Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 |
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... yeux ; , Et qu'il n'est point de rois , s'ils sont dignes de l'être , Qui sur le trône assis , n'enviassent peut - être , Au dessus de leur gloire , un naufrage élevé , Que Rome et quarante ans ont à peine achevé . C'est avec ces ...
... yeux ; , Et qu'il n'est point de rois , s'ils sont dignes de l'être , Qui sur le trône assis , n'enviassent peut - être , Au dessus de leur gloire , un naufrage élevé , Que Rome et quarante ans ont à peine achevé . C'est avec ces ...
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... yeux était suffisante . Voltaire , qui d'ailleurs rime bien moins richement que ces deux poëtes , est pourtant celui qui a insisté le premier sur la nécessité de rimer , principalement pour l'oreille . Il a eu raison : c'est une ...
... yeux était suffisante . Voltaire , qui d'ailleurs rime bien moins richement que ces deux poëtes , est pourtant celui qui a insisté le premier sur la nécessité de rimer , principalement pour l'oreille . Il a eu raison : c'est une ...
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... yeux . Je songe avec respect de combien je suis née Au dessous des grandeurs d'un si noble hymenée ; Et , malgré mon penchant et mes premiers desseins Pour un fils , après vous le plus grand des humains , Du jour que sur mon front on ...
... yeux . Je songe avec respect de combien je suis née Au dessous des grandeurs d'un si noble hymenée ; Et , malgré mon penchant et mes premiers desseins Pour un fils , après vous le plus grand des humains , Du jour que sur mon front on ...
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... yeux de tous les Grecs lui demander raison . A l'honneur d'un époux vous - même intéressée , Madame , vous devez approuver ma pensée . Il faut que le cruel , qui m'a pu mépriser , Apprenne de quel nom il osait abuser . • Il ne s'indigne ...
... yeux de tous les Grecs lui demander raison . A l'honneur d'un époux vous - même intéressée , Madame , vous devez approuver ma pensée . Il faut que le cruel , qui m'a pu mépriser , Apprenne de quel nom il osait abuser . • Il ne s'indigne ...
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... yeux n'est point assez tranquille Et les Grecs y verraient l'épouse de leur roi , Dans un état indigne et de vous et de moi . Clytemnestre ne manque pas de bonnes raisons à lui opposer : alors il en vient à un ordre formel : 1 Vous avez ...
... yeux n'est point assez tranquille Et les Grecs y verraient l'épouse de leur roi , Dans un état indigne et de vous et de moi . Clytemnestre ne manque pas de bonnes raisons à lui opposer : alors il en vient à un ordre formel : 1 Vous avez ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 92 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Page 96 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 103 - ... flamme en horreur; Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats : Je t'ai tout avoué; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.
Page 178 - Dieu cachait un vengeur armé pour son supplice. Croyez-moi, plus j'y pense, et moins je puis douter Que sur vous son courroux ne soit près d'éclater, Et que de Jézabel la fille sanguinaire Ne vienne attaquer Dieu jusqu'en son sanctuaire.
Page 211 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre...
Page 100 - Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé.
Page 205 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Page 98 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.
Page 105 - Que dis-je ? cet aveu que je te viens de faire , Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas!
Page 181 - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé ^ Le champ que par le meurtre il avait usurpé...