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" Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. "
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne; - Page 96
de Jean-François de La Harpe - 1798
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Oeuvres complètes, Volume 2

Jean Racine - 1796 - 466 pages
...ennemi: Je le vis, je rougis , je pâlis à sa vue: Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir, et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par...
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Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 5

Jean-François de La Harpe - 1799 - 608 pages
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Œuvres, Volume 4

Jean Racine - 1805 - 348 pages
...ennemi : Je le vis . je rougis . je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par...
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Les Bucoliques de Virgile

Virgil - 1806 - 364 pages
...Virgile : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Venus. . . . 264, VERS la. Nunc scio quid sit Amor. Duris in cotibus illum Aut Tmaros...
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Mélanges académiques, poétiques, littéraires, philologiques ..., Volume 3

Gabriel-Henri Gaillard - 1806 - 422 pages
...colère..... Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable, Je péris la dernière, et la plus misérable Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables... .. Ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mp.n sang , Ces dieux qui se sont...
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Style Français des meilleurs Auteurs, Volume 1

C. J. Cunninghame - 1808 - 292 pages
...: '' ' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brâler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitable*....
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Traite de intonations oratoires: appliqué à tous les genres de'éloquence ...

Louis Dubroca - 1810 - 296 pages
...ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Ve'nus et ses feux redoutables, Du sang qu'elle poursuit, tourmens inévitables. Par des...
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Oeuvres de Jean Racine, Volume 4

Jean Racine - 1813 - 300 pages
...ennemi ; Je le vis , je rougis , je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par...
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Répertoire de la littérature ancienne et moderne, Volume 1

1824 - 490 pages
...error. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Peut-on mieux imiter Virgile? (Bue. VIII, 41,) Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Peut-on mieux imiter Sapho? Ces vers, quoique imités, coulent de source; chaque mot trouble les âmes...
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A philosophical dictionary, from the Fr. [by J.G. Gurton].

Voltaire - 1824 - 446 pages
...superbe unucmi ; Je le vis, je rougis, je palis, & sa vue ; Un trouble s'eleva dans moQ ame ^perdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et bruler; Je reconnus Venus et ses traits r£doutables, D'un sang qu'elle ponrsuit tourmens inevitables...
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