Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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... montre aussi sa jalousie artifi- cieuse , puisqu'elle a pour objet de pénétrer ce qui se passe dans le cœur de Pharnace , et d'en arracher l'aveu de ses projets sur Monime . Cette situation met dans tout son jour le contraste des deux ...
... montre aussi sa jalousie artifi- cieuse , puisqu'elle a pour objet de pénétrer ce qui se passe dans le cœur de Pharnace , et d'en arracher l'aveu de ses projets sur Monime . Cette situation met dans tout son jour le contraste des deux ...
Page 66
... montre Agamemnon à sacrifier sa fille , qui est en même tems la niece de Ménélas . Celui - ci , en défendant les intérêts de la Grece , aurait trop l'air de n'écouter que ceux de la vengeance et de plaider sa propre cause . Ulysse , au ...
... montre Agamemnon à sacrifier sa fille , qui est en même tems la niece de Ménélas . Celui - ci , en défendant les intérêts de la Grece , aurait trop l'air de n'écouter que ceux de la vengeance et de plaider sa propre cause . Ulysse , au ...
Page 118
... montre même du regret de ce serment qui le force au silence . Combien l'Hippolyte de Racine est plus noble et plus aima- ble ! Il n'est lié que par son cœur ; et devant qui ce cœur se serait - il ouvert avec tant d'intérêt s'il n'avait ...
... montre même du regret de ce serment qui le force au silence . Combien l'Hippolyte de Racine est plus noble et plus aima- ble ! Il n'est lié que par son cœur ; et devant qui ce cœur se serait - il ouvert avec tant d'intérêt s'il n'avait ...
Page 160
... montre la tragédie dans toute la dignité qui lui appartient ; la sublimité d'un style également admirable dans un pontife qui parle le langage des prophetes , et dans un enfant qui parle celui de son âge ; la beauté soutenue d'une ...
... montre la tragédie dans toute la dignité qui lui appartient ; la sublimité d'un style également admirable dans un pontife qui parle le langage des prophetes , et dans un enfant qui parle celui de son âge ; la beauté soutenue d'une ...
Page 175
... montrer . Ce sujet a quelque chose de si particulier , que le rôle d'Abner me paraît louable , par une raison toute opposée à celle qui fait louer d'autres rôles : ceux- ci ne valent ... montre un oubli fatal , DE 175 LITTÉRATURE .
... montrer . Ce sujet a quelque chose de si particulier , que le rôle d'Abner me paraît louable , par une raison toute opposée à celle qui fait louer d'autres rôles : ceux- ci ne valent ... montre un oubli fatal , DE 175 LITTÉRATURE .
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Expressions et termes fréquents
Abner Absalon Achille Agamemnon aime Alceste amour Aricie Arnolphe assez Assuérus Athalie beautés Calchas caractere chose cinquieme acte Clytemnestre cœur comédie comique comte d'Essex Corneille Cours de littér crime d'Athalie d'Ériphile d'Esther d'Hippolyte d'Iphigénie David dénoûment Dieu dieux dire doit dramatique ennemis Esther Euripide eût excuse faiblesse femme fille fils fureur genre gloire Grecs héros Hippolyte homme Horace Iphigénie j'ai jalousie jamais Joad Joas Josabeth l'amour l'auteur l'École des Femmes Ladislas long-tems Madame main malheur maniere Manlius Mardochée Mathan Ménélas mérite mieux Misanthrope Mithridate mœurs Moliere Monime mort Orgon ouvrage paraît parler passion pere personnages peuple Phedre piece Plaute pleurs poëte Pradon premiere prince princesse qu'un Racine raison reine reproche ridicule rien rire rôle sais sang scene Seigneur Séneque sentimens sentiment Servilius seul situation sort spectateur style sujet Sychée talent Tartuffe temple tems théâtral théâtre Thésée Thomas Corneille tragédie Tybérinus vengeance vérité veut Viriate Voltaire vrai Xipharès yeux دو
Fréquemment cités
Page 92 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Page 96 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 103 - ... flamme en horreur; Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats : Je t'ai tout avoué; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.
Page 178 - Dieu cachait un vengeur armé pour son supplice. Croyez-moi, plus j'y pense, et moins je puis douter Que sur vous son courroux ne soit près d'éclater, Et que de Jézabel la fille sanguinaire Ne vienne attaquer Dieu jusqu'en son sanctuaire.
Page 211 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre...
Page 100 - Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé.
Page 205 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Page 98 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.
Page 105 - Que dis-je ? cet aveu que je te viens de faire , Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas!
Page 181 - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé ^ Le champ que par le meurtre il avait usurpé...