Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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... de cette contrée , Par d'éternels remparts Rome soit séparée . Je sais tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me vient traverser Sans reculer plus loin l'effet de ma parole , Je DE 9 LITTÉRATURE .
... de cette contrée , Par d'éternels remparts Rome soit séparée . Je sais tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me vient traverser Sans reculer plus loin l'effet de ma parole , Je DE 9 LITTÉRATURE .
Page 14
... mort de Mithridate acheve dignement la peinture de son caractere . J'ai vengé l'Univers autant que je l'ai pu . La mort dans ce projet m'a seule interrompu . Ennemi des Romains et de la tyrannie , Je n'ai point de leur joug subi l ...
... mort de Mithridate acheve dignement la peinture de son caractere . J'ai vengé l'Univers autant que je l'ai pu . La mort dans ce projet m'a seule interrompu . Ennemi des Romains et de la tyrannie , Je n'ai point de leur joug subi l ...
Page 15
... mort . Et toi , fatal tissu , malheureux diadême ,, Instrument et témoin de toutes mes douleurs , Bandeau que mille fois j'ai trempé de mes pleurs , Au moins , en terminant ma vie et mon supplice , Ne pouvais - tu me rendre un funeste ...
... mort . Et toi , fatal tissu , malheureux diadême ,, Instrument et témoin de toutes mes douleurs , Bandeau que mille fois j'ai trempé de mes pleurs , Au moins , en terminant ma vie et mon supplice , Ne pouvais - tu me rendre un funeste ...
Page 16
... mort , et où les prétentions de Pharnace lui rendent nécessaire l'appui de Xipharès , qu'elle laisse entrevoir à ce prince la préférence qu'elle lui donne . Mais dès qu'elle est assurée que le roi est vivant , elle impose à son amant ...
... mort , et où les prétentions de Pharnace lui rendent nécessaire l'appui de Xipharès , qu'elle laisse entrevoir à ce prince la préférence qu'elle lui donne . Mais dès qu'elle est assurée que le roi est vivant , elle impose à son amant ...
Page 23
... mort de Mithridate , ensuite l'offre si- mulée d'unir Monime à Xipharès ; enfin le périt des deux amans , dont l'un est menacé de la ven geance de son pere , et l'autre est prête à boite le poison que son époux lui envoie . Le dénoûment ...
... mort de Mithridate , ensuite l'offre si- mulée d'unir Monime à Xipharès ; enfin le périt des deux amans , dont l'un est menacé de la ven geance de son pere , et l'autre est prête à boite le poison que son époux lui envoie . Le dénoûment ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 92 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Page 96 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 103 - ... flamme en horreur; Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats : Je t'ai tout avoué; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.
Page 178 - Dieu cachait un vengeur armé pour son supplice. Croyez-moi, plus j'y pense, et moins je puis douter Que sur vous son courroux ne soit près d'éclater, Et que de Jézabel la fille sanguinaire Ne vienne attaquer Dieu jusqu'en son sanctuaire.
Page 211 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre...
Page 100 - Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé.
Page 205 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Page 98 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.
Page 105 - Que dis-je ? cet aveu que je te viens de faire , Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas!
Page 181 - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé ^ Le champ que par le meurtre il avait usurpé...