Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 49
Page 15
... main meurtriere Qui jadis sur mon front t'attacha la premiere ! Plutarque la représente comme la plus fidelle et la plus vertueuse de toutes les femmes de Mithri- date , et comme celle qui lui fut la plus chere . Le poëte a su accorder ...
... main meurtriere Qui jadis sur mon front t'attacha la premiere ! Plutarque la représente comme la plus fidelle et la plus vertueuse de toutes les femmes de Mithri- date , et comme celle qui lui fut la plus chere . Le poëte a su accorder ...
Page 18
... main dans mon cœur ne vous aille chercher , Pour y laver ma honte et vous en arracher . Voilà bien le dernier effort de la vertu qui com- bat ; mais cet effort est si grand , qu'il est impos- sible que l'attendrissement n'y succede pas ...
... main dans mon cœur ne vous aille chercher , Pour y laver ma honte et vous en arracher . Voilà bien le dernier effort de la vertu qui com- bat ; mais cet effort est si grand , qu'il est impos- sible que l'attendrissement n'y succede pas ...
Page 22
... main , Pour mettre à votre fils un poignard dans le sein . De ses feux innocens j'ai trahi le mystere ; Et quand il n'en perdrait que l'amour de son pere , Il en mourra , Seigneur : ma foi ni mon amour Ne seront point le prix d'un si ...
... main , Pour mettre à votre fils un poignard dans le sein . De ses feux innocens j'ai trahi le mystere ; Et quand il n'en perdrait que l'amour de son pere , Il en mourra , Seigneur : ma foi ni mon amour Ne seront point le prix d'un si ...
Page 33
... en surprise : étonné de voir une femme l'aborder ainsi , il l'est bien plus lorsqu'elle lui présente la main , cérémonie d'usage la premiere Cours de littér . Tome V. C fois qu'une mere voyait l'époux de sa fille . Il DE LITTÉRATURE . 33.
... en surprise : étonné de voir une femme l'aborder ainsi , il l'est bien plus lorsqu'elle lui présente la main , cérémonie d'usage la premiere Cours de littér . Tome V. C fois qu'une mere voyait l'époux de sa fille . Il DE LITTÉRATURE . 33.
Page 39
... un couteau mortel , Me montrer votre cœur fumant sur un autel . D'un appareil d'hymen couvrant ce sacrifice , Il veut que ce soit moi qui vous mene au supplice ; Que ma crédule main conduise le couteau ; Qu'au lieu C 4 DE 39 LITTÉRATURE .
... un couteau mortel , Me montrer votre cœur fumant sur un autel . D'un appareil d'hymen couvrant ce sacrifice , Il veut que ce soit moi qui vous mene au supplice ; Que ma crédule main conduise le couteau ; Qu'au lieu C 4 DE 39 LITTÉRATURE .
Autres éditions - Tout afficher
Lycée, ou, Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 5 Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1817 |
Lycée, ou cours de littérature ancienne et moderne: T. I-XVI. Jean François de Laharpe Affichage du livre entier - 1798 |
Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1839 |
Expressions et termes fréquents
Abner Absalon Achille Agamemnon aime Alceste amour Aricie Arnolphe assez Assuérus Athalie beautés Calchas caractere chose cinquieme acte Clytemnestre cœur comédie comique comte d'Essex Corneille Cours de littér crime d'Athalie d'Ériphile d'Esther d'Hippolyte d'Iphigénie David dénoûment Dieu dieux dire doit dramatique ennemis Esther Euripide eût excuse faiblesse femme fille fils fureur genre gloire Grecs héros Hippolyte homme Horace Iphigénie j'ai jalousie jamais Joad Joas Josabeth l'amour l'auteur l'École des Femmes Ladislas long-tems Madame main malheur maniere Manlius Mardochée Mathan Ménélas mérite mieux Misanthrope Mithridate mœurs Moliere Monime mort Orgon ouvrage paraît parler passion pere personnages peuple Phedre piece Plaute pleurs poëte Pradon premiere prince princesse qu'un Racine raison reine reproche ridicule rien rire rôle sais sang scene Seigneur Séneque sentimens sentiment Servilius seul situation sort spectateur style sujet Sychée talent Tartuffe temple tems théâtral théâtre Thésée Thomas Corneille tragédie Tybérinus vengeance vérité veut Viriate Voltaire vrai Xipharès yeux دو
Fréquemment cités
Page 92 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Page 96 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 103 - ... flamme en horreur; Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats : Je t'ai tout avoué; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.
Page 178 - Dieu cachait un vengeur armé pour son supplice. Croyez-moi, plus j'y pense, et moins je puis douter Que sur vous son courroux ne soit près d'éclater, Et que de Jézabel la fille sanguinaire Ne vienne attaquer Dieu jusqu'en son sanctuaire.
Page 211 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre...
Page 100 - Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé.
Page 205 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Page 98 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.
Page 105 - Que dis-je ? cet aveu que je te viens de faire , Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas!
Page 181 - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé ^ Le champ que par le meurtre il avait usurpé...