais un grand front, des yeux très-vifs,... | |
| Denis Diderot - 1821 - 596 pages
...lorsqu'ils Tiendront à comparer mes tristes ouvrages avec ce riant, mignon, efféminé, vieux coquet-là? Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi. J'avais en unejournée cent physionomies diverses, selon la chose dont j'étais affecté. J'étais serein , triste... | |
| Ernest Bersot - 1851 - 126 pages
...le refait de verve : « Mes enfans, je vous (3) préviens que ce n'est pas moi. J'avais en un jour cent physionomies diverses. Selon la chose dont j'étais...rêveur, tendre, violent, passionné, enthousiaste; j'avais un grand front, des yeux Ires-vifs, d'assez grands traits , la tête tout-a-fait du caractère... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 440 pages
...mobile dans ses impressions, et il le dit lui-même en face de son portrait par Michel Vanloo, portrait dans lequel il avait peine à se reconnaître : «...mais je ne fus jamais tel que vous me voyez là... » Et il ajoute, car il nous importe dès l'abord de le bien voir : « J'avais un grand front, des... | |
| Ernest Bersot - 1855 - 892 pages
...il le refait de verve : Mes enfants, je vous (2) préviens que ce n'est pas moi. J'avais en un jour cent physionomies diverses. Selon la chose dont j'étais...rêveur, tendre, violent, passionné, enthousiaste; j'avais un grand front, des yeux très-vifs, d'assez grands traits, la tête tout à fait du caractère... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 566 pages
...face de son portrait par Michel Vanloo, portrait dans lequel il avait peine à se reconnaître : a Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi....passionné, enthousiaste; mais je ne fus jamais tel que voi:s me voyez là... » Et il ajoute, car il nous importe dès l'abord de le bien voir : « J'avais... | |
| Philibert Damiron - 1858 - 576 pages
...dit, à propos de son portrait par Michel Vanloo, dans lequel il avait peine à se reconnaître 1 «t Mes enfants, je vous préviens que ce n'est pas moi....violent, passionné, enthousiaste ; mais je ne fus jamais ce que vous me voyez là... J'avais un grand front, des yeux très-vifs, d'assez grands traits, la... | |
| Jules-Romain Barni - 1867 - 512 pages
...lui-même, à propos de son portrait peint par Michel Vanloo, mais où il ne se reconnaissait guère : « J'avais en une journée cent physionomies diverses,...violent, passionné, enthousiaste, mais je ne fus jamais ce que vous me voyez là. » Mais si la nature de Diderot était ainsi ardente et mobile, pleine de... | |
| Jules Romain Barni - 1867 - 528 pages
...lui-même, à propos de son portrait peint par Michel Vanloo, mais où il ne se reconnaissait guère : « J'avais en une journée cent physionomies diverses,...la chose dont j'étais affecté ; j'étais serein, iriste, rêveur, tendre, violent, passionné, enthousiaste, mais je ne fus jamais ce que vous me voyez... | |
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